Le gouvernement français prévoit de fusionner l'Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (IRSN) avec d'autres organisations. Cette décision soulève des interrogations quant au sort de l'expertise française en matière de sûreté nucléaire. Les salariés de l'IRSN seront répartis entre l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), chargée de réglementer le secteur, et le Commissariat à l'énergie atomique (CEA). Toutefois, cette décision suscite des inquiétudes et les syndicats du personnel de l'IRSN appellent à la grève le 20 février.