Berlin remet en question l’interdiction des ventes de voitures thermiques à partir de 2035, alors que les groupes automobiles allemands alertent sur les risques économiques et industriels pour le pays.
L’OPEP+ entame une nouvelle phase de relèvement progressif de sa production, amorçant le dégel de 1,65 million de barils/jour de coupes volontaires, après la fin anticipée d’un cycle de 2,2 millions de barils/jour.
Les navires Voskhod et Zarya, visés par des sanctions occidentales, ont quitté le terminal chinois de Beihai après avoir potentiellement livré du gaz naturel liquéfié provenant du projet Arctic LNG 2.
Huit membres de l’OPEP+ se réunissent pour ajuster leurs quotas, alors que les prévisions annoncent un excédent mondial de 3 millions de barils par jour d’ici la fin de l’année.
Les compagnies maritimes grecques se retirent progressivement du transport de brut russe alors que l’Union européenne resserre les conditions de conformité sur le plafonnement des prix.
Le président ukrainien a exigé l’arrêt des importations de brut russe par la Slovaquie, en proposant une alternative d’approvisionnement, dans un contexte marqué par la guerre et les tensions diplomatiques croissantes autour de l’oléoduc Droujba.
Une station du pipeline Stalnoy Kon, essentielle au transport de produits pétroliers entre la Biélorussie et la Russie, a été la cible d’une attaque de drones menée par les forces ukrainiennes dans l’oblast de Briansk.
Le gouvernement italien exige des engagements sur la sécurité d’approvisionnement avant d’approuver la cession d’Italiana Petroli au groupe étatique azéri SOCAR, alors que les négociations se poursuivent.
Rosneft Germany annonce la reprise des livraisons de pétrole vers la raffinerie PCK, après la réparation de l’oléoduc Druzhba touché par une attaque de drone en Russie ayant perturbé l’approvisionnement kazakh.
La nouvelle ligne ferroviaire russe reliant la mine d’Elga au port de la mer d’Okhotsk atteindra sa pleine capacité en 2026, après une phase d’essai opérationnel prévue pour 2025.
L’Inde a accru ses achats de pétrole et de produits pétroliers russes de 15% sur six mois, malgré de nouvelles sanctions commerciales américaines visant ces transactions.
Gazprom et China National Petroleum Corporation ont signé un mémorandum contraignant pour construire le gazoduc Force de Sibérie 2, destiné à livrer 50 milliards de m³ de gaz russe par an vers la Chine via la Mongolie.
Le groupe russe T Plus prévoit de stabiliser sa production d’électricité à 57,6 TWh en 2025, malgré un recul observé au premier semestre, selon les déclarations de son directeur général Pavel Snikkars.
L’Indonésie finalisera un accord de libre-échange avec l’Union économique eurasiatique d’ici la fin de l’année, ouvrant la voie à une intensification des projets énergétiques avec la Russie, notamment dans le raffinage et le gaz naturel.
En déplacement à Pékin, Vladimir Poutine a appelé la Slovaquie à suspendre ses livraisons d’énergie à l’Ukraine, en réponse aux frappes ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques russes.
Vladimir Poutine et Robert Fico se sont rencontrés en Chine pour aborder la guerre en Ukraine, la sécurité régionale et les relations énergétiques entre la Russie et la Slovaquie.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
Le groupe nucléaire russe Rosatom a confirmé des discussions avancées avec l’Inde et la Turquie pour le lancement de nouvelles centrales, incluant des technologies de réacteurs avancés et flottants.
Budapest prévoit d’achever en 2027 une nouvelle liaison pétrolière avec Belgrade, malgré les risques de dépendance aux flux russes dans un contexte marqué par les frappes sur les infrastructures.
La Hongrie a importé plus de 5 milliards de mètres cubes de gaz naturel russe depuis janvier via TurkStream, dans le cadre de ses accords à long terme avec Gazprom, soutenant ainsi ses infrastructures énergétiques nationales.
Le sabotage des gazoducs Nord Stream en 2022 a provoqué des fuites massives de méthane, estimées à 465 000 tonnes. Ces émissions records soulèvent des enjeux stratégiques et environnementaux majeurs pour l'industrie énergétique.
