L’Iran va Augmenter ses Exports malgré l’Embargo

L’Iran souhaite augmenter ses exportations de pétrole en dépit des sanctions américaines en place depuis 2018.|L’Iran souhaite augmenter ses exportations de pétrole en dépit des sanctions américaines en place depuis 2018.

L’Iran souhaite augmenter ses exportations de pétrole en dépit des sanctions américaines. Les sanctions imposées sur les ventes de brut de Téhéran sont un « outil politique » nuisant au marché selon le ministre iranien du Pétrole, Javad-Owji.

 

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L’Iran veut augmenter les exportations de pétrole

Malgré les sanctions américaines, le ministre iranien du pétrole promet l’augmentation des exportations de brut. Bien qu’il n’explique pas comment contourner les sanctions, la promesse est d’importance : les exportations sont la source de revenus principale du pays. Les sanctions américaines ont été réimposées il y a trois ans, après l’abandon de Washington de l’Accord de Vienne sur le nucléaire iranien de 2015.

 

De 2,8 millions à 600.000 barils exportés en 3 ans

D’après des évaluations basées sur le transport maritime, les exportations étaient de 2,8 millions de barils par jour (bpj) en 2018. Une enquête de juin 2021 évalue les exportations à 600.000 bpj. Les sanctions américaines impactent ainsi largement le commerce du brut iranien, d’où l’espoir d’une levée des sanctions prochaine.

« L’Iran reviendra à son niveau de production de brut d’avant les sanctions dès que les sanctions américaines contre l’Iran seront levées. Nous sommes contre l’utilisation du pétrole comme un outil qui nuirait au marché pétrolier », déclare Javad Owji, nouveau ministre du pétrole de l’Iran.

L’Iran souhaite renégocier le pacte nucléaire et ainsi mettre fin à l’extension des sanctions américaines. Depuis le 9 avril 2021, Téhéran et six puissances mondiales sont en pourparlers sur le sujet. Un prochain cycle de négociation doit avoir lieu prochainement.

La FTC donne son feu vert pour l’acquisition de Pioneer par ExxonMobil

La FTC a donné son approbation pour que ExxonMobil puisse finaliser l’acquisition de Pioneer Natural Resources, stipulant toutefois que Scott Sheffield, l’ex-PDG de Pioneer, ne rejoigne pas le conseil d’administration d’ExxonMobil. Cette condition souligne les complications réglementaires dans un marché énergétique en rapide évolution.

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