L'assemblée de Niigata soutient officiellement la remise en service du site de Kashiwazaki-Kariwa, marquant une étape décisive dans le retour de l'énergie nucléaire au Japon après la catastrophe de Fukushima en 2011.
Le gouvernement japonais prévoit de financer jusqu'à 30 % des prêts nécessaires aux projets nucléaires, afin d'accélérer le redémarrage des réacteurs et doubler la part du nucléaire dans son mix énergétique d'ici 2040.
Le concepteur français de réacteurs nucléaires Newcleo a déposé le design de son petit réacteur modulaire au plomb auprès d’Euratom, lançant la première phase réglementaire d’intégration des garanties de non-prolifération à l’échelle européenne.
Le groupe public EDF revoit à la hausse son estimation maximale pour la construction de six nouveaux réacteurs nucléaires en France, fixée à €72,8 milliards ($85,29 milliards), soit 40% de plus que l’évaluation initiale.
L’américain Holtec a signé un protocole d’accord avec le groupe énergétique hongrois MVM pour évaluer l’implantation de sa technologie SMR-300, renforçant la coopération nucléaire bilatérale et les perspectives d’un nouveau marché en Europe centrale.
La start-up californienne Radiant a sécurisé $300mn pour construire sa première usine dans le Tennessee et préparer la production en série de réacteurs nucléaires miniatures destinés à des usages hors réseau.
Terra Innovatum a multiplié ses échanges avec la Nuclear Regulatory Commission pour faire avancer le processus de licence de son réacteur micro-modulaire SOLO™, malgré l'arrêt partiel du gouvernement fédéral américain.
L'autorité américaine de sûreté nucléaire a prolongé de 20 ans les licences d'exploitation de trois réacteurs de l'Illinois, renforçant les perspectives industrielles de Constellation pour ses sites de Clinton et Dresden.
La Chaire Industrielle SATURNE vise à développer des méthodes innovantes d’extraction de l’uranium, avec un financement partagé entre Orano et l’Agence nationale de la recherche sur une période de quatre ans.
L’Américain X-energy a conclu un accord de réservation avec le Sud-Coréen Doosan Enerbility pour garantir l’approvisionnement en composants critiques destinés à ses réacteurs nucléaires modulaires de petite taille.
Le Niger poursuit sa réorientation minière en concluant un partenariat avec Uranium One pour développer de nouveaux sites, tandis que le projet Dasa cherche encore son financement malgré un appui politique affirmé.
Samsung Heavy Industries a reçu une certification de principe pour une centrale nucléaire flottante intégrant deux réacteurs SMART100, marquant une étape dans la commercialisation des petits réacteurs modulaires en mer.
Le gouvernement indien propose un nouveau cadre juridique unifié pour le nucléaire, visant à stimuler les investissements privés et renforcer la capacité installée à 100 GW d’ici 2047.
Samsung C&T renforce sa présence dans le nucléaire modulaire en Europe en signant un accord avec Synthos Green Energy pour développer jusqu’à 24 réacteurs SMR en Pologne et dans plusieurs pays d’Europe centrale.
La société israélienne nT-Tao et l’Université Ben-Gourion ont mis au point un système de contrôle non linéaire qui améliore la stabilité énergétique des plasmas de fusion, renforçant les bases techniques de leurs futurs réacteurs compacts.
Le gouvernement indien a présenté un projet de loi autorisant les entreprises privées à construire et exploiter des centrales nucléaires, mettant fin à un monopole d’État en vigueur depuis plus de cinq décennies.
Natura Resources engage une nouvelle phase réglementaire pour son réacteur à sels fondus MSR-1, en concluant un accord structurant avec le Département de l’Énergie des États-Unis dans le cadre du programme pilote de réacteurs.
L’autorité norvégienne du démantèlement nucléaire sonde 22 localités pour déterminer leur intérêt à accueillir des installations de stockage de déchets radioactifs issus de ses anciens réacteurs de recherche.
Le réacteur Flamanville 3 d’Électricité de France a atteint pour la première fois sa pleine puissance, marquant une étape industrielle clé dans le déploiement des EPR en Europe, malgré des surcoûts atteignant EUR23,7bn ($25,7bn).
