Les cours du brut ont progressé, portés par des frappes ukrainiennes sur des infrastructures russes et l'absence d’avancée diplomatique entre Moscou et Washington dans le conflit en Ukraine.
Chevron a communiqué une enveloppe d’investissement comprise entre $18 et $19 milliards pour 2026, en mettant l’accent sur ses activités pétrolières amont aux États-Unis et des projets offshore internationaux à fort potentiel.
ExxonMobil arrête son plus ancien vapocraqueur à éthylène à Singapour, réduisant sa capacité locale pour investir dans son complexe intégré de Huizhou, en Chine, sur fond de surcapacité régionale et de coûts opérationnels en hausse.
Le Brésil, la Guyane, le Suriname et l’Argentine devraient alimenter une part croissante de l’offre pétrolière non-OPEP+, soutenus par des investissements offshore massifs et une dynamique d’exploration continue.
La révocation des licences américaines limite les activités des compagnies européennes au Venezuela, entraînant un effondrement des importations de pétrole brut et une reconfiguration des flux énergétiques bilatéraux.
Bourbon a signé un accord avec ExxonMobil pour l’affrètement de navires Crewboats de nouvelle génération sur le bloc 15 en Angola, renforçant une coopération stratégique engagée depuis plus de 15 ans.
Face à un encadrement juridique plus strict et à des sanctions renforcées, les opérateurs de la flotte grise misent sur des VLCC de 15 ans et sur la démolition de navires anciens pour maintenir leurs routes pétrolières vers l’Asie.
Reconnaissance Energy Africa a terminé le forage du puits Kavango West 1X sur son permis terrestre en Namibie, où des indices nets d'hydrocarbures ont été détectés sur une épaisseur de 64 mètres dans les carbonates d’Otavi.
CNOOC Limited a mis en production le projet d’ajustement du champ pétrolier Weizhou 11-4 et ses champs satellites, visant une capacité de 16 900 barils par jour dès 2026.
La coentreprise Adura regroupe les actifs offshore britanniques de Shell et Equinor, devenant le principal producteur indépendant de pétrole et de gaz dans le bassin mature de la mer du Nord.
Un tribunal du Delaware a validé la cession des actions de PDV Holding à Amber Energy, filiale d’Elliott, pour 5,9 Mds $, une opération encore suspendue à l’approbation du Trésor américain via l’OFAC.
Un nouveau fonds de $100mn a été lancé pour appuyer les entreprises nigérianes de services pétrogaziers, dans le cadre d’un objectif national visant à atteindre 70 % de contenu local d’ici 2027.
Les mesures occidentales visant Rosneft et Lukoil réorganisent profondément le commerce pétrolier, provoquant un basculement discret mais massif des routes d’exportation russes vers l’Asie, sans déclencher de déséquilibre global de l’offre.
La Nigerian Upstream Petroleum Regulatory Commission ouvre la compétition pour 50 blocs d’exploration, répartis sur plusieurs zones stratégiques, afin de relancer les investissements dans l’amont pétrolier.
L’unique raffinerie serbe, exploitée par NIS, a suspendu sa production à cause d’un manque d’approvisionnement en brut, conséquence directe des sanctions imposées par les États-Unis à son actionnaire majoritaire russe.
Les cours du brut ont enregistré une hausse portée par les tensions croissantes entre les États-Unis et le Venezuela, et des attaques ayant visé une infrastructure pétrolière russe en mer Noire.
Face à des pertes financières persistantes, Tullow Oil restructure sa gouvernance et accélère ses démarches pour alléger une dette de plus de 1,8 milliard USD, tout en recentrant ses activités sur le Ghana.
Le gouvernement irakien invite des compagnies pétrolières américaines à soumissionner pour prendre le contrôle du champ géant de West Qurna 2, précédemment exploité par le groupe russe Lukoil, désormais visé par des sanctions américaines.
Deux pétroliers sous pavillon gambien ont été attaqués en mer Noire près des côtes turques, provoquant une réaction ferme du président Recep Tayyip Erdogan sur les risques croissants pour le transport énergétique régional.
Le producteur britannique poursuit sa réduction d’effectifs en mer du Nord, invoquant un régime fiscal jugé dissuasif et une réorientation stratégique vers des pays offrant une stabilité réglementaire jugée plus favorable.
