Les tarifs de 50% poussent Brasília vers une intégration commerciale accélérée avec Pékin et Bruxelles, redessinant les équilibres économiques régionaux.
Washington impose des droits douaniers massifs invoquant la persécution de Bolsonaro tout en exemptant les secteurs stratégiques pour l'industrie américaine.
Les sanctions du 1er août accélèrent la reconfiguration des flux commerciaux indo-pacifiques avec Vietnam, Bangladesh et Indonésie comme principaux bénéficiaires.
Washington déclenche une structure tarifaire inédite combinant 25% de droits fixes et une sanction additionnelle non spécifiée liée aux achats énergétiques et militaires russes.
Le Qatar rejette les obligations de transition climatique de l'UE et brandit la menace d'une réorientation de ses exportations de GNL vers l'Asie, créant un dilemme énergétique majeur.
L’Ouganda mise sur une présence diplomatique à Vienne afin de faciliter la coopération technique et commerciale avec l’Agence internationale de l’énergie atomique pour soutenir ses ambitions dans le nucléaire civil.
Les gouvernements d’Arabie saoudite et de Syrie concluent un partenariat inédit englobant pétrole, gaz, interconnexion électrique et énergies renouvelables, afin de dynamiser leurs échanges et investissements dans le secteur énergétique.
L'engagement européen d'acheter 250 milliards de dollars d'énergie américaine par an soulève des questions sur sa faisabilité technique et économique face aux capacités d'export limitées.
Un accord majeur sur les droits de douane, scellé en Écosse, prévoit l’application d’un tarif de 15% sur la majorité des exportations européennes vers les États-Unis, accompagné de vastes engagements d’achats énergétiques et d’investissements croisés entre les deux puissances.
Le Qatar a prévenu qu’il pourrait cesser ses livraisons de gaz naturel liquéfié à l’Union européenne en réaction à la nouvelle directive européenne sur la diligence raisonnable et la transition climatique.
Le secteur minier brésilien attire l’attention des États-Unis alors que des discussions diplomatiques et des mesures tarifaires menacent de bouleverser l’équilibre du commerce des minéraux stratégiques.
Donald Trump a évoqué des sanctions tarifaires contre les pays achetant du brut russe, mais selon Reuters, leur mise en œuvre reste improbable en raison des risques économiques et des précédents non appliqués.
Foraco International SA remporte un contrat de USD34.0mn pour assurer les opérations de forage du site Lomas Bayas de Glencore au Chili, consolidant sa position sur le marché sud-américain.
Londres élargit son dispositif de sanctions à 135 navires et deux sociétés associés à la flotte fantôme russe, renforçant la riposte internationale contre les exportations pétrolières de Moscou.
L'Afghanistan et le Turkménistan ont réaffirmé leur engagement à approfondir leur partenariat bilatéral lors d'une rencontre entre les responsables des deux pays, avec un accent particulier sur des projets d'infrastructures majeurs et la coopération énergétique.
Les discussions techniques à Bonn ont exposé de profondes divisions entre pays développés et en développement sur les enjeux financiers, remettant en question l’efficacité du processus COP à quelques mois du sommet de Belém.
L’Union européenne abaisse le plafond du prix du pétrole brut russe et étend ses sanctions aux navires et entités impliqués dans le contournement, alors que la coordination avec les États-Unis reste attendue.
Le Brésil adopte de nouvelles règles autorisant des mesures commerciales immédiates pour contrer la décision américaine d’imposer un tarif douanier exceptionnel de 50 % sur l'ensemble des exportations brésiliennes, menaçant la stabilité d'échanges bilatéraux évalués à plusieurs milliards de dollars.
Plusieurs agences internationales ont relayé les avertissements de Teresa Ribera, vice-présidente de la Commission européenne, sur les risques commerciaux liés à la concurrence chinoise, rappelant que l'UE n'acceptera pas une guerre des prix.
La Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement accorde 400 millions € à JSC Energocom, visant à diversifier les approvisionnements en gaz et électricité de la Moldavie, historiquement dépendante des importations russes transitant par l’Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine est accueilli au Kazakhstan pour discuter de projets énergétiques majeurs, dans un contexte de rivalités internationales avec la Chine et les Occidentaux.
