La Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement accorde 400 millions € à JSC Energocom, visant à diversifier les approvisionnements en gaz et électricité de la Moldavie, historiquement dépendante des importations russes transitant par l’Ukraine.
Les BRICS adoptent un cadre financier commun visant à soutenir les économies émergentes tout en critiquant les mécanismes européens de taxation carbone aux frontières, jugés discriminatoires et risqués pour leurs échanges commerciaux stratégiques.
La Commission européenne lance une alliance avec les États membres et industriels pour sécuriser l’approvisionnement en produits chimiques critiques, face à la concurrence accrue venue des États-Unis et de la Chine.
Les échanges commerciaux entre la Russie et l’Arabie saoudite ont augmenté de plus de 60 % en 2024 pour dépasser 3,8 milliards USD, selon le ministre russe de l'Industrie et du Commerce Anton Alikhanov, évoquant de nouvelles pistes de coopération industrielle.
Réunis à Rio, les pays BRICS appellent à garantir la stabilité énergétique mondiale, dénonçant ouvertement sanctions et mécanismes tarifaires occidentaux, dans un contexte économique et géopolitique tendu.
Malgré des liens solides, la dépendance de l'Iran aux revenus pétroliers limite sa capacité à obtenir un soutien stratégique concret de la Russie et de la Chine face aux crises internationales et régionales actuelles, selon plusieurs experts.
Le ministre égyptien de l’Électricité engage de nouveaux échanges avec Envision Group, Windey, LONGi, China Energy, PowerChina et ToNGWEI pour stimuler l’industrie locale et attirer les investissements dans les énergies renouvelables.
La potentielle fermeture du détroit d’Ormuz met sous pression les producteurs du Golfe, révélant leurs limites diplomatiques et logistiques face à un blocage menaçant 20 millions de barils quotidiens d’hydrocarbures destinés aux marchés internationaux.
Budapest et Bratislava rejettent conjointement le projet de la Commission européenne visant à interdire les approvisionnements énergétiques russes, soulignant des risques économiques majeurs et une menace directe sur leur sécurité énergétique, à quelques jours d'une réunion clé.
La Libye conteste officiellement l’attribution par la Grèce de permis pétroliers offshore, aggravant les tensions régionales autour des zones maritimes disputées au sud de la Crète, riches en hydrocarbures et convoitées par plusieurs États méditerranéens.
L’Union européenne a annoncé un calendrier détaillé visant à stopper définitivement ses importations de gaz russe d’ici à fin 2027, tout en anticipant les difficultés juridiques et commerciales internes à surmonter.
La Hongrie, appuyée par la Slovaquie, exprime une opposition marquée au projet de la Commission européenne visant à éliminer les importations de ressources énergétiques russes, évoquant des impacts économiques et énergétiques majeurs pour l'Europe centrale.
Les frappes militaires israéliennes sur le site nucléaire iranien de Natanz ont détruit les infrastructures électriques cruciales, mais n’ont pas atteint les installations souterraines stratégiques, selon l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA).
Le président français se rend à Nuuk le 15 juin pour soutenir la souveraineté groenlandaise, examiner les projets énergétiques et répondre aux récentes pressions américaines, selon l'Élysée.
Les frappes israéliennes contre des sites nucléaires iraniens perturbent les pourparlers américano-iraniens sur l’accord nucléaire. Téhéran envisage désormais d'annuler le prochain cycle de négociations prévu à Oman, amplifiant les inquiétudes économiques régionales.
Face au dépassement alarmant des seuils d’enrichissement d’uranium par l’Iran et aux menaces explicites pesant sur sa sécurité, Israël lance une opération militaire ciblée contre les infrastructures nucléaires iraniennes, entraînant des perturbations majeures dans la région.
Le Kremlin a confirmé que Vladimir Poutine souhaite s’impliquer dans le règlement du conflit nucléaire entre les États-Unis et l’Iran, en s’appuyant sur ses liens stratégiques renforcés avec Téhéran.
Le président Lee Jae-myung adopte une diplomatie énergétique fondée sur l'intérêt national, confrontée à un contexte délicat de rivalités internationales qui pourraient créer des situations complexes pour le pays et ses entreprises énergétiques.
Paris et Varsovie ont tenu un atelier bilatéral à Varsovie pour renforcer leur coordination sur les investissements dans les infrastructures électriques et la sécurité d’approvisionnement dans le cadre du Traité de Nancy.
