Deux commissions du Parlement européen proposent d’avancer à 2026 et 2027 l’arrêt complet des importations d’hydrocarbures russes, incluant pétrole, gaz et GNL, renforçant ainsi la position géopolitique de l’Union européenne.
L’essor des centres de données, l’électrification, l’industrialisation asiatique et la dépense militaire redessinent les dynamiques du marché mondial du cuivre, alors que l’insuffisance des investissements miniers pourrait aggraver la volatilité des prix.
Pékin qualifie d’ingérence les appels de Donald Trump à cesser les importations de brut russe, dénonçant une coercition économique et défendant des échanges qualifiés de légitimes avec Moscou.
Les États-Unis ont appelé le Japon à cesser ses importations de gaz russe, dans un contexte de tensions croissantes sur les intérêts économiques croisés entre alliés face au financement indirect de la guerre en Ukraine.
L’Inde subit la pression croissante des États-Unis sur ses achats de pétrole russe, alors que Donald Trump évoque une promesse de retrait faite par le Premier ministre Narendra Modi.
Le Royaume-Uni cible deux majors russes, des ports asiatiques et plusieurs dizaines de navires dans une nouvelle série de sanctions visant les exportations d’hydrocarbures de Moscou.
Les grands négociants pétroliers mondiaux prévoient une baisse continue du Brent, évoquant la fin du risque géopolitique et un retour de l’offre, notamment hors OPEP.
La forte demande en électricité à Batam, portée par l’essor des centres de données, pousse INNIO et MPower Daya Energia à sécuriser 80 MW supplémentaires et à lancer un programme de maintenance sur cinq ans.
Une feuille de route en cours d’élaboration vise à poser les bases réglementaires et techniques du développement des petits réacteurs modulaires, avec l’objectif de renforcer la sécurité énergétique nationale et d’attirer des capitaux privés.
Naftogaz appelle l'Union européenne à utiliser les capacités de stockage de gaz de l'Ukraine dans un système de réserves stratégiques, tout en demandant la fin des obligations de remplissage après 2027.
L’agence nucléaire des Nations unies presse l’Ukraine et la Russie d’instaurer un cessez-le-feu local pour réparer les lignes électriques endommagées de la centrale de Zaporijjia, en alerte depuis la perte totale de courant externe.
La Chine a importé en moyenne 11,5 millions de barils de pétrole brut par jour en septembre, soutenue par des taux de raffinage en hausse chez les opérateurs publics et indépendants.
L’OPEP confirme ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole et anticipe un déficit bien plus faible pour 2026, en raison de l’augmentation de la production par les membres de l’OPEP+.
Moscou intensifie ses projets industriels conjoints avec le Tadjikistan en misant sur l’hydroélectricité, les cultures agricoles et l’extraction minière dans une logique d’intérêt mutuel et de complémentarité économique.
JANAF s’intéresse à une prise de participation de 20 à 25 % dans NIS, alors que la part russe du capital est désormais soumise à des sanctions américaines.
La chute des importations chinoises et le recentrage régional de l’Asie font peser une pression accrue sur les exportateurs australiens de charbon thermique.
La compagnie pétrolière serbe NIS, détenue en partie par Gazprom, fait face aux sanctions américaines entrées en vigueur après neuf mois de sursis, mettant à l’épreuve l’approvisionnement énergétique de la Serbie.
La production pétrolière russe s’est rapprochée de son plafond alloué par l’OPEP+ en septembre, avec une hausse progressive confirmée par le vice-Premier ministre Alexandre Novak.
La Douma a approuvé le retrait formel de la Russie d’un traité signé avec les États-Unis sur l’élimination du plutonium militaire, mettant fin à plus de deux décennies de coopération nucléaire stratégique.
Les cours du brut ont progressé après la décision de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et de ses alliés de n’augmenter leur production qu’à la marge en novembre, malgré des signes persistants de surabondance de l’offre.
L'EIB accorde un prêt de 3 millions d'euros pour soutenir l'éolien en Autriche. Il permettra d'augmenter la capacité du parc éolien de Pretul de 16,6 MW grâce à 4 nouvelles éoliennes.
Le président de la Turquie, Recep Tayyip Erdoğan, réagit aux sanctions occidentales visant Moscou. Selon lui, l'Europe devait s'attendre à une telle situation.
Le Portugal déclare que l'approvisionnement en gaz des pays d'Europe centrale nécessite une interconnexion étroite avec la péninsule ibérique. Il se rapproche alors de l'Italie pour trouver une alternative au projet MidCat.
Touchée par la crise énergétique, la production industrielle allemande repart à la baisse en juillet. Avec la fermeture de Nord Stream 1, le pire pourrait encore venir.
La crise énergétique se poursuit. L'Europe cherche donc des solutions pour assurer son approvisionnement et protéger son industrie. Les ministres de l'énergie de l'UE se réuniront le 9 septembre pour chercher des solutions.
Le GNL russe reste prisé en Chine. En août, alors que le pays connaît une importante vague de chaleur, la Chine a importé quelque 611.000 tonnes de GNL en provenance de Russie.
Alors que la crise énergétique se poursuit, les prix du gaz flambent. Pour y faire face, l'Italie plaide pour un plafonnement des prix du gaz. Plusieurs États, comme le Portugal ou encore la Belgique, soutiennent une telle mesure.
La Russie profite de la flambée des prix de l'énergie. Malgré les sanctions occidentales et en dépit des réductions de volumes exportés, la Russie a engrangé 158 millions d'euros entre le 24 février et le 24 août 2022.