Le gouvernement italien exige des engagements sur la sécurité d’approvisionnement avant d’approuver la cession d’Italiana Petroli au groupe étatique azéri SOCAR, alors que les négociations se poursuivent.
Rosneft Germany annonce la reprise des livraisons de pétrole vers la raffinerie PCK, après la réparation de l’oléoduc Druzhba touché par une attaque de drone en Russie ayant perturbé l’approvisionnement kazakh.
En déplacement à Pékin, Vladimir Poutine a appelé la Slovaquie à suspendre ses livraisons d’énergie à l’Ukraine, en réponse aux frappes ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques russes.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
Budapest prévoit d’achever en 2027 une nouvelle liaison pétrolière avec Belgrade, malgré les risques de dépendance aux flux russes dans un contexte marqué par les frappes sur les infrastructures.
La Hongrie a importé plus de 5 milliards de mètres cubes de gaz naturel russe depuis janvier via TurkStream, dans le cadre de ses accords à long terme avec Gazprom, soutenant ainsi ses infrastructures énergétiques nationales.
Stockholm veut relancer l’extraction d’uranium en levant l’interdiction en vigueur depuis 2018, misant sur ses propres ressources pour sécuriser ses approvisionnements stratégiques et soutenir sa production d’électricité nucléaire.
Les États-Unis prolongent de 30 jours le sursis accordé à NIS, contrôlée par Gazprom, alors que la Serbie cherche à maintenir sa sécurité énergétique malgré la pression sur le secteur russe.
Avec une production nette atteignant 384,6 millions de barils équivalent pétrole, CNOOC Limited poursuit son expansion, renforçant ses capacités domestiques et internationales malgré un contexte volatil des prix du brut.
Face aux perturbations répétées sur l’oléoduc Droujba, attribuées à des frappes ukrainiennes, la Hongrie a demandé le soutien des États-Unis pour sécuriser son approvisionnement pétrolier.
Des drones ukrainiens ont visé une centrale nucléaire et un terminal pétrolier russes, accentuant la pression sur les discussions diplomatiques, alors que Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de bloquer toute perspective de négociation.
Les exportations de gaz russe par gazoduc vers la Chine ont progressé de 21,3 % sur sept mois, contrastant avec la baisse de 7,6 % des livraisons pétrolières sur la même période.
Le groupe Photon Energy enregistre une progression de son chiffre d’affaires trimestriel, portée par le négoce de technologies solaires, tandis que la rentabilité recule sous l’effet d’un marché de la capacité affaibli.
L’oléoduc Druzhba a repris ses flux vers la Hongrie, alors que des frappes récentes soulèvent des interrogations sur les intérêts énergétiques en jeu au sein de l’Union européenne.
Des infrastructures énergétiques azerbaïdjanaises visées en Ukraine remettent en question la sécurité des flux gaziers entre Baku et Kyiv, alors qu’un nouvel accord de livraison vient à peine d’être signé.
Les flux pétroliers vers la Hongrie et la Slovaquie via l’oléoduc russe Druzhba sont interrompus, après une attaque attribuée par Budapest à des frappes ukrainiennes répétées.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Les États-Unis projettent de collaborer avec le Pakistan dans les minerais critiques et les hydrocarbures, en explorant des coentreprises et projets dans des zones stratégiques comme le Baloutchistan.
Le rapport d'août de l'OPEP dévoile une production russe supérieure aux quotas et une domination commerciale en Asie, tandis que le Kazakhstan dépasse massivement ses engagements de réduction.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Malgré les appels croissants à réduire la production d’hydrocarbures, un rapport de l’ONG Urgewald révèle que l’industrie pétrogazière a investi en moyenne 61,1 milliards de dollars annuellement dans l’exploration de gisements ces trois dernières années.
Lors de la COP29 à Bakou, le Royaume-Uni a dévoilé un plan ambitieux pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 81 % d'ici 2035, affirmant son rôle moteur dans la diplomatie climatique mondiale.
