La nouvelle ligne ferroviaire russe reliant la mine d’Elga au port de la mer d’Okhotsk atteindra sa pleine capacité en 2026, après une phase d’essai opérationnel prévue pour 2025.
L’Inde a accru ses achats de pétrole et de produits pétroliers russes de 15% sur six mois, malgré de nouvelles sanctions commerciales américaines visant ces transactions.
Gazprom et China National Petroleum Corporation ont signé un mémorandum contraignant pour construire le gazoduc Force de Sibérie 2, destiné à livrer 50 milliards de m³ de gaz russe par an vers la Chine via la Mongolie.
Le groupe russe T Plus prévoit de stabiliser sa production d’électricité à 57,6 TWh en 2025, malgré un recul observé au premier semestre, selon les déclarations de son directeur général Pavel Snikkars.
L’Indonésie finalisera un accord de libre-échange avec l’Union économique eurasiatique d’ici la fin de l’année, ouvrant la voie à une intensification des projets énergétiques avec la Russie, notamment dans le raffinage et le gaz naturel.
Le gouvernement roumain demande à l’Union européenne un report de cinq ans sur la fermeture de 2,6 gigawatts de capacité au charbon, invoquant des retards dans la mise en service d’alternatives gazières et solaires.
En déplacement à Pékin, Vladimir Poutine a appelé la Slovaquie à suspendre ses livraisons d’énergie à l’Ukraine, en réponse aux frappes ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques russes.
Vladimir Poutine et Robert Fico se sont rencontrés en Chine pour aborder la guerre en Ukraine, la sécurité régionale et les relations énergétiques entre la Russie et la Slovaquie.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
Le groupe nucléaire russe Rosatom a confirmé des discussions avancées avec l’Inde et la Turquie pour le lancement de nouvelles centrales, incluant des technologies de réacteurs avancés et flottants.
Budapest prévoit d’achever en 2027 une nouvelle liaison pétrolière avec Belgrade, malgré les risques de dépendance aux flux russes dans un contexte marqué par les frappes sur les infrastructures.
La Hongrie a importé plus de 5 milliards de mètres cubes de gaz naturel russe depuis janvier via TurkStream, dans le cadre de ses accords à long terme avec Gazprom, soutenant ainsi ses infrastructures énergétiques nationales.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico prévoit une rencontre avec Vladimir Poutine à Pékin avant de recevoir Volodymyr Zelensky à Bratislava, marquant un tournant diplomatique dans ses relations avec Moscou et Kyiv.
Le ministre indien du Pétrole affirme que les importations de brut russe respectent les normes internationales, alors que des sanctions supplémentaires ont été imposées par les États-Unis et l’Union européenne.
Avec onze réacteurs en construction et des projets majeurs comme Jaitapur, l’Inde prépare une montée en puissance nucléaire qui pourrait la placer parmi les cinq premières nations du secteur.
La Russie et l’Iran cherchent à resserrer leur coopération nucléaire alors que l’E3 active le mécanisme de sanctions contre Téhéran, ravivant les tensions sur le respect de l’accord de Vienne de 2015.
La Commission de réglementation nucléaire des États-Unis a accordé une extension de 40 ans pour la certification du réacteur AP1000, facilitant ainsi sa construction à long terme sur le territoire américain et son déploiement à l’international.
Les États-Unis prolongent de 30 jours le sursis accordé à NIS, contrôlée par Gazprom, alors que la Serbie cherche à maintenir sa sécurité énergétique malgré la pression sur le secteur russe.
Les États-Unis vont appliquer des droits de douane de 50% sur les exportations indiennes, en réponse aux achats de pétrole russe de New Delhi, accentuant les tensions commerciales entre les deux partenaires.
Le Département de l’Énergie américain met en place un consortium industriel afin d’accélérer la production nationale d’uranium enrichi et réduire la dépendance aux importations étrangères avant l’interdiction des flux russes en 2027.
Le tribunal de La Haye a autorisé la libération des parts de Gazprom dans Wintershall Noordzee, suite à une décision judiciaire survenue après plusieurs mois de contentieux impliquant des sociétés ukrainiennes.
