Al-Harfi et SCLCO ont signé des accords avec les autorités syriennes pour développer des capacités solaires et éoliennes, dans un contexte de rapprochement énergétique entre Riyad et Damas.
Face aux risques liés aux approvisionnements du Moyen-Orient, les raffineurs thaïlandais et japonais se tournent vers le brut américain, soutenus par des incitations tarifaires et des stratégies alignées avec les discussions commerciales bilatérales.
La France a intercepté un pétrolier lié à des exportations russes, incitant Emmanuel Macron à appeler à une réponse européenne coordonnée pour entraver les navires contournant les sanctions sur le pétrole.
L’activation du mécanisme de snapback rétablit l’ensemble des sanctions de l’ONU contre l’Iran, impactant directement les secteurs de l’armement, de la finance et du commerce maritime international.
Le commissaire Dan Jørgensen est en visite au Groenland pour renforcer les liens énergétiques avec l’Union européenne, dans un contexte de doublement envisagé des fonds européens pour la période 2028-2034.
Les chefs de la diplomatie européenne et iranienne se retrouvent à New York pour tenter d’éviter le rétablissement des sanctions de l’ONU liées au programme nucléaire de Téhéran.
Le premier ministre canadien Mark Carney annonce un accord bilatéral avec le Mexique incluant des investissements ciblés dans les corridors énergétiques, les infrastructures logistiques et la sécurité transfrontalière.
Le président américain a appelé à un arrêt immédiat des importations de pétrole russe par les pays membres de l’OTAN, dénonçant une contradiction stratégique alors que des sanctions sont envisagées contre Moscou.
Téhéran a retiré une résolution dénonçant les attaques contre ses installations nucléaires, citant des pressions américaines sur les membres de l’AIEA, qui craignaient une suspension des contributions volontaires de Washington.
Le ministre polonais de l’Énergie appelle les États membres de l’Union européenne à s’engager collectivement à stopper les achats de pétrole russe sous deux ans, évoquant des risques géopolitiques croissants.
Athènes et Tripoli s'engagent dans un processus de négociation pour définir leurs zones économiques exclusives en Méditerranée, dans un contexte marqué par des tensions géopolitiques et des enjeux énergétiques sous-marins.
Les puissances européennes exigent des gestes concrets de Téhéran sur le nucléaire sous peine de rétablir les sanctions onusiennes, alors que les inspections de l’AIEA restent bloquées et les tensions avec Washington persistent.
Bruxelles confirme son objectif de cesser toutes les importations d’énergie russe d’ici 2028, malgré les pressions diplomatiques croissantes exercées par Washington dans le contexte du conflit en Ukraine.
Donald Trump menace d’intensifier les sanctions américaines contre la Russie, mais uniquement si les pays de l’Otan interrompent tous leurs achats de pétrole russe, encore actifs via certains oléoducs.
Les deux pays ont convenu de développer des infrastructures dédiées au gaz naturel liquéfié pour renforcer la sécurité énergétique de l’Europe et stimuler les échanges transatlantiques.
L’ayatollah Ali Khamenei appelle à moderniser l’industrie pétrolière et à élargir les débouchés commerciaux alors que Téhéran est confronté à la réactivation possible des sanctions de l’accord nucléaire de 2015.
Le président ukrainien a exigé l’arrêt des importations de brut russe par la Slovaquie, en proposant une alternative d’approvisionnement, dans un contexte marqué par la guerre et les tensions diplomatiques croissantes autour de l’oléoduc Droujba.
Les États-Unis abaissent les tarifs appliqués aux importations japonaises à 15 %, tandis que Tokyo s’engage dans un plan massif d’investissements ciblant l’énergie, l’industrie et l’agriculture américaines.
La présidence brésilienne de la Cop 30 veut s’appuyer sur les engagements de Dubaï pour mobiliser acteurs publics et privés malgré les blocages persistants dans les négociations internationales.
