Le groupe danois Ørsted va lever de nouveaux fonds via une émission de droits, afin de consolider sa structure financière et couvrir les besoins liés à la conservation du projet Sunrise Wind.
La croissance solaire en Europe centrale a doublé celle de l’Union européenne depuis 2019, entraînant une reconfiguration rapide du mix énergétique et une montée en puissance de la production de batteries.
Ineos Energy met fin à tous ses projets au Royaume-Uni, évoquant une fiscalité instable et des prix énergétiques trop élevés, et redirige ses investissements vers les États-Unis, où la société vient de consacrer 3 mrd £ à de nouveaux actifs.
Hynfra PSA renforce sa présence en Afrique de l’Ouest avec un projet de production d’ammoniac vert, estimé à 1,5 milliard $ et soutenu par le gouvernement mauritanien, avec une entrée en phase commerciale prévue à l’horizon 2030.
La société norvégienne BlueNord a revu à la baisse ses prévisions de production sur le champ gazier de Tyra pour le troisième trimestre, après des arrêts techniques imprévus et une maintenance plus impactante qu’anticipé.
Orsted et deux États américains ont saisi la justice fédérale pour contester l’arrêt brutal du chantier Revolution Wind, un projet offshore avancé de 5 milliards $ menacé par une interruption prolongée.
Après le rachat des actifs de Northvolt, la société américaine Lyten a nommé plusieurs anciens dirigeants du fabricant suédois de batteries à des postes clés pour relancer la production en Europe.
L’Agence danoise de l’énergie a confirmé le rejet de 37 demandes d’autorisations d’étude, invoquant des règles européennes sur les aides d’État et l’absence de mise en concurrence.
thyssenkrupp nucera a finalisé l’achat des actifs clés de Green Hydrogen Systems, consolidant sa position sur le marché de l’électrolyse alcaline sous pression pour la production d’hydrogène à usage industriel.
Le producteur indépendant d’électricité R.Power met en vente un portefeuille photovoltaïque de 440MW prêt à construire en Pologne, alors que les incertitudes politiques alimentent une vague de désengagements sur le marché national des énergies renouvelables.
Equinor confirme sa participation à l’augmentation de capital d’Ørsted, visant à préserver sa part de 10 % et soutenir la stabilité financière du groupe danois confronté à des vents contraires dans l’éolien offshore.
Cinq projets d’infrastructure énergétique viennent d’être intégrés à la liste des projets renouvelables transfrontaliers, les rendant éligibles à un soutien financier dans le cadre du programme CEF Energy.
La Commission de réglementation nucléaire des États-Unis a accordé une extension de 40 ans pour la certification du réacteur AP1000, facilitant ainsi sa construction à long terme sur le territoire américain et son déploiement à l’international.
Avec 330 millions USD de liquidités, Polenergia renforce ses investissements dans l’éolien offshore, le photovoltaïque et le stockage, visant plus de 2,3 GW de nouvelles capacités énergétiques en Pologne.
Le projet Northern Lights a injecté son premier volume de CO2 sous la mer du Nord, marquant une étape industrielle pour le transport et le stockage du carbone en Europe.
Entre la proposition russe de coopération et les exigences européennes en cybersécurité, le Maroc doit sécuriser ses infrastructures énergétiques tout en consolidant ses exportations d’électricité vers l’Espagne.
La suspension du parc Revolution Wind provoque un recul brutal de l’action Ørsted, désormais échangée à environ 26 USD, renforçant les enjeux financiers du groupe en pleine augmentation de capital.
Premier suspect lié aux explosions du gazoduc Nord Stream, un citoyen ukrainien contesté par Berlin s’oppose à son transfert judiciaire depuis l’Italie.
Le projet éolien Revolution Wind, déjà achevé à 80 %, a été interrompu par l’administration américaine pour des raisons de sécurité nationale, provoquant une incertitude majeure dans le secteur.
Un ressortissant ukrainien suspecté d’avoir coordonné le sabotage des gazoducs Nord Stream a été interpellé en Italie, relançant une affaire judiciaire aux fortes implications géopolitiques en Europe.
La Pologne multiplie les mesures pour faire face à la crise énergétique. Elle instaure une taxe exceptionnelle sur les entreprises du secteur de l'énergie. Elle pourrait lui rapporter 2,75 milliards de dollars.
L'UE réfléchit à un durcissement des sanctions européennes visant la Russie. Celles-ci seraient des mesures "économiques et individuelles". Les 27 devront trouver un accord, alors que l'UE reste divisée sur la question.
L'UE, suite aux sanctions envers Moscou, cherche de nouveaux partenaires pour assurer son approvisionnement en pétrole. Si le brut russe est populaire en Chine ou en Inde, le marché européen reste important malgré la diminution des importations.