Huit membres de l’OPEP+ se réunissent pour ajuster leurs quotas, alors que les prévisions annoncent un excédent mondial de 3 millions de barils par jour d’ici la fin de l’année.
Les compagnies maritimes grecques se retirent progressivement du transport de brut russe alors que l’Union européenne resserre les conditions de conformité sur le plafonnement des prix.
Le président ukrainien a exigé l’arrêt des importations de brut russe par la Slovaquie, en proposant une alternative d’approvisionnement, dans un contexte marqué par la guerre et les tensions diplomatiques croissantes autour de l’oléoduc Droujba.
Une station du pipeline Stalnoy Kon, essentielle au transport de produits pétroliers entre la Biélorussie et la Russie, a été la cible d’une attaque de drones menée par les forces ukrainiennes dans l’oblast de Briansk.
Rosneft Germany annonce la reprise des livraisons de pétrole vers la raffinerie PCK, après la réparation de l’oléoduc Druzhba touché par une attaque de drone en Russie ayant perturbé l’approvisionnement kazakh.
La nouvelle ligne ferroviaire russe reliant la mine d’Elga au port de la mer d’Okhotsk atteindra sa pleine capacité en 2026, après une phase d’essai opérationnel prévue pour 2025.
L’Inde a accru ses achats de pétrole et de produits pétroliers russes de 15% sur six mois, malgré de nouvelles sanctions commerciales américaines visant ces transactions.
Gazprom et China National Petroleum Corporation ont signé un mémorandum contraignant pour construire le gazoduc Force de Sibérie 2, destiné à livrer 50 milliards de m³ de gaz russe par an vers la Chine via la Mongolie.
Le groupe russe T Plus prévoit de stabiliser sa production d’électricité à 57,6 TWh en 2025, malgré un recul observé au premier semestre, selon les déclarations de son directeur général Pavel Snikkars.
L’Indonésie finalisera un accord de libre-échange avec l’Union économique eurasiatique d’ici la fin de l’année, ouvrant la voie à une intensification des projets énergétiques avec la Russie, notamment dans le raffinage et le gaz naturel.
En déplacement à Pékin, Vladimir Poutine a appelé la Slovaquie à suspendre ses livraisons d’énergie à l’Ukraine, en réponse aux frappes ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques russes.
Vladimir Poutine et Robert Fico se sont rencontrés en Chine pour aborder la guerre en Ukraine, la sécurité régionale et les relations énergétiques entre la Russie et la Slovaquie.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
Le groupe nucléaire russe Rosatom a confirmé des discussions avancées avec l’Inde et la Turquie pour le lancement de nouvelles centrales, incluant des technologies de réacteurs avancés et flottants.
Budapest prévoit d’achever en 2027 une nouvelle liaison pétrolière avec Belgrade, malgré les risques de dépendance aux flux russes dans un contexte marqué par les frappes sur les infrastructures.
La Hongrie a importé plus de 5 milliards de mètres cubes de gaz naturel russe depuis janvier via TurkStream, dans le cadre de ses accords à long terme avec Gazprom, soutenant ainsi ses infrastructures énergétiques nationales.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico prévoit une rencontre avec Vladimir Poutine à Pékin avant de recevoir Volodymyr Zelensky à Bratislava, marquant un tournant diplomatique dans ses relations avec Moscou et Kyiv.
Le ministre indien du Pétrole affirme que les importations de brut russe respectent les normes internationales, alors que des sanctions supplémentaires ont été imposées par les États-Unis et l’Union européenne.
Avec onze réacteurs en construction et des projets majeurs comme Jaitapur, l’Inde prépare une montée en puissance nucléaire qui pourrait la placer parmi les cinq premières nations du secteur.
La Russie et l’Iran cherchent à resserrer leur coopération nucléaire alors que l’E3 active le mécanisme de sanctions contre Téhéran, ravivant les tensions sur le respect de l’accord de Vienne de 2015.