Brasília a officiellement entamé le processus d’adhésion à l’Agence internationale de l’énergie, renforçant ainsi son positionnement stratégique sur la scène énergétique mondiale après des années de coopération étroite avec l’organisation basée à Paris.
Summit Group ajuste ses stratégies d'importation d'énergie renouvelable suite à un changement des règles en Inde, réévaluant ses projets d'investissement dans un contexte incertain.
Le Liban obtient un soutien crucial de l'Irak avec une augmentation des livraisons de fuel lourd à 125 000 tonnes en août, visant à maintenir ses centrales électriques opérationnelles en pleine crise.
La Russie exprime son mécontentement envers l'Allemagne concernant l'enquête sur les explosions de Nord Stream, invoquant un manque de coopération internationale.
Vladimir Poutine visite l'Azerbaïdjan pour consolider les partenariats énergétiques, dans un contexte géopolitique tendu et marqué par la réorientation des flux énergétiques européens.
L'Algérie a débuté un approvisionnement immédiat en fioul pour le Liban, évitant ainsi la paralysie totale des infrastructures stratégiques après l'épuisement des stocks de la centrale de Zahrani.
Le gouvernement polonais dément fermement les accusations de complicité dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022, affirmant qu'il s'agit d'une manœuvre de désinformation visant à diviser l'OTAN.
Le gouvernement ukrainien rejette catégoriquement les accusations du Wall Street Journal concernant une éventuelle implication dans le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022, les qualifiant de "non-sens absolu".
L’expiration imminente de l’accord de transit gazier entre la Russie et l’Ukraine en 2024 pourrait entraîner des perturbations majeures dans l'approvisionnement énergétique de plusieurs pays européens, exacerbant les tensions géopolitiques actuelles.
Zsolt Hernadi, PDG du groupe hongrois MOL, rejette l'idée de se passer du pétrole russe, malgré les avertissements sur les pénuries de carburant en Hongrie.
Les nouvelles sanctions américaines contre l'Iran et les rebelles houthis secouent le marché pétrolier, amplifiant les tensions géopolitiques au Moyen-Orient et perturbant les chaînes d'approvisionnement.
La Zambie importera 200 MW d’électricité de l’Afrique du Sud et du Zimbabwe pour pallier les coupures de courant sévères causées par une sécheresse prolongée.
La Commission européenne assure qu'il n'y a pas de menace pour l'approvisionnement en pétrole de la Hongrie et de la Slovaquie malgré les sanctions ukrainiennes contre Lukoil, le transit via l'Ukraine restant intact.
SONATRACH, SONELGAZ et ENI S.P.A ont signé un protocole d'accord pour une interconnexion électrique entre l'Algérie et l'Italie via un câble sous-marin, marquant une avancée stratégique majeure.
Les législateurs républicains exhortent l'administration Biden à imposer des sanctions sévères au Venezuela suite aux élections présidentielles contestées, avec des impacts notables sur le secteur énergétique.
Denys Shmyhal, Premier ministre ukrainien, assure que les sanctions contre Lukoil ne compromettent pas la sécurité énergétique de la Slovaquie et bénéficient du soutien total de l'Union européenne.
La dispute sur le transit du pétrole russe entre la Hongrie, la Slovaquie et l'Ukraine révèle des tensions énergétiques profondes au sein de l'Union européenne, exacerbées par des intérêts divergents et des alliances politiques complexes.
Les États-Unis et l'Ukraine travaillent conjointement sur un plan pour reconstruire le réseau énergétique ukrainien post-conflit, en intégrant des technologies nucléaires sécurisées et des énergies renouvelables.
La Hongrie suspend les remboursements européens pour les armes envoyées à l'Ukraine jusqu'à ce que Kyiv autorise le transit du pétrole russe de Lukoil à travers son territoire.
Le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources Minières visite le Brésil et le Chili pour renforcer les investissements dans le lithium, clé pour la diversification économique du Royaume.