Le projet budgétaire républicain adopté par le Sénat américain accélère l'arrêt des crédits fiscaux aux énergies renouvelables, favorisant le secteur fossile, et provoque des inquiétudes économiques chez les industriels des secteurs solaire et éolien.
La hausse rapide des capacités solaires et éoliennes provoquera une augmentation marquée du délestage électrique au Brésil, les infrastructures de transport étant insuffisantes pour gérer cet afflux massif d’énergie, indique une étude récente du cabinet Wood Mackenzie.
En avril 2025, les combustibles fossiles ont représenté 49,5 % du mix électrique sud-coréen, passant sous le seuil symbolique de 50 % pour la première fois, principalement en raison d'une chute historique de la production électrique issue du charbon.
La commission des Finances du Sénat américain modifie le crédit d'impôt '45Z' afin d'uniformiser le traitement fiscal des carburants renouvelables, encourageant ainsi la production de biocarburants avancés dès octobre 2025.
Selon le rapport 2025 sur l'accès énergétique mondial, malgré une nette progression des énergies renouvelables, le manque de financements adaptés freine toujours l'accès à l'électricité et à la cuisson propre, notamment en Afrique subsaharienne.
Alors que les économies avancées conservent leur leadership énergétique mondial, la Chine et les États-Unis progressent significativement dans la sécurité et la durabilité de leurs systèmes énergétiques selon le rapport annuel du Forum Économique Mondial.
En marge du sommet États-Unis–Afrique à Luanda, Alger et Luanda consolident leur collaboration énergétique afin de mieux exploiter leur potentiel pétrogazier et minier, ciblant une stratégie commune sur les marchés régionaux et internationaux.
Le Comité britannique sur le changement climatique presse le gouvernement de réduire rapidement les coûts d’électricité pour faciliter l'adoption des pompes à chaleur et des véhicules électriques, jugée trop lente pour atteindre les objectifs climatiques fixés.
La Commission européenne prolongera jusqu'à fin 2030 un cadre d’aides d’État élargi, permettant aux capitales de financer technologies bas carbone et nucléaire afin de préserver la compétitivité face à la Chine et aux États-Unis.
Le gestionnaire japonais du réseau électrique anticipe un déficit énergétique pouvant atteindre 89 GW en 2050, en raison d'une demande croissante liée aux secteurs des puces électroniques, des véhicules électriques et des technologies basées sur l’intelligence artificielle.
Les industries énergivores européennes pourront bénéficier d'aides d'État temporaires afin d'atténuer l'impact des prix élevés de l'électricité, selon un nouveau cadre réglementaire proposé par la Commission européenne dans le cadre du « Clean Industrial Deal ».
Maurice cherche des investisseurs internationaux afin de construire rapidement une centrale électrique flottante d’environ 100 MW, destinée à sécuriser l’approvisionnement énergétique national d'ici janvier 2026 et pallier les déficits actuels de production.
Madrid annonce des mesures immédiates sur le stockage énergétique tandis que Lisbonne sécurise son réseau électrique, en réponse à la coupure historique ayant touché toute la péninsule ibérique fin avril.
L’Indonésie déploie son nouveau plan énergétique national prévoyant une hausse de capacité électrique de 69,5 GW sur dix ans, principalement financée par des producteurs indépendants, pour répondre à une demande intérieure en forte croissance.
La ministre française Agnès Pannier-Runacher dénonce le moratoire parlementaire sur les nouvelles installations d'énergies renouvelables, alertant sur la possible suppression de 150 000 emplois industriels et sur une dépendance énergétique accrue envers l’étranger.
Le règlement européen sur les batteries, pleinement effectif dès le 18 août, modifie profondément les contraintes industrielles liées aux voitures et vélos électriques, imposant aux entreprises des règles strictes de recyclage, d'approvisionnement et de transparence.
Le Parlement européen appelle la Commission à renforcer les infrastructures énergétiques et accélérer l'application du Pacte industriel vert afin d'améliorer la flexibilité et la sécurité énergétique du continent face à une volatilité accrue des marchés.
La Commission européenne dévoile un plan ambitieux pour moderniser les réseaux électriques et lance le Clean Industrial Deal, mobilisant plusieurs centaines de milliards d'euros afin de renforcer l'autonomie industrielle et énergétique du continent.
Aux États-Unis, les opérateurs de réseaux électriques régulés bénéficient d'un avantage décisif pour connecter au réseau les nouveaux centres de données, représentant désormais 134 GW de projets, selon un rapport de Wood Mackenzie publié le 19 juin.
