Les deux pays ont convenu de développer des infrastructures dédiées au gaz naturel liquéfié pour renforcer la sécurité énergétique de l’Europe et stimuler les échanges transatlantiques.
L’ayatollah Ali Khamenei appelle à moderniser l’industrie pétrolière et à élargir les débouchés commerciaux alors que Téhéran est confronté à la réactivation possible des sanctions de l’accord nucléaire de 2015.
Le président ukrainien a exigé l’arrêt des importations de brut russe par la Slovaquie, en proposant une alternative d’approvisionnement, dans un contexte marqué par la guerre et les tensions diplomatiques croissantes autour de l’oléoduc Droujba.
Les États-Unis abaissent les tarifs appliqués aux importations japonaises à 15 %, tandis que Tokyo s’engage dans un plan massif d’investissements ciblant l’énergie, l’industrie et l’agriculture américaines.
La présidence brésilienne de la Cop 30 veut s’appuyer sur les engagements de Dubaï pour mobiliser acteurs publics et privés malgré les blocages persistants dans les négociations internationales.
Brasília a officiellement entamé le processus d’adhésion à l’Agence internationale de l’énergie, renforçant ainsi son positionnement stratégique sur la scène énergétique mondiale après des années de coopération étroite avec l’organisation basée à Paris.
En déplacement à Pékin, Vladimir Poutine a appelé la Slovaquie à suspendre ses livraisons d’énergie à l’Ukraine, en réponse aux frappes ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques russes.
Vladimir Poutine et Robert Fico se sont rencontrés en Chine pour aborder la guerre en Ukraine, la sécurité régionale et les relations énergétiques entre la Russie et la Slovaquie.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico prévoit une rencontre avec Vladimir Poutine à Pékin avant de recevoir Volodymyr Zelensky à Bratislava, marquant un tournant diplomatique dans ses relations avec Moscou et Kyiv.
Les trois puissances européennes déclenchent le mécanisme de sanctions onusiennes contre l’Iran, mettant sous pression les exportations pétrolières du pays au moment où Téhéran maintient une production élevée malgré les mesures occidentales.
L’Iran autorise de nouveau l’Agence internationale de l’énergie atomique à inspecter ses sites nucléaires, après une suspension provoquée par un différend sur la responsabilité des frappes israéliennes.
Premier suspect lié aux explosions du gazoduc Nord Stream, un citoyen ukrainien contesté par Berlin s’oppose à son transfert judiciaire depuis l’Italie.
Des drones ukrainiens ont visé une centrale nucléaire et un terminal pétrolier russes, accentuant la pression sur les discussions diplomatiques, alors que Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de bloquer toute perspective de négociation.
Un ressortissant ukrainien suspecté d’avoir coordonné le sabotage des gazoducs Nord Stream a été interpellé en Italie, relançant une affaire judiciaire aux fortes implications géopolitiques en Europe.
La Russie poursuit ses livraisons d’hydrocarbures vers l’Inde et explore de nouveaux débouchés pour son gaz naturel liquéfié, dans un contexte de tensions commerciales croissantes avec les États-Unis.
Des infrastructures énergétiques azerbaïdjanaises visées en Ukraine remettent en question la sécurité des flux gaziers entre Baku et Kyiv, alors qu’un nouvel accord de livraison vient à peine d’être signé.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Pékin s’oppose à l’éventuel retour des sanctions du trio européen contre l’Iran, alors que l’échéance de l’accord sur le nucléaire approche et que les tensions diplomatiques s’intensifient autour de Téhéran.
Les États-Unis projettent de collaborer avec le Pakistan dans les minerais critiques et les hydrocarbures, en explorant des coentreprises et projets dans des zones stratégiques comme le Baloutchistan.
Environ 80 normes techniques russes pour le pétrole et le gaz ont été validées à l’international, notamment par les Émirats arabes unis, l’Algérie et Oman, selon l’Institut des initiatives technologiques pétrolières.
La Turquie renforce sa position sur le marché énergétique en signant un accord de 10 ans avec TotalEnergies pour l'importation de gaz naturel liquéfié. Cette initiative vise à diversifier ses approvisionnements et à devenir un hub régional pour l'Europe.
L'affaire opposant Rosneft à Shell sur la vente de la participation de cette dernière dans la raffinerie PCK Schwedt illustre les tensions croissantes dans le secteur énergétique européen, exacerbées par le contexte géopolitique actuel et les sanctions contre la Russie.
