Le groupe nucléaire Orano a confirmé la libération de son représentant au Niger, détenu depuis mai, alors que les tensions entre la junte nigérienne et l’entreprise française restent vives autour du contrôle des gisements d’uranium.
EDF lance une plateforme numérique souveraine pour sécuriser les échanges de données entre les acteurs du nucléaire, dans le but d’accélérer la construction des futurs réacteurs EPR2.
ONE Nuclear Energy publie une présentation virtuelle à destination des investisseurs détaillant sa vision industrielle, en amont de sa fusion avec Hennessy Capital Investment Corp. VII attendue au premier semestre 2026.
Une majorité d’Américains soutient désormais l’énergie nucléaire, avec une adhésion marquée à la reconversion des centrales à charbon en sites nucléaires et un appui croissant à la recherche publique sur les technologies du secteur.
Alfa Laval étend sa coopération avec EDF afin de fournir des échangeurs thermiques aux projets EPR2 sur trois sites nucléaires, consolidant ainsi sa position dans la filière nucléaire française.
Hadron Energy formalise son plan réglementaire avec les autorités américaines du nucléaire civil avant sa fusion à $1.2bn avec GigCapital7, misant sur une stratégie de conformité anticipée pour accélérer la mise sur le marché de son micro-réacteur.
L’Agence internationale de l’énergie atomique déplore le blocage persistant des inspections sur plusieurs installations nucléaires iraniennes endommagées, où se trouvent encore des stocks d’uranium enrichi à des niveaux élevés.
Orano teste durant quatre mois un robot doté d’intelligence artificielle sur son site de Melox afin d’évaluer ses capacités d’assistance dans des opérations industrielles sensibles et répétitives.
Le projet britannique Sizewell C franchit une étape clé avec un financement consolidé par EDF incluant un prêt garanti par Bpifrance et un soutien du National Wealth Fund, pour un coût total estimé à GBP38bn ($48.19bn).
NGE, via sa filiale Sade, a décroché un contrat pour la réalisation des réseaux de Système d'Eau de Circulation (SEC) de six réacteurs EPR2 en France, un projet stratégique pour la sûreté nucléaire et l'innovation industrielle.
Constellation prévoit d’augmenter la capacité nucléaire de Calvert Cliffs dans le Maryland, avec des projets visant à répondre à l'augmentation de la demande énergétique et à soutenir la croissance économique de l’État.
L'Office for Nuclear Regulation (ONR) a accordé à EDF Energy l'autorisation officielle de démanteler la centrale nucléaire de Hinkley Point B, dans le Somerset, après la fin de son exploitation en août 2022.
L'Illinois et l'État de New York font des progrès significatifs pour développer des capacités nucléaires supplémentaires, visant à renforcer leur production d'énergie tout en diversifiant leurs sources.
La société américaine Intuitive Machines a obtenu un contrat supplémentaire pour développer une technologie nucléaire compacte destinée aux missions lunaires et aux infrastructures spatiales prolongées.
La société Centrales Nucleares Almaraz-Trillo a officiellement demandé l’extension de l’exploitation des réacteurs Almaraz I et II jusqu’en 2030, remettant en cause le calendrier initial de fermeture du parc nucléaire espagnol.
Le groupe américain Amentum obtient des positions stratégiques sur un cadre de démantèlement nucléaire de 15 ans au Royaume-Uni, d'une valeur pouvant atteindre £1,4bn ($1.9bn), à travers plusieurs projets menés sur le site de Sellafield.
La centrale nucléaire finlandaise Olkiluoto bénéficiera d’un prêt de €90mn ($104mn) de la Banque européenne d’investissement pour rénover ses unités I et II, dans le cadre d’un programme visant à prolonger leur durée de vie opérationnelle.
Electrabel a confié à Framatome la modernisation du système de contrôle-commande du réacteur Tihange 3, renforçant la stratégie de prolongation du nucléaire en Belgique engagée depuis 2023.
Hitachi s’engage aux côtés de Washington et Tokyo dans des projets stratégiques visant à moderniser le réseau électrique américain et soutenir la montée en puissance de l’intelligence artificielle via le nucléaire et l’électrification.
NANO Nuclear restructure ses activités canadiennes sous le nom de True North Nuclear afin d’accélérer le développement réglementaire et industriel de son micro-réacteur KRONOS MMR™.
