Le fournisseur de services énergétiques SLB a vu ses bénéfices plonger de 38 % sur un an au troisième trimestre 2025, alors même que l'intégration de ChampionX a soutenu une croissance de 4 % du chiffre d’affaires.
EDF confirme étudier des ouvertures de capital et appelle à une priorisation stricte de ses investissements, face à une dette de €54,3bn ($57.5bn) et des besoins de financement colossaux à l’horizon 2040.
Le consortium dirigé par Masdar et CPP Investments propose de racheter la totalité de ReNew pour un prix valorisant l’action à $8,15, soit une hausse de 15,3 % par rapport à l’offre initiale.
À Kuala Lumpur, Huawei Digital Power a dévoilé ses technologies de formation de réseau, positionnées comme levier stratégique pour renforcer les interconnexions électriques et accélérer le développement du marché régional de l’énergie dans l’ASEAN.
Voltalia a conclu un partenariat stratégique avec l’IFC pour développer des projets d’énergie renouvelable sur mesure destinés au secteur minier dans plusieurs pays africains.
Le Ghana obtiendra un appui accru de la Banque mondiale pour stabiliser son réseau électrique, alors que le pays fait face à une dette énergétique de plus de $3,1bn.
Repsol a lancé un projet pilote de plateforme multi-agents d’intelligence artificielle, développé avec Accenture, afin de transformer l’organisation interne et améliorer la productivité de ses équipes.
ABB a enregistré une croissance à deux chiffres de ses ventes d’équipements pour centres de données, contribuant à une hausse de 28% de son bénéfice net au troisième trimestre, dépassant ainsi les attentes du marché.
Le producteur britannique d’électricité Infinis a finalisé un accord bancaire de £391mn ($476mn) pour soutenir la prochaine phase de développement de ses projets solaires et de stockage d’énergie.
Le Conseil d'administration de Nexans a officialisé la nomination immédiate de Julien Hueber comme Directeur Général, mettant fin au mandat de Christopher Guérin après sept années à la tête du groupe industriel.
JP Morgan Chase a lancé une initiative d’investissement de 1 500 milliards $ sur dix ans visant les minéraux critiques, les technologies de défense et les chaînes d’approvisionnement stratégiques aux États-Unis.
Face à la montée de la demande mondiale en technologies bas carbone, plusieurs pays africains initient une stratégie industrielle régionale centrée sur la valorisation locale de leurs minerais critiques.
Maersk et CATL ont signé un protocole d’accord stratégique pour renforcer leur coopération logistique mondiale et développer des solutions d’électrification à grande échelle dans la chaîne d’approvisionnement.
Le groupe ABB a tenté à plusieurs reprises d’acquérir Legrand, mais l’État français a opposé un refus, invoquant des enjeux stratégiques liés aux centres de données.
Aramco devient actionnaire majoritaire de Petro Rabigh après l’achat de 22,5 % des parts détenues par Sumitomo, consolidant sa stratégie aval et renforçant la transformation industrielle du complexe pétrochimique saoudien.
Chevron India étend ses capacités avec un centre d'ingénierie de 29 000 m² à Bengaluru, conçu pour appuyer ses opérations mondiales grâce à l’intelligence artificielle et l’expertise technique locale.
Face à la hausse des coûts énergétiques et à l’afflux d’importations bon marché, Ineos annonce une réduction de 20 % des effectifs sur son site d’acétyles à Hull et appelle à des mesures urgentes contre la concurrence étrangère.
Portées par la demande croissante en métaux stratégiques, les fusions et acquisitions minières en Afrique se multiplient, consolidant les acteurs locaux tout en les confrontant à un environnement juridique et réglementaire plus complexe.
Ares Management a pris une participation de 49 % dans dix actifs énergétiques détenus par EDP Renováveis aux États-Unis, pour une valeur d’entreprise estimée à $2.9bn.
Ameresco a obtenu un contrat de 197 M$ avec le laboratoire de recherche navale des États-Unis pour moderniser ses infrastructures énergétiques sur deux sites stratégiques, avec une économie prévue de 362 M$ sur 21 ans.
Shell voit son bénéfice net chuter de 8% au premier semestre 2024, impacté par des amortissements élevés et des marges sous pression dans le raffinage et la vente d'hydrocarbures.
Technip Energies maintient ses prévisions pour 2024, soutenue par une solide performance des commandes et une hausse de 46% de son bénéfice net au premier semestre.
OMV affiche des résultats en baisse au deuxième trimestre, impactée par la baisse des prix du gaz et les nouvelles régulations en Roumanie, tout en augmentant son bénéfice opérationnel.
Eni et SOCAR ont signé un Memorandum of Understanding pour explorer des synergies dans l'exploration de gaz, la réduction des émissions de GES et le développement durable en Azerbaïdjan.
BP affiche une baisse significative de son bénéfice net pour le premier semestre, impacté par des dépréciations d'actifs et la diminution des marges de raffinage, malgré des résultats meilleurs qu'attendus par les analystes.
Energias de Portugal (EDP) a triplé son bénéfice au deuxième trimestre, atteignant 408 millions d'euros grâce à la montée en puissance des énergies renouvelables.
Veolia obtient la validation de ses objectifs climatiques par SBTi et Moody's, affirmant son rôle clé dans la décarbonation globale et l'atteinte de la neutralité carbone d'ici 2050.
Iberdrola, leader des énergies renouvelables, annonce une hausse de 64 % de son bénéfice au premier semestre 2024, soutenue par des ventes d'actifs majeures et une production électrique augmentée, notamment hydroélectrique.
Baker Hughes prévoit une baisse des dépenses en Amérique du Nord, misant sur une demande internationale accrue et la croissance des équipements gaziers pour stimuler ses revenus annuels.
Splight Inc. obtient 12 millions de dollars pour développer sa technologie IA, réduisant la congestion du réseau et optimisant l'intégration des énergies renouvelables.
EDF enregistre une hausse de 21% de son bénéfice net au premier semestre 2024, atteignant 7 milliards d'euros, mais prévoit une baisse durable des prix de l'électricité impactant ses futurs résultats.
Le géant italien des hydrocarbures Eni a vu son bénéfice net bondir de 125 % à 661 millions d'euros au deuxième trimestre, dans un contexte de hausse des cours du pétrole. Ces résultats surpassent les attentes et reflètent une forte croissance dans la production d'énergie renouvelable et le bioraffinage.
Orano, spécialiste français du combustible nucléaire, enregistre une perte de 133 millions d'euros au premier semestre 2024, en raison de la situation politique dégradée au Niger, affectant ses activités minières.
Le géant italien de l'énergie, Enel, enregistre une augmentation de 64,9% de son bénéfice net au premier semestre, atteignant 4,1 milliards d'euros malgré la baisse des prix de l'électricité et du gaz.
Le groupe énergétique espagnol Repsol annonce une hausse de 14% de son bénéfice net au premier semestre 2024, atteignant 1,63 milliard d'euros, malgré la baisse des cours du gaz et du pétrole.
Le fabricant de câbles industriels Nexans revoit ses prévisions financières pour 2024 à la hausse, après avoir affiché des résultats impressionnants au premier semestre, avec une augmentation de 32% de son bénéfice net, atteignant 174 millions d'euros contre 132 millions un an plus tôt.
TotalEnergies annonce un bénéfice de 3,8 milliards d'euros pour le second trimestre, en baisse de 7% en raison de la baisse des marges de raffinage et des ventes de gaz.
GE Vernova, issu de General Electric, annonce une légère augmentation de ses revenus et améliore ses prévisions annuelles, portée par la demande accrue pour ses solutions Power et Electrification.