Après deux saisies en dix jours, les autorités américaines poursuivent un nouveau pétrolier soupçonné de contourner les sanctions. Données de suivi maritime et déclarations officielles suggèrent une intensification des contrôles sur les cargaisons de brut liées au Venezuela.
La Chine réduit ses positions minières au Canada et au Groenland, freinée par des cadres réglementaires hostiles, et consolide ses investissements publics en Russie arctique pour sécuriser ses approvisionnements stratégiques.
Le président turc a suggéré à Vladimir Poutine un cessez-le-feu limité visant les sites portuaires et énergétiques en Ukraine, afin de réduire les risques pour les installations stratégiques et d’ouvrir la voie à des négociations.
New Delhi et Moscou renforcent leur corridor énergétique malgré les pressions tarifaires et réglementaires américaines, maintenant des flux pétroliers soutenus par des mécanismes logistiques et financiers alternatifs.
Les États-Unis ancrent leur présence énergétique en Méditerranée orientale, en consolidant un corridor gazier via la Grèce vers l’Europe centrale, au détriment des flux russes et de l’influence logistique chinoise sur le port du Pirée.
Paris et Pékin s’accordent sur la création d’un groupe de travail bilatéral climat, centré sur les technologies nucléaires, les énergies renouvelables et le maritime, dans un contexte de tensions commerciales croissantes entre la Chine et l’Union européenne.
Ankara prévoit d’investir dans la production de gaz aux États-Unis afin de sécuriser son approvisionnement en GNL et de devenir un fournisseur clé pour le sud de l’Europe, selon le ministre turc de l’Énergie.
Trois navires russes visés au large de la Turquie ravivent les inquiétudes d’Ankara quant à la sécurité de l’approvisionnement gazier et pétrolier en mer Noire, ainsi que la vulnérabilité de ses infrastructures sous-marines.
Bucarest autorise une prise en main exceptionnelle des actifs locaux de Lukoil, afin d’éviter un choc d’approvisionnement tout en respectant les sanctions internationales visant le groupe russe. Trois repreneurs sont déjà en discussions avancées.
Les gouvernements européens souhaitent intégrer des clauses de sauvegarde et un mécanisme de révision dans l'accord commercial conclu avec Washington afin de limiter les risques d’un afflux de produits américains sur leur marché.
Le champ gazier de Khor Mor, opéré par Pearl Petroleum, a été frappé par un drone armé, interrompant la production et provoquant des coupures d’électricité touchant 80 % de la capacité énergétique du Kurdistan irakien.
Global South Utilities investit 1 milliard $ dans de nouveaux projets solaires, éoliens et de stockage pour renforcer les capacités énergétiques du Yémen et étendre son influence dans la région.
British International Investment et FirstRand s’allient pour financer la décarbonation des entreprises africaines, à travers une facilité ciblée sur le soutien aux secteurs les plus émetteurs de carbone.
Budapest se mobilise pour assurer l’approvisionnement pétrolier serbe, menacé par la suspension des flux via la Croatie après les sanctions américaines contre la raffinerie NIS, détenue majoritairement par la Russie.
Moscou affirme vouloir accroître ses exportations de pétrole et de gaz naturel liquéfié vers Pékin, tout en consolidant la coopération bilatérale dans un contexte de restrictions américaines visant les producteurs russes.
La Banque européenne d’investissement mobilise 2 Mds€ de financements garantis par la Commission européenne pour des projets énergétiques en Afrique, avec un objectif stratégique inscrit dans la diplomatie énergétique de l’Union européenne.
La Russie subit une baisse structurelle de ses revenus énergétiques alors que les sanctions renforcées contre Rosneft et Lukoil fragilisent les flux commerciaux et aggravent le déficit budgétaire fédéral.
Washington impose de nouvelles sanctions ciblant navires, armateurs et intermédiaires en Asie, rendant plus risqué le commerce de pétrole iranien et redéfinissant le périmètre de conformité maritime dans la région.
La licence OFAC sur Paks II permet de contourner les sanctions contre Rosatom en échange d’un ancrage technologique américain, reconfigurant l’équilibre d’intérêts entre Moscou, Budapest et Washington.
Finlande, Estonie, Hongrie et Tchéquie multiplient les initiatives bilatérales en Afrique pour capter des projets énergétiques et miniers stratégiques dans le cadre du programme européen Global Gateway.
Le Great Sea Interconnector (GSI) est un projet ambitieux visant à relier les réseaux électriques de Chypre, de la Grèce et du Moyen-Orient. Ce câble stratégique pourrait transformer la sécurité énergétique de la région tout en soulevant des défis géopolitiques majeurs.