Le petit réacteur modulaire BWRX-300 conçu par GE Vernova Hitachi a obtenu une validation réglementaire clé au Royaume-Uni, ouvrant la voie à une éventuelle mise en service commerciale, malgré l'absence actuelle de projet de déploiement.
Doosan Enerbility et le Centre international pour la non-prolifération nucléaire s'unissent pour stimuler les exportations et développer les réacteurs modulaires, répondant ainsi à la demande énergétique croissante.
Le nouveau plan énergétique tchèque projette une hausse à 68 % de l’électricité d’origine nucléaire d’ici 2040, avec une montée en puissance des renouvelables pour répondre aux objectifs climatiques de l’Union européenne.
Les États-Unis annoncent la levée de 200 restrictions sur les entités nucléaires indiennes, marquant une étape clé dans leur coopération stratégique et ouvrant des opportunités pour le secteur énergétique civil.
EDF intensifie ses efforts avec le SMR Nuward, un réacteur de 400 MW conçu pour répondre aux besoins énergétiques stratégiques des industries et services publics en Europe.
Novatron Fusion Group et Oxford Sigma s'associent pour accélérer le développement de centrales à fusion en Suède, combinant technologies innovantes et matériaux avancés pour des solutions industrielles fiables.
Halden Kjernekraft étudie la construction d’une centrale nucléaire de 1200 MWe basée sur des réacteurs modulaires de petite taille (SMR). Ce projet pourrait transformer le paysage énergétique norvégien.
Les nouvelles règles fiscales américaines permettent à certaines centrales nucléaires de bénéficier de crédits d’impôt pour la production d’hydrogène, ciblant 200 MW par réacteur en risque de fermeture et dynamisant les projets régionaux.
La NRC prolonge la licence de la centrale nucléaire de Monticello jusqu’en 2050, confirmant sa capacité stratégique de 671 MWe. Cette décision s’inscrit dans la politique énergétique stricte et durable des États-Unis.
La centrale nucléaire de Koeberg, opérée par Eskom en Afrique du Sud, reprend son activité avec l’unité 2, ajoutant 930 MW au réseau national après un programme de maintenance stratégique et prolongé.
L’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR) restructure le secteur nucléaire français en intégrant 2 000 collaborateurs. Cette réforme, au cœur des enjeux politiques et économiques, soulève des interrogations sur la gouvernance et la transparence.
Les exportations d’électricité de la France ont atteint un niveau inédit en 2024, soutenues par une production nucléaire restaurée et des performances renforcées des énergies renouvelables.
Le regroupement de l’IRSN et de l’ASN dans la nouvelle ASNR soulève des préoccupations sur l’indépendance de l’expertise et une impasse budgétaire dès février 2025, selon les syndicats.
Après des années de focus sur les énergies renouvelables, l'Union européenne engage des ressources pour développer les réacteurs modulaires (SMR) et renforcer son infrastructure nucléaire.
La Mongolie et Orano ont conclu un accord préliminaire pour l'exploitation d'une mine stratégique d'uranium, un investissement de 1,6 milliard de dollars qui pourrait placer le pays dans le top 10 mondial des ressources en uranium.
NuScale Power nomme Diana J. Walters à son conseil d’administration. Forte de 35 ans d’expérience, elle renforcera la gouvernance alors que l’entreprise sécurise 227,7 millions de dollars via un rachat stratégique de warrants.
NANO Nuclear Energy acquiert les réacteurs modulaires MMR et Pylon lors d’une vente aux enchères dans le cadre de la faillite d’Ultra Safe Nuclear Corporation pour un montant de 8,5 millions de dollars.
Un rapport gouvernemental recommande la fin de l’interdiction de l’extraction de l’uranium en Suède, ouvrant la voie à une exploitation sous le régime du Minerals Act dès 2026.
Quatorze experts internationaux ont évalué le cadre réglementaire nucléaire du Ghana, mettant en avant des avancées importantes tout en identifiant des défis structurels majeurs pour garantir une sécurité durable.
L’EPR de Flamanville symbolise les défis du nucléaire français : retards, surcoûts et perte de compétences. Alors que l’avenir se tourne vers les EPR2, la relance de cette filière stratégique reste semée d’incertitudes.
Le président argentin Javier Milei a présenté un projet de construction d’un réacteur nucléaire modulaire pour faire face à une hausse de 9 % de la demande énergétique en 2024, en grande partie due à l’essor de l’intelligence artificielle.