Les États membres de l’Union européenne ont validé le principe d’une interdiction totale des importations de gaz naturel russe, avec une mise en œuvre prévue d’ici fin 2027.
Washington conditionne la levée des droits additionnels à une baisse vérifiable des importations indiennes de brut russe, tandis que New Delhi invoque des commandes déjà engagées et la stabilité d’approvisionnement pour le marché intérieur.
La baisse des importations et la hausse du raffinage en septembre ont ramené le surplus brut de la Chine à son plus bas niveau depuis huit mois, ouvrant la voie à une reprise tactique des achats face au recul du Brent sous les 61 dollars.
L’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder a soutenu la pertinence du gazoduc Nord Stream 2 devant une commission d’enquête, rejetant les critiques sur son rôle et les financements russes liés au projet.
La Cour suprême des Pays-Bas a rejeté l’ultime recours de la Russie, confirmant l’indemnisation record de $50bn en faveur des anciens actionnaires de Ioukos, mettant fin à deux décennies de bataille judiciaire.
Donald Trump déclare avoir obtenu l'engagement de Narendra Modi pour mettre fin aux importations de pétrole russe, ajoutant une pression politique sur les relations commerciales indo-russes.
Deux commissions du Parlement européen proposent d’avancer à 2026 et 2027 l’arrêt complet des importations d’hydrocarbures russes, incluant pétrole, gaz et GNL, renforçant ainsi la position géopolitique de l’Union européenne.
L’essor des centres de données, l’électrification, l’industrialisation asiatique et la dépense militaire redessinent les dynamiques du marché mondial du cuivre, alors que l’insuffisance des investissements miniers pourrait aggraver la volatilité des prix.
Pékin qualifie d’ingérence les appels de Donald Trump à cesser les importations de brut russe, dénonçant une coercition économique et défendant des échanges qualifiés de légitimes avec Moscou.
Les États-Unis ont appelé le Japon à cesser ses importations de gaz russe, dans un contexte de tensions croissantes sur les intérêts économiques croisés entre alliés face au financement indirect de la guerre en Ukraine.
L’Inde subit la pression croissante des États-Unis sur ses achats de pétrole russe, alors que Donald Trump évoque une promesse de retrait faite par le Premier ministre Narendra Modi.
Le Royaume-Uni cible deux majors russes, des ports asiatiques et plusieurs dizaines de navires dans une nouvelle série de sanctions visant les exportations d’hydrocarbures de Moscou.
Les grands négociants pétroliers mondiaux prévoient une baisse continue du Brent, évoquant la fin du risque géopolitique et un retour de l’offre, notamment hors OPEP.
Une feuille de route en cours d’élaboration vise à poser les bases réglementaires et techniques du développement des petits réacteurs modulaires, avec l’objectif de renforcer la sécurité énergétique nationale et d’attirer des capitaux privés.
Naftogaz appelle l'Union européenne à utiliser les capacités de stockage de gaz de l'Ukraine dans un système de réserves stratégiques, tout en demandant la fin des obligations de remplissage après 2027.
L’agence nucléaire des Nations unies presse l’Ukraine et la Russie d’instaurer un cessez-le-feu local pour réparer les lignes électriques endommagées de la centrale de Zaporijjia, en alerte depuis la perte totale de courant externe.
La Chine a importé en moyenne 11,5 millions de barils de pétrole brut par jour en septembre, soutenue par des taux de raffinage en hausse chez les opérateurs publics et indépendants.
L’OPEP confirme ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole et anticipe un déficit bien plus faible pour 2026, en raison de l’augmentation de la production par les membres de l’OPEP+.
Moscou intensifie ses projets industriels conjoints avec le Tadjikistan en misant sur l’hydroélectricité, les cultures agricoles et l’extraction minière dans une logique d’intérêt mutuel et de complémentarité économique.
JANAF s’intéresse à une prise de participation de 20 à 25 % dans NIS, alors que la part russe du capital est désormais soumise à des sanctions américaines.
La France se dit prête à réévaluer son opposition au projet MidCat, projet de gazoduc reliant la péninsule ibérique à la France. Dans un contexte de crise énergétique, l'Espagne, le Portugal et l'Allemagne font pression pour voir le projet aboutir.
Le sabotage est la piste privilégiée pour expliquer les fuites de Nord Stream. Les États-Unis calment le jeu. Ils attendent les résultats de l'enquête avant de se prononcer. Ils se disent prêts à soutenir l'Europe dans le cadre de celle-ci.