Masdar, soutenu par les Émirats arabes unis, a porté sa capacité énergétique à 51GW en 2024, renforçant sa stratégie globale à travers des acquisitions ciblées et des projets clés.
La demande mondiale de pétrole atteint 102,9 millions de barils par jour en 2024, stimulée par un hiver froid. Les sanctions américaines contre la Russie et l’Iran pèsent sur les perspectives d’approvisionnement pour 2025.
Près de 120 missiles et drones ont ciblé des infrastructures clés en Ukraine, provoquant des coupures d’électricité massives. Cette attaque survient alors que Volodymyr Zelensky rencontre des dirigeants européens en Pologne.
Le Vietnam relance son projet de centrales nucléaires avec l'appui de la Russie, consolidant une alliance stratégique pour répondre à la forte demande énergétique.
Le leader séparatiste prorusse de Transdniestrie, Vadim Krasnosselski, s'est rendu à Moscou pour résoudre la crise énergétique frappant son territoire après l'arrêt des livraisons de gaz russe, mettant en péril l'économie et le réseau électrique local.
Grâce à l'extension de l'oléoduc TAL, la République tchèque diversifie ses approvisionnements énergétiques, réduisant ainsi sa dépendance au pétrole russe tout en renforçant sa sécurité stratégique.
La mine de Pokrovsk, seul producteur ukrainien de coke, ferme ses portes face à la pression militaire russe. Une décision qui menace la sidérurgie, l’économie et la logistique stratégique de l'Ukraine.
Des attaques de drones ukrainiens ont ciblé des installations industrielles et énergétiques en Russie, causant des incendies importants dans le Tatarstan et la région de Saratov, selon les autorités locales.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico et le président ukrainien Volodymyr Zelensky prévoient des discussions sur la reprise partielle du transit de gaz russe, représentant 25 % des volumes nécessaires pour la Slovaquie.
Alors que Nicolás Maduro entame un troisième mandat contesté et que Donald Trump s’apprête à revenir à la Maison-Blanche, les tensions entre Washington et Caracas atteignent un point critique. Entre sanctions renforcées, alliances stratégiques et enjeux pétroliers, 2025 s'annonce comme une année charnière pour ces deux nations.
La Russie rapporte que neuf drones ukrainiens ont ciblé une station du gazoduc TurkStream, sans perturber les livraisons vers l’Europe. Cet incident met en exergue les enjeux géopolitiques des infrastructures énergétiques.
Les autorités séparatistes de Transdniestrie, confrontées à l'arrêt des livraisons de gaz russe, appellent Moscou à l'aide pour éviter une crise humanitaire, aggravée par des coupures d'électricité et une économie au bord de l'effondrement.
Face aux sanctions américaines visant le pétrole russe, la Serbie négocie avec Moscou pour un retrait total des parts russes de son principal fournisseur de gaz, NIS, détenu à 56 % par Gazprom et Gazprom Neft.
Un pétrolier transportant 99 000 tonnes de pétrole, en panne au large de la mer Baltique, a été pris en charge par les secours allemands. L'incident relance les débats sur la "flotte fantôme" russe et ses implications environnementales.
Washington et Londres imposent des sanctions historiques contre le secteur énergétique russe, visant Gazprom Neft et une flotte de 200 navires. Moscou dénonce une déstabilisation mondiale tandis que Biden justifie l’impact stratégique.
Avec 124 milliards de m³ de gaz produits en 2024, la Norvège consolide sa position de principal fournisseur européen, remplaçant la Russie dans un contexte géopolitique tendu.
Le géant britannique Shell anticipe des résultats décevants pour sa division gazière au quatrième trimestre 2024, en raison de l’expiration de contrats de couverture et d’une baisse de production.
La Russie a suspendu ses livraisons de gaz à la région séparatiste prorusse de Transdniestrie, intensifiant les tensions énergétiques et politiques en Moldavie. L'Union européenne dénonce une manœuvre visant à déstabiliser la région.
La Moldavie et Gazprom s'affrontent sur une dette estimée entre 9 et 700 millions de dollars, aggravant la crise énergétique de la Transdniestrie. La région séparatiste risque des coupures totales d'électricité en plein hiver.