Enable Midstream poursuit son Gulf Run Pipeline

Enable Midstream Partners annonce que la Federal Energy Regulatory Commission autorise la construction du Gulf Run Pipeline.|Enable Midstream Partners annonce que la Federal Energy Regulatory Commission autorise la construction du Gulf Run Pipeline.

Enable Midstream Partners annonce que la Federal Energy Regulatory Commission autorise la construction du Gulf Run Pipeline. Le gazoduc pourra transporter 12 milliards de gallons/jour de gaz depuis les régions productrices jusqu’à la côte américaine du golfe du Mexique.

 

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Enable Midstream lance un projet à 540 millions de dollars

Le projet est aujourd’hui estimé à 540 millions de dollars pour une portion de 217 km de tuyaux. Enable Midstream s’est engagé sur 20 ans à exploiter environ huit milliards de gallons journaliers, soit en deçà des capacités maximales. Débuté en 2018 et opérationnel d’ici fin 2022, le gazoduc pourra en effet transporter jusqu’à 12 milliards de gallons journaliers, des régions productrices vers le golfe du Mexique.

L’entreprise américaine aura alors un potentiel de croissance supérieur à son engagement avec Golden Pass LNG passés les 20 ans.

 

Répondre à la demande croissance des marchés internationaux

La société possède, exploite et développe des infrastructures pour relier les zones prolifiques en gaz et pétrole vers la côte. Avec une capacité de stockage de 632 milliards de gallons et 22.000 km de pipelines, Enable et ses actifs s’imposent. Reliant directement les schistes de Haynesville à la côte du golfe du Mexique, le Gulf Run Pipeline jouera son rôle dans l’enrichissement national.

Si les chiffres ne sont encore que des estimations, il va de soi qu’Enable Midstream gagne considérablement de cette transaction. Entre l’augmentation de la production nationale de gaz naturel et la demande croissante des marchés internationaux, Enable est idéalement situé.

La FTC donne son feu vert pour l’acquisition de Pioneer par ExxonMobil

La FTC a donné son approbation pour que ExxonMobil puisse finaliser l’acquisition de Pioneer Natural Resources, stipulant toutefois que Scott Sheffield, l’ex-PDG de Pioneer, ne rejoigne pas le conseil d’administration d’ExxonMobil. Cette condition souligne les complications réglementaires dans un marché énergétique en rapide évolution.

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