Consortium Libra s’étend dans le champ de Mero au Brésil

Le consortium Libra déploie ses plateformes flottantes d'extraction, de stockage et de déchargement (FPSO) dans le champ Mero-4 au Brésil.|Le consortium Libra déploie ses plateformes flottantes d'extraction, de stockage et de déchargement (FPSO) dans le champ Mero-4 au Brésil.

Le consortium Libra contracte la production du Mero-4. Ses plateformes flottantes d’extraction, de stockage et de déchargement (FPSO) se redéploieront désormais dans le champ de Mero dans le Bassin de Santos au Brésil. Il s’agit là du quatrième système de production à être déployé dans la région depuis la signature du contrat en 2013.

 

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Le consortium Libra continue ses activités offshore au Brésil

Libra consortium place de grands espoirs dans ses unités flottantes de production. Chacune ayant une capacité de traitement de 180.000 barils de pétrole par jour. L’unité Pioneiro de Libra se développe dans le champ de Mero depuis 2017 avec ses 50.000 barils de pétrole par jour. Il s’agit d’une source clé pour le consortium, représentant là un support au développement et à l’optimisation de la productivité du champ et de ses puits.

 

Un investissement pétrolier à travers la transition énergétique

Petrobras, qui détient 40% des parts du consortium, a déjà signé une lettre d’intention avec le groupe SBM Offshore pour assurer l’approvisionnement et l’affrètement de l’unité sur 22 ans.

Cela fait partie de la stratégie de développement du groupe pendant la transition énergétique. Et ce, pour continuer ses investissements initiaux tout en cherchant la réduction de carbone.

 

Un projet compétitif et adapté aux attentes contemporaines

Pour Wael Sawan, directeur du comité exécutif de Royal Dutch Shell, le projet dépasse la simple réplique de ses variantes précédentes. C’est un témoignage de l’intégrité des membres du consortium. Il s’agit pour lui d’un pas en avant permettant de voir les divers membres moderniser et rendre plus efficace le processus engagé.

À ce sujet, il se dit fier de travailler avec les partenaires de la compagnie pour développer les ressources du pays.

Russie: crise économique chez Gazprom face aux sanctions et au sabotage

En 2023, Gazprom a enregistré une perte record de 6,4 milliards d’euros, marquée par des sanctions internationales et le sabotage de ses pipelines. Ces défis mettent en lumière les vulnérabilités de Gazprom et les tensions géopolitiques qui perturbent le secteur énergétique russe. Face à ces crises, l’entreprise oriente désormais ses efforts vers les marchés asiatiques, espérant y trouver stabilité et nouvelles opportunités.

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