Des commandes records et hausse du bénéfice pour Spie

Spie affirme son rebond post-confinement avec un bénéfice net enhausse de 26,8% et continue sa politique d’acquisitions.

Le groupe de services techniques aux entreprises Spie affirme son rebond post-confinements avec un bénéfice net en
hausse de 26,8% et continue sa politique d’acquisitions, a annoncé le groupe dans un communiqué.

Sur les six premiers mois de l’année, le groupe affiche un chiffre d’affaires de 3,75 milliards d’euros, en hausse de près de 14% par rapport au premier semestre 2021.

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“Notre carnet de commandes demeure à un niveau record, porté par l’accélération des tendances en matière de transition énergétique (…) et l’évolution vers les énergies bas carbone connaît une accélération sans précédent”, a déclaré le PDG du groupe, Gauthier Louette.

Spie accélère ses acquisitions avec trois nouvelles opérations conclues depuis janvier, dont une annoncée ce vendredi, visant une activité de services généraux liée à des sites de production “auprès d’une entreprise industrielle allemande de premier plan”, a annoncé Gauthier Louette, sans citer le nom de l’entreprise concernée.

Les trois achats représentent au total environ 120 millions d’euros de chiffre d’affaires, estime Spie.

Le groupe a revu sa prévision de croissance organique à la hausse, annonçant au moins 4% cette année, au lieu de 3% comme annoncé en mars, sous réserve d’une “détérioration majeure du contexte macroéconomique”, selon le communiqué. “SPIE ne dispose d’aucune activité en Ukraine ni en Russie, mai suit de très près les éventuelles conséquences de cette crise sur ses clients.”

Après avoir vu son bénéfice divisé par trois en 2020 sous l’effet de la pandémie de Covid, le groupe avait renoué avec les bénéfices au premier semestre 2021.

Baisse prévue des prix de l’énergie en 2024, malgré une hausse globale

En 2024, les prix de l’électricité et du gaz en France devraient baisser grâce aux récentes réformes gouvernementales et aux ajustements de marché. Toutefois, ils demeureront supérieurs aux niveaux pré-crise de 2021-2022, mettant en lumière les défis persistants et les stratégies nécessaires pour stabiliser le secteur énergétique dans un contexte post-crise.

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