Centrale Nucléaire d’Hinkley: 1700 Nouveaux Emplois

La centrale nucléaire d'Hinkley Point C prévoit d'embaucher 1700 personnes en Angleterre l'année prochaine, selon EDF.|La centrale nucléaire d'Hinkley Point C prévoit d'embaucher 1700 personnes en Angleterre l'année prochaine, selon EDF.

Partagez:

La centrale nucléaire d’Hinkley Point C prévoit d’embaucher 1700 personnes en Angleterre l’année prochaine, selon EDF. En tout, le projet retient 71.000 emplois en Grande-Bretagne selon le dernier rapport sur l’impact social et économique positif de la centrale.

 

La centrale nucléaire d’Hinkley soutient 71.000 emplois

Le dernier rapport sur l’impact social et économique de la future centrale nucléaire d’Hinkley Point C énonce plusieurs chiffres significatifs. Par exemple, pendant la construction, 71.000 emplois en Grande-Bretagne seront soutenus par le projet. De même, plus de 750 apprentis ont déjà été formés sur un objectif de 1000 à la fin du projet. Enfin, 14.000 personnes sont aujourd’hui formées et évaluées dans des installations financées par la centrale nucléaire.

 

Former les populations locales du Somerset

Le Centre des compétences et de l’innovation en construction et le Centre d’excellence en soudage forment les populations locales. Celles-ci pourront ainsi rejoindre le projet dans plusieurs secteurs comme la construction, le soudage, ou l’installation d’électricité et d’équipement. Le directeur général de Hinkley, Stuart Crooks, souligne particulièrement un « investissement dans l’éducation et la formation locales ».

 

Un partenariat avec William Hare pour une formation locale

La centrale nucléaire d’Hinkley Point C s’associe aussi avec la société William Hare, spécialisée dans la fabrication d’acier. Cette société s’appuyant sur l’expertise locale s’est engagée à offrir des postes d’apprentissages et de formation sur ses sites. Par exemple l’usine de Risca compte quatre apprentis et un nouveau poste de diplômé travaillant sur Hinkley Point C.

 

Hinkley Point C joue un « rôle essentiel dans la lutte contre le changement climatique »

Matthew Nesbit, directeur du conseil d’administration de William Hare, se réjouit de ce partenariat. Il réaffirme sa confiance dans les projets de Hinkley, et sa fierté d’avoir « un impact positif sur la communauté locale ». Enfin, Stuart Crooks a déclaré que Hinkley jouait « un rôle essentiel dans la lutte contre le changement climatique ».

Le tribunal arbitral de Moscou reporte de neuf mois le procès engagé par Rosatom contre Fortum et Outokumpu, réclamant près de trois milliards de dollars suite à l’annulation controversée d'un projet nucléaire en Finlande.
Le régulateur britannique a accepté d’examiner le réacteur avancé LFR-AS-200 de Newcleo, une première pour une technologie modulaire à caloporteur métallique au Royaume-Uni.
Framatome renforce son contrôle sur sa chaîne d’approvisionnement nucléaire en entrant à hauteur de 40 % au capital de Selectarc, unique producteur français de métaux d’apport de soudage.
Le gouvernement britannique a sélectionné Rolls-Royce SMR pour piloter le déploiement de petits réacteurs modulaires, visant à sécuriser une capacité nucléaire de 24 GW d’ici 2050.
Orano USA a inauguré un nouveau bureau à Oak Ridge, Tennessee, pour diriger le développement d’une installation d’enrichissement d’uranium, marquant l’un des plus importants investissements industriels de l’histoire de l’État.
AtkinsRéalis et EDF ont signé un accord stratégique visant à intégrer leurs compétences dans l’ingénierie nucléaire, l’équipement et la gestion des déchets, tout en conservant la souveraineté technologique de chaque pays.
Le gouvernement britannique officialise un financement majeur de 14,2 milliards de livres pour développer deux réacteurs nucléaires EPR dans l’est du pays, en partenariat stratégique avec le groupe français EDF, avec une décision finale attendue prochainement.
L’Agence internationale de l’énergie atomique a confirmé que des documents confidentiels ont été acquis par l’Iran, suscitant des inquiétudes sur la coopération du pays avec l’agence.
Une nouvelle loi prolonge la durée de vie des réacteurs nucléaires au Japon, permettant leur exploitation après 60 ans afin de soutenir la demande énergétique croissante et réduire la dépendance aux combustibles fossiles.
Les États-Unis bloquent les licences d’exportation d’équipements nucléaires vers la Chine, amplifiant les tensions commerciales bilatérales déjà marquées par des restrictions technologiques stratégiques et de possibles représailles.
La Russie demande l'intervention de l'AIEA afin de résoudre le blocage lié au combustible américain à la centrale nucléaire de Zaporijia, enjeu crucial pour un éventuel redémarrage du site, actuellement sous contrôle russe.
NANO Nuclear Energy a nommé Seth Berl, cadre d’Intel et ancien dirigeant du Département de l’Énergie, en tant qu’administrateur indépendant pour soutenir sa stratégie dans les technologies nucléaires avancées.
La Cour des comptes demande à l’État d’accélérer la recherche de sites pour stocker durablement des déchets radioactifs à vie longue, représentant plus de 280 000 m³, actuellement sans solution opérationnelle.
La commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale rejette par erreur un article décisif sur la stratégie nucléaire française, créant une vive confusion parlementaire et remettant en question les objectifs énergétiques du pays.
La justice tchèque autorise un projet nucléaire majeur de 18 milliards USD, permettant à Korea Hydro & Nuclear Power de poursuivre la construction d'une centrale controversée, malgré les contestations légales.
L’italien Ansaldo Energia a conclu un protocole d’accord avec l’agence ouzbèke Uzatom pour coopérer sur les technologies nucléaires avancées, avec un accent particulier sur les petits réacteurs modulaires.
La Commission américaine de régulation nucléaire a validé la version augmentée du petit réacteur modulaire de NuScale, renforçant la voie vers la commercialisation de projets nucléaires compacts aux États-Unis.
Korea Hydro & Nuclear Power a signé un contrat de 26 mois pour évaluer un site dans la région de Buyende en vue de construire le premier réacteur nucléaire d’Ouganda, conformément aux normes de l’Agence internationale de l’énergie atomique.
EDF conteste la légalité de l’attribution du contrat nucléaire à KHNP, invoquant un possible soutien public sud-coréen contraire aux règles européennes, ce qui a conduit à la suspension temporaire du projet Dukovany II.
La société canadienne enCore Energy a reçu l’autorisation réglementaire d’étendre sa licence de matériaux radioactifs au projet Upper Spring Creek, lançant ainsi la construction de nouvelles installations ISR en périphérie de son site de Rosita.