Min Aung Hlaing en Russie pour parler Nucléaire

Le chef de la junte birmane effectuait mardi une visite surprise en Russie où il devait rencontrer des responsables des secteurs du nucléaire et de l’aérospatial

Le chef de la junte birmane effectuait mardi une visite surprise en Russie où il devait rencontrer des responsables des secteurs du nucléaire et de l’aérospatial, a rapporté une agence de presse russe.

Min Aung Hlaing a assisté mardi à l’inauguration d’une pagode dans un centre culturel birman dans la région de Kalouga, à 200 km au sud-ouest de
Moscou, a indiqué l’agence Ria Novosti. Le vice-ministre russe de la Défense, Alexandre Fomine, était présent à la cérémonie, selon la même source.

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Le chef de la junte birmane devait ensuite se rendre dans la capitale russe pour y rencontrer le chef de l’agence spatiale russe Roscosmos, Dmitri
Rogozine, un proche de Vladimir Poutine, ainsi que des représentants de l’agence de l’énergie atomique Rosatom, a poursuivi Ria Novosti, sans préciser
la date de ces réunions.

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a lui indiqué que le président Vladimir Poutine n’avait pas prévu de recevoir Min Aung Hlaing. La Birmanie a connu un coup d’État le 1er février 2021, puis des combats meurtriers opposant les forces de la junte à des organisations ethniques rebelles et aux milices des “Forces de défense du peuple” tandis que l’économie est en ruine.

La visite de son dirigeant intervient deux jours après que les Etats-Unis ont promis de maintenir la pression sur la junte. La Russie, elle-même de plus en plus isolée sur la scène internationale en raison de son offensive contre l’Ukraine, a affiché un soutien croissant à la junte birmane, à laquelle elle vend notamment des armes.

En mars, des militaires russes ont pris part à un défilé militaire célébrant les forces armées en Birmanie, pour la deuxième année de suite.

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En 2024, les prix de l’électricité et du gaz en France devraient baisser grâce aux récentes réformes gouvernementales et aux ajustements de marché. Toutefois, ils demeureront supérieurs aux niveaux pré-crise de 2021-2022, mettant en lumière les défis persistants et les stratégies nécessaires pour stabiliser le secteur énergétique dans un contexte post-crise.

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