Eiffage intéressé par le Rachat d’Equans

Eiffage intéressé par le rachat d’Equans, la nouvelle entité de service multi-technique issue de la scission d’Engie.|Eiffage intéressé par le rachat d’Equans, la nouvelle entité de service multi-technique issue de la scission d’Engie.

Eiffage se déclare intéressé par le rachat d’Equans, la nouvelle entité de service technique d’Engie. L’activité énergie-système du géant français du BTP pourrait bien être renforcée par ce rachat. Rien n’a été décidé pour l’instant, mais l’intérêt d’Eiffage est affirmé.

 

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Eiffage se déclare intéressé par le rachat d’Equans

Engie lance Equans en juin 2021 lors d’une scission des activités d’Engie. La structure regroupe les activités de service technique : climatisation, chauffage, ventilation, numérique, mécanique etc… Avec ses 74.000 salariés, Equans représente un chiffre d’affaires de 12 milliards d’euros.

Eiffage développe une activité énergie-système parallèlement à ses activités de constructions et d’immobilier. Cette branche de l’entreprise pourrait bien être renforcée par le rachat d’Equans.

« Nous confirmons notre intérêt sur ce dossier, que nous étudions seuls », déclare Eiffage à l’AFP.

 

La question du rachat d’Equans par Eiffage

Equans fonctionne de manière autonome au sein d’Engie depuis le 1er juillet 2021. La structure a vocation à se détacher d’Engie, qui cherche à se recentrer sur les énergies renouvelables et les infrastructures.

« Nous n’avons pas encore décidé si nous allons vendre à un (groupe) stratégique ou des (groupes) stratégiques, ou à un fonds, ou des fonds, ou même mettre sur le marché l’entité », déclare Catherine MacGregor, directrice générale d’Engie.

L’intérêt affirmé par l’entreprise pour Equans pourrait bien donner lieu au rachat de la structure par le géant français du BTP prochainement.

Baisse prévue des prix de l’énergie en 2024, malgré une hausse globale

En 2024, les prix de l’électricité et du gaz en France devraient baisser grâce aux récentes réformes gouvernementales et aux ajustements de marché. Toutefois, ils demeureront supérieurs aux niveaux pré-crise de 2021-2022, mettant en lumière les défis persistants et les stratégies nécessaires pour stabiliser le secteur énergétique dans un contexte post-crise.

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