Rezolv Energy a signé de nouveaux financements de €331mn ($360mn) afin d’achever la seconde phase de son parc éolien VIFOR, portant la capacité totale à 461MW en Roumanie.
Londres élargit son dispositif de sanctions à 135 navires et deux sociétés associés à la flotte fantôme russe, renforçant la riposte internationale contre les exportations pétrolières de Moscou.
La société roumaine Electrica a levé 500 millions d'euros grâce à la première émission d'obligations vertes du pays, avec la participation de la Banque européenne d'investissement (BEI), afin de financer ses projets d'énergie renouvelable et de stockage.
Suite à l'instauration de sanctions par l'Union Européenne, Nayara Energy a ajusté ses conditions de paiement pour un appel d'offres de naphta, exigeant désormais un paiement anticipé ou une lettre de crédit de la part des acheteurs potentiels.
Depuis début avril, l'Europe a importé près de 45 milliards de mètres cubes (bcm) de gaz naturel liquéfié (GNL), avec des perspectives de stockage pour l'hiver qui pèsent sur les prix du gaz.
Le sénateur américain Lindsey Graham a annoncé que le président Donald Trump envisage d'imposer des tarifs de 100 % sur les pays achetant du pétrole russe, dont la Chine, l'Inde et le Brésil.
Le groupe pétrolier russe Rosneft rejette les sanctions européennes visant Nayara Energy, détenue à 49,13%, évoquant une atteinte au droit international et un risque pour la sécurité énergétique de l’Inde.
L’Union européenne abaisse le plafond du prix du pétrole brut russe et étend ses sanctions aux navires et entités impliqués dans le contournement, alors que la coordination avec les États-Unis reste attendue.
Le navire Voskhod, soumis à des sanctions américaines, a accosté à l’usine Arctic LNG 2 en Russie, marquant la deuxième escale d’un navire sanctionné sur le site depuis le début de l’année, selon des données de suivi maritime.
L’OPEP ajuste légèrement ses prévisions de production pour 2025-2026 tout en prévoyant une croissance stable de la demande mondiale, laissant à l’alliance OPEP+ des marges significatives pour augmenter son offre sans déséquilibrer les marchés pétroliers mondiaux.
Les discussions entre les États membres de l’Union européenne achoppent sur l’adoption du dix-huitième paquet de sanctions visant le pétrole russe, en raison de divergences persistantes sur le prix plafond proposé.
Le Global Energy Policies Hub montre que les réserves stratégiques, les obligations gazières, la cybersécurité et les politiques sur les minerais critiques s’étendent rapidement, faisant grimper la couverture pétrolière à 98 % des importations mondiales.
Belgrade poursuit des négociations complexes avec Washington afin d'obtenir un cinquième sursis aux sanctions contre la société pétrolière serbe NIS, détenue majoritairement par des groupes russes.
Terna et NPC Ukrenergo ont conclu à Rome un partenariat de trois ans visant à renforcer l’intégration du réseau ukrainien au système paneuropéen, avec un échange approfondi d’expertises technologiques et réglementaires.
Les ambassadeurs de l’Union européenne sont proches d’un accord sur un nouveau paquet de sanctions visant à réduire le plafond du prix du pétrole russe, avec des mesures touchant plusieurs secteurs énergétiques et financiers.
Energoatom a signé des accords stratégiques avec Westinghouse et Holtec lors de la conférence sur la reconstruction de l’Ukraine, visant à établir des capacités de production de combustible nucléaire et de petits réacteurs modulaires.
Téhéran accepte d’ouvrir à nouveau ses installations nucléaires à l’AIEA, visant une reprise des négociations avec Washington, alors que Moscou pousse pour un accord « zero enrichment » sans s’impliquer dans la supervision.
La Commission européenne lance un fonds spécial doté de EUR2,3bn ($2,5bn) pour stimuler la reconstruction de l’Ukraine et attirer les capitaux privés dans les secteurs de l’énergie et des infrastructures.
Le gouvernement slovaque cherche à obtenir des garanties auprès de l’Union européenne afin de sécuriser ses approvisionnements alors que les discussions sur la fin du gaz russe et un nouveau train de sanctions se poursuivent.