La Turquie cherche à obtenir une dérogation aux sanctions américaines pour continuer à régler ses importations de gaz auprès de Gazprombank, essentielle à sa sécurité énergétique, selon le ministre turc de l’Énergie, Alparslan Bayraktar.
À la COP29, les leaders mondiaux ont défini les bases des marchés carbone sous l'Article 6 de l'Accord de Paris, mais des défis majeurs subsistent en matière d'intégrité, de demande et de mise en œuvre nationale.
Le président de la COP29, Moukhtar Babaïev, pointe l’inflexibilité des pays du Nord et défend un accord allouant 300 milliards de dollars, bien que jugé insuffisant par les pays du Sud.
La visite historique de Narendra Modi au Guyana ouvre la voie à des accords à long terme pour l’importation de pétrole brut, renforçant les ambitions énergétiques de l’Inde face à une concurrence européenne féroce.
Londres a annoncé des sanctions contre 30 navires supplémentaires de la "flotte fantôme" russe, utilisée pour contourner les restrictions pétrolières, portant un coup dur aux exportations qui financent la guerre en Ukraine.
Iraq explore de nouveaux marchés pour son pétrole brut, ciblant l’Europe et l’Afrique afin de réduire sa dépendance à la Chine et à l’Inde, ses principaux importateurs actuels.
Emmanuel Macron et Gabriel Boric lancent l’« appel de Valparaiso », une initiative commune pour protéger les écosystèmes marins, renforcer la lutte contre la pollution plastique et promouvoir un accord international sur la biodiversité marine.
À Bakou, la COP29 s’enlise dans une impasse. La Chine refuse le projet d’accord sur le financement climatique, aggravant les tensions Nord-Sud et compromettant les objectifs mondiaux face à la crise climatique.
Face à un marché pétrolier sous pression, la Russie et l’Irak consolident leur coopération au sein de l’OPEP+ pour stabiliser les prix. Cette alliance, cruciale pour leurs économies, illustre la complexité des équilibres géopolitiques et énergétiques.
Téhéran avertit que la résolution des pays européens visant à condamner son programme nucléaire à l’AIEA risque de perturber gravement les relations avec l’agence onusienne, alors qu’un vote crucial est prévu.
Les négociations de la COP29 illustrent les enjeux cruciaux de la diplomatie énergétique, où financement climatique et engagements sur les énergies fossiles divisent pays développés et en développement.
Alors qu’il accueillera la COP30 en 2025, le Brésil, producteur majeur de pétrole, veut jouer un rôle clé dans la transition énergétique en promouvant un débat global sur la réduction progressive des combustibles fossiles.
Le géant pétrolier brésilien Petrobras envisage un retour en Argentine, attiré par le potentiel de Vaca Muerta et un nouvel accord de coopération énergétique entre les deux nations.
Le Suriname et la Chine ont signé un accord pour rééchelonner une dette de 475 millions de dollars, première étape pour relancer l'économie du pays sud-américain, en crise malgré ses vastes réserves pétrolières.
Les États-Unis et les Européens ont présenté une résolution à l’AIEA pour condamner l’Iran, accusé de ne pas coopérer pleinement sur son programme nucléaire. Téhéran met en garde contre les répercussions de cette décision.
À COP29, le Japon suit la ligne européenne sur les contributions financières climatiques et adopte une approche mesurée sur le mécanisme d'ajustement carbone aux frontières (CBAM), tout en examinant ses objectifs énergétiques à long terme.
La Chine investit massivement dans le secteur énergétique brésilien, avec des projets structurants dans la production et la transmission d’électricité, accélérant le développement économique et l'intégration des réseaux électriques du pays.
La COP29, tenue à Bakou, attire l'attention sur la présence massive de représentants des énergies fossiles. Entre lobbying et nécessité énergétique, le débat sur leur rôle dans la transition climatique s'intensifie.
Cuba, frappée par deux ouragans et une crise énergétique aiguë, reçoit un soutien renforcé de la Russie, incluant dons financiers, équipements et un partenariat éducatif pour développer son secteur énergétique.