Donald Trump rejette fermement tout enrichissement d'uranium par l'Iran, tandis que la Russie affirme le droit de Téhéran au nucléaire civil, intensifiant les tensions dans les négociations autour du programme nucléaire iranien.
L'annonce de l'arrêt du transit de gaz russe via l'Ukraine dans quelques mois; modifie la dynamique énergétique en Europe et redéfinit les stratégies d'approvisionnement et de diversification. Cet article analyse les conséquences économiques, géopolitiques et logistiques pour les différents acteurs.
Les Houthis intensifient leurs attaques contre les pétroliers dans la mer Rouge, perturbant le transport maritime et influençant les équilibres géopolitiques et énergétiques de la région.
La Roumanie, l’Azerbaïdjan, la Géorgie et la Hongrie créent une coentreprise pour établir un corridor énergétique via un câble sous-marin, reliant les marchés électriques d'Europe de l'Est.
Les émissaires climatiques de Washington et Pékin se rencontrent cette semaine pour renforcer leur coopération sur les politiques énergétiques et climatiques, à l'approche de la COP29 en Azerbaïdjan.
L'Algérie intègre la Nouvelle Banque de Développement des BRICS, cherchant à diversifier ses sources de financement et à renforcer sa position sur la scène financière internationale.
Après une communication confuse, l'Ukraine confirme la poursuite du transit de pétrole russe via l'oléoduc Droujba jusqu'en 2029, atténuant les inquiétudes de ses partenaires européens et soulignant l'importance de cet axe énergétique pour l'Europe centrale.
Peter Szijjarto, ministre des Affaires étrangères hongrois, discute de l'approvisionnement énergétique avec le PDG de Gazprom, Alexeï Miller, en Russie, une démarche qui accentue les tensions avec l'Union européenne.
L'Ukraine met fin au contrat de transit de gaz russe avec Gazprom à compter du 31 décembre 2024, un changement qui bouleverse les flux énergétiques vers l'Europe et renforce les tensions géopolitiques.
L’European Bank for Reconstruction and Development (EBRD) prévoit de conclure plusieurs accords de prêts en Ukraine pour renforcer le secteur énergétique avant l'hiver, face aux défis posés par les attaques russes.
Singapour explore des partenariats avec l’Australie et l’Asie du Sud-Est pour diversifier ses sources d’énergie, répondant à une demande croissante et à ses objectifs de décarbonation.
Les récentes frappes russes ont sévèrement endommagé les infrastructures énergétiques ukrainiennes, entraînant des coupures d'électricité significatives et perturbant les opérations ferroviaires. Les autorités ukrainiennes appellent à une coopération internationale pour renforcer la résilience du réseau.
Les États-Unis imposent des sanctions supplémentaires contre les transporteurs de GNL russes, accentuant les difficultés pour la Russie sur les marchés internationaux.
Les Houthis, soutenus par l'Iran, intensifient leurs attaques contre les pétroliers en mer Rouge, menaçant gravement la sécurité maritime et l'approvisionnement énergétique mondial.
Un tanker grec transportant du brut irakien a été sévèrement touché par des missiles tirés par les Houthis, soutenus par l'Iran, mettant en lumière l'escalade des actions terroristes en mer Rouge.
Les récentes frappes ukrainiennes sur le port de Kavkaz, un site clé pour l'exportation de produits pétroliers russes, perturbent gravement la logistique énergétique et accentuent les risques pour les acteurs du secteur.
Vladimir Poutine affirme que l'Ukraine a tenté de frapper la centrale nucléaire de Koursk, intensifiant les risques nucléaires dans cette région stratégique. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie des experts pour évaluer la situation.
Le Liban obtient un soutien crucial de l'Irak avec une augmentation des livraisons de fuel lourd à 125 000 tonnes en août, visant à maintenir ses centrales électriques opérationnelles en pleine crise.
Summit Group, acteur clé du secteur énergétique bangladais, réévalue ses projets d'importation d'énergie renouvelable suite à un amendement réglementaire en Inde, bouleversant les prévisions d'investissements transfrontaliers.
Summit Group ajuste ses stratégies d'importation d'énergie renouvelable suite à un changement des règles en Inde, réévaluant ses projets d'investissement dans un contexte incertain.
Le Liban obtient un soutien crucial de l'Irak avec une augmentation des livraisons de fuel lourd à 125 000 tonnes en août, visant à maintenir ses centrales électriques opérationnelles en pleine crise.