Vladimir Poutine et Robert Fico se sont rencontrés en Chine pour aborder la guerre en Ukraine, la sécurité régionale et les relations énergétiques entre la Russie et la Slovaquie.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
Le groupe nucléaire russe Rosatom a confirmé des discussions avancées avec l’Inde et la Turquie pour le lancement de nouvelles centrales, incluant des technologies de réacteurs avancés et flottants.
Budapest prévoit d’achever en 2027 une nouvelle liaison pétrolière avec Belgrade, malgré les risques de dépendance aux flux russes dans un contexte marqué par les frappes sur les infrastructures.
La Hongrie a importé plus de 5 milliards de mètres cubes de gaz naturel russe depuis janvier via TurkStream, dans le cadre de ses accords à long terme avec Gazprom, soutenant ainsi ses infrastructures énergétiques nationales.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico prévoit une rencontre avec Vladimir Poutine à Pékin avant de recevoir Volodymyr Zelensky à Bratislava, marquant un tournant diplomatique dans ses relations avec Moscou et Kyiv.
Le ministre indien du Pétrole affirme que les importations de brut russe respectent les normes internationales, alors que des sanctions supplémentaires ont été imposées par les États-Unis et l’Union européenne.
Avec onze réacteurs en construction et des projets majeurs comme Jaitapur, l’Inde prépare une montée en puissance nucléaire qui pourrait la placer parmi les cinq premières nations du secteur.
La Russie et l’Iran cherchent à resserrer leur coopération nucléaire alors que l’E3 active le mécanisme de sanctions contre Téhéran, ravivant les tensions sur le respect de l’accord de Vienne de 2015.
La Commission de réglementation nucléaire des États-Unis a accordé une extension de 40 ans pour la certification du réacteur AP1000, facilitant ainsi sa construction à long terme sur le territoire américain et son déploiement à l’international.
Les États-Unis prolongent de 30 jours le sursis accordé à NIS, contrôlée par Gazprom, alors que la Serbie cherche à maintenir sa sécurité énergétique malgré la pression sur le secteur russe.
Les États-Unis vont appliquer des droits de douane de 50% sur les exportations indiennes, en réponse aux achats de pétrole russe de New Delhi, accentuant les tensions commerciales entre les deux partenaires.
Le Département de l’Énergie américain met en place un consortium industriel afin d’accélérer la production nationale d’uranium enrichi et réduire la dépendance aux importations étrangères avant l’interdiction des flux russes en 2027.
Le drone kamikaze a endommagé un transformateur auxiliaire de la centrale de Kursk, réduisant de moitié la production de son unique réacteur en service, selon Rosatom et l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Entre la proposition russe de coopération et les exigences européennes en cybersécurité, le Maroc doit sécuriser ses infrastructures énergétiques tout en consolidant ses exportations d’électricité vers l’Espagne.
Les importations indiennes de charbon à coke progressent et se répartissent davantage entre les États-Unis et la Russie, tandis que des producteurs australiens redéploient des volumes vers la Chine; les résultats 2025 confirment un basculement des flux.
Face aux perturbations répétées sur l’oléoduc Droujba, attribuées à des frappes ukrainiennes, la Hongrie a demandé le soutien des États-Unis pour sécuriser son approvisionnement pétrolier.
Premier suspect lié aux explosions du gazoduc Nord Stream, un citoyen ukrainien contesté par Berlin s’oppose à son transfert judiciaire depuis l’Italie.
Des drones ukrainiens ont visé une centrale nucléaire et un terminal pétrolier russes, accentuant la pression sur les discussions diplomatiques, alors que Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de bloquer toute perspective de négociation.
Un ressortissant ukrainien suspecté d’avoir coordonné le sabotage des gazoducs Nord Stream a été interpellé en Italie, relançant une affaire judiciaire aux fortes implications géopolitiques en Europe.
La Serbie a obtenu un nouveau délai de 30 jours concernant l’application de sanctions américaines contre NIS, l’exploitant de la seule raffinerie du pays, détenu majoritairement par Gazprom.