L'Azerbaïdjan se positionne comme un acteur clé dans la lutte contre le changement climatique en lançant le Climate Finance Action Fund lors de la COP29. Cette initiative vise à mobiliser des ressources pour la décarbonation et la transition énergétique mondiale.
L'Asie centrale, en quête de nouveaux partenariats, se tourne vers l'Allemagne pour développer des corridors commerciaux et énergétiques. Cette dynamique, face aux enjeux géopolitiques actuels, pourrait transformer la région en un acteur clé sur la scène internationale.
Le débat sur la taxation des voitures électriques chinoises s'intensifie, avec des tensions croissantes entre l'Union européenne et la Chine. Les acteurs clés appellent à une solution négociée pour éviter une guerre commerciale nuisible aux deux économies.
Les récentes augmentations tarifaires des États-Unis sur les importations chinoises, touchant divers secteurs, soulèvent des inquiétudes quant à leurs répercussions économiques. Cet article explore les implications de ces décisions sur les relations commerciales et l'économie mondiale.
La régulation des projets d'exportation de gaz naturel liquéfié (GNL) aux États-Unis évolue rapidement, avec des implications majeures pour les projets Rio Grande et Texas LNG. Les décisions judiciaires récentes soulignent les tensions entre développement économique et préoccupations environnementales.
Indian Oil Corporation a signé un accord majeur avec ADNOC pour 1 million de tonnes de LNG par an pendant 15 ans. Cet engagement renforce les relations énergétiques entre l'Inde et les Émirats, tout en répondant à la demande croissante du LNG en Inde.
Apollo Global Management a conclu un accord de 1 milliard de dollars avec BP pour acquérir une participation dans le Trans Adriatic Pipeline. Cet investissement stratégique vise à renforcer la sécurité énergétique de l'Europe tout en diversifiant les sources d'approvisionnement.
L'Allemagne intensifie ses efforts pour sécuriser des matières premières en Asie centrale, notamment avec l'Ouzbékistan, dans un contexte géopolitique complexe. Cette stratégie vise à diversifier ses approvisionnements énergétiques tout en abordant des enjeux de droits humains et de transparence.
Wien Energie, principal fournisseur d'énergie à Vienne, s'engage à éliminer le gaz russe d'ici 2025, répondant ainsi aux enjeux de sécurité énergétique en Europe. Cette initiative marque un tournant stratégique pour l'Autriche dans un contexte géopolitique complexe.
La crise énergétique en Europe, exacerbée par des tensions géopolitiques, pousse la Grèce à solliciter des réformes auprès de l'UE. Le Premier ministre Mitsotakis propose des mesures pour stabiliser les prix et renforcer la sécurité énergétique.
Le remorquage du pétrolier MV Sounion en mer Rouge soulève des inquiétudes majeures concernant l'environnement et la sécurité maritime. Les tensions géopolitiques exacerbées par cette crise mettent en lumière l'urgence d'une coopération internationale pour prévenir de futures catastrophes.
Les récentes sanctions américaines contre des responsables vénézuéliens visent à affaiblir le soutien au régime de Maduro, tout en soulevant des questions sur l'impact à long terme sur le secteur pétrolier et la stabilité économique du pays.
L'Arabie Saoudite prévoit de passer d'un Accord sur les Quantités Limitées à un Accord de Garanties Complètes avec l'AIEA d'ici fin 2024, marquant un tournant dans sa politique nucléaire et répondant aux préoccupations internationales sur la non-prolifération.
La dynamique actuelle du marché de l'uranium enrichi est marquée par des tensions géopolitiques et des changements réglementaires. Les entreprises, comme Centrus, doivent s'adapter à ces défis pour sécuriser leur approvisionnement et répondre aux besoins croissants du secteur.
La politique américaine envers le Venezuela oscille entre sanctions économiques et préoccupations migratoires. Alors que l'administration Biden évalue ses options, les enjeux géopolitiques et humanitaires compliquent la situation, rendant l'avenir incertain pour la région.
Face aux sanctions occidentales, la Russie pourrait limiter ses exportations de métaux stratégiques tels que l'uranium, le titane et le nickel, impactant directement les marchés mondiaux et les chaînes d'approvisionnement.
L'European Investment Bank ouvre un hub régional à Pretoria pour soutenir les projets d'infrastructure et d'énergie en Afrique australe et dans l'océan Indien, en ligne avec la stratégie Global Gateway de l'Union Européenne.
Malgré les sanctions occidentales, l'Iran prévoit d'augmenter ses exportations pétrochimiques en 2024-2025, en contournant les restrictions via des partenariats stratégiques avec la Russie et d'autres marchés.
L'ONU propose un système global de traçabilité des minerais critiques, cruciaux pour la transition énergétique, afin de prévenir les abus sociaux et environnementaux dans leur chaîne d'approvisionnement.