Selon Reuters, le prix du gaz naturel diminue de 17 % aux États-Unis. L'arrêt de l'usine d'exportation de GNL de Freeprot LNG participe à une augmentation du stockage de gaz dans le pays et donc à une offre abondante de ce combustible sur le marché.
Les réserves commerciales de brut des États-Unis baissent nettement de 3,1 millions de barils, dépassant largement les prévisions initiales et influençant immédiatement les cours pétroliers internationaux à la hausse.
Après plusieurs mois d’interruption suite à un bouleversement politique majeur, la raffinerie syrienne de Banias a effectué son premier envoi de produits raffinés vers l’étranger, marquant une relance partielle de son secteur énergétique.
En 2024, les émissions américaines de CO₂ restent stables à 5,1 milliards de tonnes, alors que l’administration Trump prépare une politique énergétique favorable aux hydrocarbures, soulevant des questions sur l’évolution future du marché américain.
La croissance soutenue des exportations américaines de gaz naturel liquéfié entraîne une hausse marquée des prix prévus pour 2025 et 2026, alors que l'offre peine à suivre une demande en constante augmentation, selon les projections récentes.
Les vagues de chaleur prolongées et les catastrophes environnementales s'intensifient, entraînant des impacts financiers majeurs dans les secteurs énergétiques, agricoles et immobiliers, selon les derniers rapports de l'ONU et de l'IEA.
Selon le rapport 2025 sur l'accès énergétique mondial, malgré une nette progression des énergies renouvelables, le manque de financements adaptés freine toujours l'accès à l'électricité et à la cuisson propre, notamment en Afrique subsaharienne.
Les réserves commerciales de brut aux États-Unis ont connu une baisse plus marquée que prévu, conséquence d’une intensification de l’activité dans les raffineries selon les données de l’EIA publiées le 4 juin.