Le projet éolien de 1GW dans la région de Jambyl au Kazakhstan marque la première initiative de Masdar dans le pays. En collaboration avec ses partenaires, cette centrale vise à soutenir les ambitions de transition énergétique de la nation.
L'Arabie Saoudite, principal exportateur mondial de pétrole, a inauguré sa première plateforme d'échange de crédits carbone lors de la COP29 à Baku, visant à renforcer les efforts de décarbonation et à diversifier son économie.
Face à la menace de dépassement du seuil de réchauffement climatique de 1,5 °C, COP29 appelle à une transformation énergétique ambitieuse. IRENA insiste sur la nécessité de tripler les capacités en énergies renouvelables d’ici 2030 pour maintenir la transition énergétique sur la bonne voie.
L’OPEP+ enregistre une hausse de production de 30 000 barils par jour en octobre, un résultat marqué par l’augmentation de la production libyenne et la réduction kazakhe. La conformité reste un défi majeur pour le groupe.
Malgré les tensions croissantes et la préparation d'une contre-offensive russe dans la région de Kursk, les flux de gaz russe vers l'Europe via l'Ukraine se poursuivent normalement, selon les données de GTSOU.
À la veille d'une possible présidence Trump, les États-Unis tentent de rassurer leurs partenaires sur leur engagement climatique à la COP29, en pleine tension Nord-Sud et sur fond de débat sur l'aide financière aux pays en développement.
Lors de l'ouverture de la COP29 à Bakou, le président azerbaïdjanais Ilham Aliev a réaffirmé le droit de son pays à exploiter ses ressources naturelles. Les pays en développement plaident, de leur côté, pour une aide financière accrue des nations riches.
En tant que prétendante pour accueillir la COP31, l'Australie plaide pour des engagements climatiques ambitieux à la COP29 en Azerbaïdjan, tout en promouvant des initiatives d'hydrogène vert pour les marchés asiatiques.
À la COP29, l’Azerbaïdjan presse les négociateurs pour une adoption rapide des règles de l’Article 6, un enjeu crucial pour les marchés internationaux de crédits carbone. Les pourparlers s'intensifient à Baku, mais des obstacles demeurent.
La Chine a ratifié une législation ambitieuse visant à promouvoir la neutralité carbone et à encadrer un développement énergétique durable, en réponse aux enjeux climatiques croissants.
Le Brésil a relevé son objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 59 % à 67 % d'ici 2035, dans le cadre de son engagement envers l'Accord de Paris.
En réponse à une pénurie de carburant menaçant l'alimentation des centrales électriques, l'Iran a annoncé un rationnement de l'électricité dans Téhéran et plusieurs provinces. La durée de cette mesure reste inconnue.
La COP29 s'ouvre à Bakou, Azerbaïdjan, en pleine incertitude politique mondiale, avec des appels renouvelés pour des financements massifs en faveur des pays en développement face à la crise climatique.
Alors que les raffineries russes et kazakhes reprennent leurs activités après des périodes de maintenance, le marché énergétique anticipe des effets potentiels sur l'approvisionnement en carburants. Les incertitudes autour de l’exportation de l’essence en Russie persistent.
Le transit de gaz russe à travers l'Ukraine pourrait s'interrompre fin 2024, faute d'accord entre les acheteurs européens et Kiev. Cette décision pourrait intensifier la pression sur le marché énergétique européen.
Face à une demande énergétique croissante due à un été record, le Japon enregistre un pic de ses importations de charbon, explorant de nouveaux fournisseurs pour garantir ses besoins en électricité.
Les autorités kurdes espèrent une résolution rapide pour reprendre leurs exportations pétrolières, suspendues depuis mars 2023, suite à un amendement de Bagdad sur les coûts d'achat du pétrole extrait dans la région autonome.
À quelques jours de la COP29, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) tire la sonnette d’alarme : les avancées en efficacité énergétique sont bien en-deçà des objectifs fixés en 2023, mettant en péril la réduction des énergies fossiles.