Le Great Sea Interconnector (GSI) est un projet ambitieux visant à relier les réseaux électriques de Chypre, de la Grèce et du Moyen-Orient. Ce câble stratégique pourrait transformer la sécurité énergétique de la région tout en soulevant des défis géopolitiques majeurs.
L'Azerbaïdjan se positionne comme un acteur clé dans la lutte contre le changement climatique en lançant le Climate Finance Action Fund lors de la COP29. Cette initiative vise à mobiliser des ressources pour la décarbonation et la transition énergétique mondiale.
L'Asie centrale, en quête de nouveaux partenariats, se tourne vers l'Allemagne pour développer des corridors commerciaux et énergétiques. Cette dynamique, face aux enjeux géopolitiques actuels, pourrait transformer la région en un acteur clé sur la scène internationale.
Le débat sur la taxation des voitures électriques chinoises s'intensifie, avec des tensions croissantes entre l'Union européenne et la Chine. Les acteurs clés appellent à une solution négociée pour éviter une guerre commerciale nuisible aux deux économies.
Les récentes augmentations tarifaires des États-Unis sur les importations chinoises, touchant divers secteurs, soulèvent des inquiétudes quant à leurs répercussions économiques. Cet article explore les implications de ces décisions sur les relations commerciales et l'économie mondiale.
La régulation des projets d'exportation de gaz naturel liquéfié (GNL) aux États-Unis évolue rapidement, avec des implications majeures pour les projets Rio Grande et Texas LNG. Les décisions judiciaires récentes soulignent les tensions entre développement économique et préoccupations environnementales.
Indian Oil Corporation a signé un accord majeur avec ADNOC pour 1 million de tonnes de LNG par an pendant 15 ans. Cet engagement renforce les relations énergétiques entre l'Inde et les Émirats, tout en répondant à la demande croissante du LNG en Inde.
Apollo Global Management a conclu un accord de 1 milliard de dollars avec BP pour acquérir une participation dans le Trans Adriatic Pipeline. Cet investissement stratégique vise à renforcer la sécurité énergétique de l'Europe tout en diversifiant les sources d'approvisionnement.
L'Allemagne intensifie ses efforts pour sécuriser des matières premières en Asie centrale, notamment avec l'Ouzbékistan, dans un contexte géopolitique complexe. Cette stratégie vise à diversifier ses approvisionnements énergétiques tout en abordant des enjeux de droits humains et de transparence.
Wien Energie, principal fournisseur d'énergie à Vienne, s'engage à éliminer le gaz russe d'ici 2025, répondant ainsi aux enjeux de sécurité énergétique en Europe. Cette initiative marque un tournant stratégique pour l'Autriche dans un contexte géopolitique complexe.
La crise énergétique en Europe, exacerbée par des tensions géopolitiques, pousse la Grèce à solliciter des réformes auprès de l'UE. Le Premier ministre Mitsotakis propose des mesures pour stabiliser les prix et renforcer la sécurité énergétique.
Le remorquage du pétrolier MV Sounion en mer Rouge soulève des inquiétudes majeures concernant l'environnement et la sécurité maritime. Les tensions géopolitiques exacerbées par cette crise mettent en lumière l'urgence d'une coopération internationale pour prévenir de futures catastrophes.
Les récentes sanctions américaines contre des responsables vénézuéliens visent à affaiblir le soutien au régime de Maduro, tout en soulevant des questions sur l'impact à long terme sur le secteur pétrolier et la stabilité économique du pays.
L'Arabie Saoudite prévoit de passer d'un Accord sur les Quantités Limitées à un Accord de Garanties Complètes avec l'AIEA d'ici fin 2024, marquant un tournant dans sa politique nucléaire et répondant aux préoccupations internationales sur la non-prolifération.
La dynamique actuelle du marché de l'uranium enrichi est marquée par des tensions géopolitiques et des changements réglementaires. Les entreprises, comme Centrus, doivent s'adapter à ces défis pour sécuriser leur approvisionnement et répondre aux besoins croissants du secteur.
La politique américaine envers le Venezuela oscille entre sanctions économiques et préoccupations migratoires. Alors que l'administration Biden évalue ses options, les enjeux géopolitiques et humanitaires compliquent la situation, rendant l'avenir incertain pour la région.
Face aux sanctions occidentales, la Russie pourrait limiter ses exportations de métaux stratégiques tels que l'uranium, le titane et le nickel, impactant directement les marchés mondiaux et les chaînes d'approvisionnement.
L'European Investment Bank ouvre un hub régional à Pretoria pour soutenir les projets d'infrastructure et d'énergie en Afrique australe et dans l'océan Indien, en ligne avec la stratégie Global Gateway de l'Union Européenne.