L’Assemblée nationale française valide un objectif chiffré à 200 TWh de production d’électricité renouvelable à l’horizon 2030, dans un texte législatif largement débattu sur le futur mix énergétique national.
Le gouvernement britannique nationalise l'opérateur du réseau électrique, ESO, pour renforcer sa transition énergétique. Avec un investissement de 630 millions de livres, cette initiative vise à intégrer les énergies renouvelables et à réduire la dépendance aux combustibles fossiles.
L'Équateur traverse une crise énergétique marquée par des coupures d'électricité programmées et des travaux de maintenance. Cette situation, exacerbée par des conditions climatiques défavorables, soulève des enjeux économiques et sociaux cruciaux pour le pays.
Le Vietnam fait face à des défis énergétiques majeurs, avec une demande en forte hausse et des retards dans des projets clés. Le gouvernement envisage de relancer l'énergie nucléaire et d'accroître la capacité solaire pour diversifier ses sources d'énergie.
La récente décision de la Haute Cour britannique d'annuler l'autorisation d'une mine de charbon à Whitehaven soulève des questions cruciales sur l'avenir énergétique du pays. Ce tournant marque une réévaluation des priorités entre exploitation des ressources et enjeux climatiques.
Les prix des Certificats Internationaux d'Énergie Renouvelable (I-REC) pour les technologies éoliennes et solaires en Inde ont atteint un niveau historiquement bas en 2024, en raison d’une surabondance persistante et de l'incertitude autour des nouvelles régulations. Cette situation met en évidence les défis auxquels sont confrontés les producteurs d'énergie renouvelable en Inde, entre des changements réglementaires et une demande insuffisante qui ne parvient pas à absorber l'offre.
Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) milite pour un ministère dédié à la politique énergétique et climatique dans le futur gouvernement de Michel Barnier, afin de structurer une stratégie efficace pour la France.
Uniper recommande à l'Allemagne de mettre en place un marché centralisé des capacités énergétiques pour stimuler les investissements dans les centrales à gaz, jugeant le modèle décentralisé du gouvernement trop complexe et lent.
Pour éviter des coupures de courant, l'OCCTO a ordonné à Kansai de recevoir 420 MW d'électricité de Chubu, en réponse à une demande exceptionnelle due à des températures élevées.
Le DOE identifie un potentiel de 95 GW d'expansion nucléaire sur des sites actuels et 174 GW sur d'anciens sites de charbon, répondant à la demande croissante d'électricité.
L'Union européenne alerte sur le retard de la France en matière de renouvelables et insiste sur des efforts accrus pour respecter les objectifs énergétiques communs fixés pour 2030.
Berlin réfute les allégations de Donald Trump sur son approvisionnement énergétique, corrigeant des données inexactes tout en rappelant ses objectifs de transition énergétique.
La Commission de régulation de l'énergie (CRE) reporte l'augmentation du tarif d'utilisation des réseaux publics d'électricité (TURPE) au 1er février 2025, visant une baisse de 10 % des tarifs réglementés de vente de l'électricité (TRVE).
L'Irak, dont l'économie repose largement sur le pétrole, anticipe des difficultés budgétaires en 2025 en raison de la chute des prix du brut, d'après un conseiller économique du Premier ministre.
Les producteurs d'électricité en France anticipent un retour de la taxe sur la capacité des grandes centrales. Cette mesure, laissée en suspens par le gouvernement sortant, pourrait peser lourdement sur les acteurs du secteur.
Teresa Ribera, ministre espagnole de l'Écologie, pourrait influencer la future politique énergétique de la Commission européenne. Son approche antinucléaire et pro-énergies renouvelables suscite des débats au sein de l’Union.
Le gouvernement américain approuve la ligne de transmission Greenlink West au Nevada, visant à renforcer le réseau électrique et à soutenir les objectifs énergétiques à long terme des États-Unis.
La Grèce, la Roumanie et la Bulgarie collaborent pour développer un mécanisme régional visant à atténuer les fluctuations des prix de l'électricité, jugeant le marché unique de l'UE inadapté à l'Europe du Sud-Est.
Le Pakistan engage des discussions avec les producteurs d'énergie indépendants pour réviser des contrats jugés insoutenables, face à une crise économique exacerbée par des coûts énergétiques élevés.
Les subventions américaines pour les pompes à chaleur stimulent l'adoption de cette technologie dans les foyers, impactant la demande et modifiant la dynamique du marché énergétique.
Réélu avec 95 % des voix, Abdelmadjid Tebboune renforce ses alliances stratégiques avec la Russie et l’Italie et accélère les investissements dans le gaz, le nucléaire, et les énergies renouvelables. Mais cette approche soulève des questions sur la durabilité économique et les risques de dépendance.