Baltic Pipe: Reprise des Travaux

Le Baltic Pipe, un gazoduc reliant la Pologne et la Norvège sera finalisé en 2022 avec trois mois de retard après un mois de suspension.|Le Baltic Pipe, un gazoduc reliant la Pologne et la Norvège sera finalisé en 2022 avec trois mois de retard après un mois de suspension.

Le Baltic Pipe, un gazoduc reliant la Pologne et la Norvège sera finalisé en 2022 avec trois mois de retard après un mois de suspension. Les travaux du projet d’Energinet ce sont en effet arrêté tout le mois de juin pour ne reprendre que maintenant.

 

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Baltic Pipe : annulation d’un permis environnemental en juin

Le gazoduc de 900 km traverse la mer Baltique et le Danemark pour atteindre les gisements de gaz Norvégien. Son but initial est de réduire la dépendance de la Pologne au gaz russe. Or la construction du tronçon de 210 km au Danemark a été stoppée au mois de juin.

La raison : l’annulation d’un permis environnemental. Ce dernier avait été accordé à l’entreprise en juillet 2019. Cependant, un comité d’appel public danois était préoccupé par l’impact du gazoduc sur les espèces protégées de souris et de chauve-souris.

 

Deux parties encore à approuver

Les travaux ont désormais pu reprendre sur certaines parties du gazoduc. En effet, l’Agence danoise de protection de l’environnement a déclaré qu’elle n’avait aucune objection à la reprise du projet. Cependant, deux parties du gazoduc devront encore être approuvées par les autorités réglementaires.

La construction de ces deux tronçons sera donc suspendue jusqu’en 2022. Et cela jusqu’à la délivrance d’un nouveau permis environnemental. Une situation qui retardera de trois mois l’achèvement du projet initialement prévu en 2022.

Le projet Baltic Pipe reprend donc sa construction. Pourtant, l’obtention d’un permis environnemental pour les deux tronçons manquants pourrait grandement retarder son achèvement.

La FTC donne son feu vert pour l’acquisition de Pioneer par ExxonMobil

La FTC a donné son approbation pour que ExxonMobil puisse finaliser l’acquisition de Pioneer Natural Resources, stipulant toutefois que Scott Sheffield, l’ex-PDG de Pioneer, ne rejoigne pas le conseil d’administration d’ExxonMobil. Cette condition souligne les complications réglementaires dans un marché énergétique en rapide évolution.

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