Une nouvelle analyse estime que les champs pétroliers existants pourraient produire jusqu’à 1 000 milliards de barils supplémentaires sans découverte majeure, grâce à l’application de méthodes éprouvées appuyées par l’intelligence artificielle.
Baker Hughes a signé un contrat pluriannuel avec Petrobras pour maintenir en service les navires Blue Marlin et Blue Orca dans les champs offshore brésiliens, incluant la fourniture de produits chimiques et de services associés.
KazMunayGas a repris l’acheminement de pétrole vers la Turquie via l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan, après un arrêt lié à un problème de contamination résolu au terminal d’Aktau.
Après six mois de suspension des institutions locales, le gouvernement fédéral du Nigeria restitue le pouvoir civil dans l'État de Rivers, riche en pétrole, alors que les tensions politiques semblent apaisées.
Avec des projets structurants liés à l’EACOP et aux champs Tilenga et Kingfisher, l’Ouganda ambitionne de dominer les ajouts de stockage pétrolier en Afrique, avec un impact attendu sur ses revenus et ses flux financiers d’ici 2030.
Une étude révèle que les producteurs indépendants de pétrole et de gaz ont soutenu plus de 3,1 millions d’emplois et généré $129bn en taxes, représentant 87 % des contributions économiques du secteur amont américain.
GATE Energy a été désignée pour assurer l’intégralité des services de mise en service de l’unité flottante de production Kaskida, développée par bp en partenariat avec Seatrium dans les eaux profondes du Golfe du Mexique.
Un navire syrien transportant 640 000 barils de brut a accosté en Italie, marquant la première expédition pétrolière du pays depuis le début de la guerre civile en 2011, dans un contexte de levée partielle des sanctions américaines.
Les livraisons de brut canadien depuis la côte Pacifique ont atteint 13,7 millions de barils en août, soutenues par une hausse marquée des expéditions vers la Chine et une réduction des flux vers la côte américaine du Golfe.
Face à la croissance de la demande mondiale en électricité, les dirigeants du secteur énergétique misent sur une stratégie "tout compris" où le pétrole et le gaz fourniront encore 50 % des besoins mondiaux d’ici 2050.
Londres a élargi ses sanctions contre la Russie en inscrivant 70 nouveaux pétroliers sur sa liste noire, portant un coup aux exportations énergétiques russes au cœur de ses revenus budgétaires.
L’Irak discute avec Oman de la construction d’un oléoduc reliant Bassorah aux côtes omanaises afin de réduire sa dépendance au détroit d’Ormuz et stabiliser ses exportations de brut vers l’Asie.
Le fabricant français de tubes en acier Vallourec a conclu un accord stratégique avec Petrobras, prévoyant la fourniture de solutions complètes pour les puits offshore entre 2026 et 2029.
La hausse de production des membres de l’Opep+ et des producteurs hors alliance devrait générer un surplus pétrolier mondial dès 2025, mettant sous pression les prix du brut selon l’Agence internationale de l’énergie.
La compagnie brésilienne renforce sa présence en Afrique avec une nouvelle participation dans l’exploration offshore, en s’associant à Shell et Galp pour développer le bloc 4 de São Tomé-et-Príncipe.
Une attaque de drone contre une installation pétrolière de Bachneft à Oufa a provoqué un incendie, sans faire de victimes, perturbant temporairement l’activité du complexe classé parmi les plus importants du pays.
La divergence entre les États-Unis et l’Union européenne sur les règles encadrant les exportations de pétrole russe vers l’Inde entraîne une baisse des livraisons prévues, alors que les marges de négociation se resserrent entre acheteurs et vendeurs.
Contre les prévisions du marché, les réserves commerciales américaines de brut ont bondi en raison d'une forte baisse des exportations, influençant marginalement les prix internationaux.
La Russie prévoit d'expédier 2,1 millions de barils par jour depuis ses ports occidentaux en septembre, révisant à la hausse ses exportations face à la baisse de la demande intérieure provoquée par les attaques de drones contre ses raffineries.
QatarEnergy a obtenu une participation de 35 % dans le bloc Nzombo, situé en eaux profondes au large du Congo, dans le cadre d’un contrat de partage de production signé avec le gouvernement congolais.