Le gouvernement suédois propose un cadre budgétaire de $23.4bn dans son projet 2026 pour soutenir la construction de nouveaux réacteurs nucléaires via des prêts et mécanismes de couverture de prix.
Framatome inaugure une implantation à Navi Mumbai pour appuyer les programmes de prolongation d’exploitation et de nouvelles constructions, en coordination avec Électricité de France et des partenaires locaux, dans la perspective de 100 GW de capacité nucléaire en 2047.
Heqi No. 1, intégré à la centrale de Tianwan, livre 4,8 mn tonnes de vapeur de procédé nucléaire par an au pôle pétrochimique de Lianyungang, avec une production validée par un appariement réacteur-turbine et un échange thermique multi-étages.
Un projet de fabrication de combustibles nucléaires à Lingen impliquant la société française Framatome et le russe Rosatom suscite l’inquiétude en Allemagne, où les derniers réacteurs ont été arrêtés en 2023.
Le gouvernement suédois met en place un programme de prêts publics d’une valeur de $20,2bn destiné à financer la construction de nouveaux réacteurs nucléaires et renforcer la sécurité de l’approvisionnement électrique.
Les discussions entre l’Iran et le groupe E3 n’ont pas abouti, laissant planer le retour des sanctions économiques qui pourraient lourdement affecter le secteur pétrolier iranien.
Une grève nationale a entraîné une baisse ciblée de la production nucléaire d’EDF, affectant uniquement le réacteur Flamanville 1, sans impact sur l’hydroélectricité.
Framatome a ouvert un nouveau site à Navi Mumbai, marquant une étape stratégique dans son expansion sur le marché nucléaire indien, alors que le pays vise une capacité installée de 100 GW d’ici 2047.
La cession de la technologie ODIN™ à Cambridge Atom Works permet à NANO Nuclear de se recentrer sur ses réacteurs à gaz modulaires tout en capitalisant sur des redevances potentielles.
Le groupe canadien Aecon collaborera avec l’estonien Fermi Energia sur les travaux préparatoires du réacteur modulaire BWRX-300, avec l’objectif d’industrialiser l’expertise canadienne dans le nucléaire de petite taille.
Kansai Electric Power redémarrera en novembre les études de faisabilité pour un nouveau réacteur à Mihama, interrompues après Fukushima, dans le cadre d’un effort public prolongé pour relancer les investissements dans le nucléaire japonais.
Terra Innovatum a signé un protocole d’accord avec Conuar pour la fourniture de composants essentiels à la production industrielle de son micro-réacteur modulaire SOLO, marquant une avancée stratégique vers le marché sud-américain.
La validation des permis d’injection souterraine par l’Agence américaine de protection de l’environnement renforce la position réglementaire du projet Dewey Burdock et ouvre la voie à l’obtention des autorisations d’État prévues en 2025.
Face aux enjeux de sécurité énergétique, plusieurs pays d’Asie du Sud-Est misent sur le nucléaire et investiraient jusqu’à 208 milliards $ pour atteindre 25 GW de capacité, en privilégiant les petits réacteurs modulaires.
Un partenariat stratégique entre le Royaume-Uni et les États-Unis vise à raccourcir les délais d’autorisation nucléaire et renforcer la coopération industrielle autour de la fusion et des réacteurs modulaires.
L’Agence internationale de l’énergie atomique anticipe une capacité nucléaire mondiale de 992 GW d’ici 2050, misant sur l’essor des petits réacteurs modulaires et la prolongation de vie des centrales existantes.
Premier American Uranium et Nuclear Fuels ont annoncé viser la clôture de leur regroupement stratégique autour du 19 septembre, sous réserve de l’approbation finale de la Bourse de croissance TSX.
La Cour générale de l’Union européenne a rejeté le recours de l’Autriche contre l’intégration du gaz et du nucléaire dans la classification des investissements durables.
Le Kazakhstan a signé un accord avec Nukem Technologies Engineering Services GmbH pour bénéficier d’une expertise allemande dans le démantèlement nucléaire et la gestion des déchets radioactifs.
La Cour de justice de l’Union européenne a annulé la décision de la Commission européenne autorisant l’aide d’État hongroise au projet nucléaire Paks II, remettant en question le respect des règles de passation de marchés publics.