Bluefield Solar annonce l’acquisition de nouveaux contrats solaires au Royaume-Uni. Ainsi, elle décroche des contrats ajoutant 62,4 MW à son portefeuille. Ceux-ci s’intègrent dans le cadre 4ème cycle d’attribution de contrats de différence (CfD).
Ce quatrième cycle d’attribution se nomme AR4. Il fait suite au premier du nom, AR1, prononcé en 2015. Le système CfD est un des seuls moyens pour le gouvernement britannique de supporter la production d’électricité renouvelable.
Tout ceci vise le même objectif: atteindre le Net-Zéro d’ici 2050.
Bluefield Solar fixe le prix du MWh grâce au contrat CfD
Bluefield obtient des CfD pour 100* de la capacité de Yelvertoft (49,9 MW), de Romsey (6,5 MW) ainsi que celle de Oulton (6,0 MW). Ces contrats se basent sur une durée de 15 ans. De plus, ils s’indexent annuellement sur l’inflation.
Ils débuteront en 2025 et se fixeront sur le prix d’exercice du PV solaire AR4 de 45,99 £/MWh, fixé en prix équivalent 2021, ou 57,48 £/MWh en prix équivalents 2022.
Ces 3 projets sont les 3 derniers de la société Bluefield Solar au Royaume-Uni. Yelvertoft se situe dans le Northamptonshire, tandis que Romsey se situe dans le Hampshire, et Oulton dans le Norfolk.
Le président de Bluefield Solar, John Rennocks, déclare:
« Nous sommes ravis d’avoir obtenu une capacité de 62,4 MW dans le cadre de ce tour de table […] Il est également significatif que le secteur de l’énergie solaire ait obtenu 2,2 GW de contrats CfD dans l’AR4 à des prix qui représentent environ la moitié du coût des nouveaux investissements nucléaires et un quart du prix actuel de l’électricité produite par le gaz. Cela souligne le rôle important que l’énergie solaire peut, et doit, jouer pour résoudre la crise énergétique tout en renforçant la sécurité énergétique du Royaume-Uni. Nous pensons que nous pourrions entrer dans la prochaine phase de nouveaux investissements dans l’énergie solaire au sol au Royaume-Uni et que la société est parfaitement positionnée pour capitaliser sur cette opportunité de croissance. »