L'accord UE-États-Unis pourrait créer une concentration énergétique supérieure à celle de la Russie avant 2022, menaçant la stratégie européenne de diversification.
L'engagement européen d'acheter 250 milliards de dollars d'énergie américaine par an soulève des questions sur sa faisabilité technique et économique face aux capacités d'export limitées.
Naftogaz et la Société d’État du pétrole de la République d’Azerbaïdjan (SOCAR) viennent d’officialiser un premier contrat de livraison de gaz naturel via le corridor Transbalkan, ouvrant de nouvelles perspectives logistiques pour l’approvisionnement énergétique ukrainien.
Donald Trump a évoqué des sanctions tarifaires contre les pays achetant du brut russe, mais selon Reuters, leur mise en œuvre reste improbable en raison des risques économiques et des précédents non appliqués.
Le Mozambique souhaite renforcer la présence de sociétés russes dans l’exploration et la production de gaz naturel, alors que le pays ambitionne de diversifier ses partenariats dans le secteur des ressources naturelles.
Le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Peter Szijjarto, déclare que Budapest empêchera toute interdiction européenne sur les importations d’hydrocarbures russes, soulignant l’enjeu du coût énergétique pour les ménages.
La Hongrie réaffirme sa volonté de doubler la capacité de sa centrale nucléaire de Paks, en partenariat avec Rosatom, avec un démarrage des travaux concrets attendu à l’automne.
Le tribunal de La Haye a autorisé la libération des parts de Gazprom dans Wintershall Noordzee, suite à une décision judiciaire survenue après plusieurs mois de contentieux impliquant des sociétés ukrainiennes.
Londres élargit son dispositif de sanctions à 135 navires et deux sociétés associés à la flotte fantôme russe, renforçant la riposte internationale contre les exportations pétrolières de Moscou.
Suite à l'instauration de sanctions par l'Union Européenne, Nayara Energy a ajusté ses conditions de paiement pour un appel d'offres de naphta, exigeant désormais un paiement anticipé ou une lettre de crédit de la part des acheteurs potentiels.
Depuis début avril, l'Europe a importé près de 45 milliards de mètres cubes (bcm) de gaz naturel liquéfié (GNL), avec des perspectives de stockage pour l'hiver qui pèsent sur les prix du gaz.
Le sénateur américain Lindsey Graham a annoncé que le président Donald Trump envisage d'imposer des tarifs de 100 % sur les pays achetant du pétrole russe, dont la Chine, l'Inde et le Brésil.
Le groupe pétrolier russe Rosneft rejette les sanctions européennes visant Nayara Energy, détenue à 49,13%, évoquant une atteinte au droit international et un risque pour la sécurité énergétique de l’Inde.
L’Union européenne abaisse le plafond du prix du pétrole brut russe et étend ses sanctions aux navires et entités impliqués dans le contournement, alors que la coordination avec les États-Unis reste attendue.
Le navire Voskhod, soumis à des sanctions américaines, a accosté à l’usine Arctic LNG 2 en Russie, marquant la deuxième escale d’un navire sanctionné sur le site depuis le début de l’année, selon des données de suivi maritime.
L’OPEP ajuste légèrement ses prévisions de production pour 2025-2026 tout en prévoyant une croissance stable de la demande mondiale, laissant à l’alliance OPEP+ des marges significatives pour augmenter son offre sans déséquilibrer les marchés pétroliers mondiaux.
Les discussions entre les États membres de l’Union européenne achoppent sur l’adoption du dix-huitième paquet de sanctions visant le pétrole russe, en raison de divergences persistantes sur le prix plafond proposé.
Le Global Energy Policies Hub montre que les réserves stratégiques, les obligations gazières, la cybersécurité et les politiques sur les minerais critiques s’étendent rapidement, faisant grimper la couverture pétrolière à 98 % des importations mondiales.
Belgrade poursuit des négociations complexes avec Washington afin d'obtenir un cinquième sursis aux sanctions contre la société pétrolière serbe NIS, détenue majoritairement par des groupes russes.