Le vice-Premier ministre Alexandre Novak affirme que la production pétrolière russe pourrait retrouver un niveau durable de 10,8 millions de barils par jour, grâce à la demande mondiale croissante et à des ajustements fiscaux internes.
Les cours du pétrole ont grimpé vendredi, portés par la signature d’un accord commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ravivant les anticipations d’un apaisement dans les tensions mondiales.
Un accord sur l’exploitation de 57 types de ressources naturelles doit être ratifié par le Parlement ukrainien, prévoyant un fonds bilatéral avec Washington sans contrepartie militaire explicite.
En visite en France, le ministre saoudien de l’Industrie a présenté le titane et l’aluminium du royaume comme leviers pour conclure des accords avec les industriels français et soutenir la diversification industrielle du pays.
La hausse des tarifs douaniers entre les États-Unis et la Chine reconfigure radicalement les flux d'approvisionnement pétrochimiques chinois, menaçant d'augmenter les coûts et d'accentuer les difficultés d'approvisionnement dans un secteur stratégique déjà sous pression.
Les prix du Brent et du WTI ont fortement progressé après l’annonce d’un compromis commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ravivant les anticipations d’une reprise de la demande mondiale de brut.
Les cours du pétrole sont orientés à la baisse, sous la pression combinée d’une production accrue des membres de l’Opep+ et de la perspective d’un accord nucléaire entre l’Iran et les États-Unis.
Le méthane rejeté par les secteurs pétrolier, gazier et charbonnier est resté à un niveau quasi record selon l’Agence internationale de l’énergie, qui alerte sur l’ampleur des fuites massives observées.
La Russie se positionne en soutien actif des négociations nucléaires entre l’Iran et les États-Unis, plaidant pour un cadre juridique équilibré et conforme au droit international.
Bruxelles annonce une sortie totale du gaz russe d’ici fin 2027, malgré une dépendance résiduelle de 9% et un marché mondial du gaz naturel liquéfié sous pression.
Les prix du brut ont repris de la vigueur après une chute alimentée par l’Opep+, avec un soutien marqué de la demande d’essence aux États-Unis à l’approche de la saison estivale.
Les États-Unis multiplient les accords énergétiques avec la Roumanie et la Bulgarie, misant sur le nucléaire civil et le stockage hydraulique pour étendre leur influence dans des projets stratégiques régionaux.
Le président français reçoit à Paris le dirigeant turkmène Gourbangouly Berdymoukhamedov pour officialiser des accords économiques, sur fond de rivalités géopolitiques autour des ressources gazières d’Asie centrale.
Les États-Unis et l’Ukraine ont établi un fonds commun pour exploiter les ressources naturelles ukrainiennes, dans le cadre d’un accord bilatéral sans engagements militaires explicites.
Huit membres de l’Opep+ porteront leur production à 411 000 barils par jour en juin, intensifiant l’offre mondiale malgré une baisse marquée des prix et des tensions commerciales persistantes.
L’Ukraine bénéficiera d’un prêt de €270 millions de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, soutenu par une subvention norvégienne, afin de sécuriser ses importations de gaz sur deux hivers.
Les États-Unis et l’Ukraine ont signé un accord bilatéral établissant un fonds d’investissement destiné à financer la reconstruction et des projets d’extraction de ressources naturelles sur le territoire ukrainien.
Le groupe autrichien OMV voit son bénéfice s'effondrer sur fond d'arrêt des livraisons russes, de repositionnement stratégique dans la chimie et de mutation vers de nouveaux partenariats industriels.
Le croate ENNA Solar rachète un projet solaire de 87,5 MW en Roumanie auprès de Kraftfeld Energy et prévoit de lancer la construction au troisième trimestre 2025.
Les attaques russes contre les infrastructures gazières ukrainiennes ont réduit la production nationale de moitié, poussant Kiev à chercher des sources d'importation alternatives pour sécuriser l'approvisionnement hivernal.