L’Observatoire du système électrique renouvelable 2025 alerte sur l’écart croissant entre les ambitions énergétiques françaises et la réalité industrielle, exigeant une accélération immédiate des investissements dans le solaire, l’éolien et les infrastructures associées.
La société Kogi State Electricity Distribution Limited a déclaré une perte de ₦1.3bn ($882,011) due à des actes de fraude énergétique, compromettant la viabilité de ses opérations dans l'État de Kogi.
Plus de 40 développeurs se réuniront à Livingstone du 26 au 28 novembre pour transformer les engagements énergétiques de l’Afrique australe en projets bancables et interconnectés.
Les projections du Citepa confirment un ralentissement marqué de la trajectoire climatique française, avec une baisse des émissions nettement inférieure aux objectifs définis dans la stratégie nationale bas-carbone.
Les États-Unis menacent d’imposer des sanctions économiques aux pays membres de l’Organisation maritime internationale qui approuveraient une taxe carbone sur le transport maritime mondial.
La progression mondiale de l’accès à l’électricité reste en net ralentissement, avec seulement 11 millions de personnes nouvellement connectées en 2024, malgré les efforts ciblés dans certaines régions d’Afrique et d’Asie.
Un rapport parlementaire met en cause la réforme de la tarification de l’électricité prévue pour 2026, pointant une exposition accrue au marché et un mécanisme de redistribution encore flou.
Le Sénat américain a confirmé deux nouveaux commissaires à la tête de la Commission fédérale de régulation de l’énergie, offrant une majorité républicaine qui pourrait redessiner l’approche réglementaire des infrastructures énergétiques nationales.
Le gouvernement fédéral lance un appel à projets doté de 3 mn CAD pour financer la participation autochtone aux infrastructures et projets énergétiques liés aux minéraux critiques.
Des opportunités émergent pour les pays africains de passer de l’extraction à la fabrication industrielle dans les chaînes de valeur des technologies énergétiques, alors que les discussions du G20 de 2025 mettent en lumière ces enjeux.
Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), la capacité mondiale de production renouvelable pourrait plus que doubler d’ici 2030, portée par l’essor du solaire photovoltaïque malgré les tensions sur les chaînes d’approvisionnement et les politiques changeantes.
L’Algérie prévoit d’allouer 60 milliards $ à ses projets énergétiques d’ici 2029, majoritairement orientés vers l’amont pétrolier et gazier, tout en développant la pétrochimie, les renouvelables et les ressources non conventionnelles.
La Chine a établi un record d’exportations de technologies propres en août, dopée par la hausse des ventes de véhicules électriques et de batteries, avec plus de la moitié de la croissance provenant des marchés hors OCDE.
Une attaque nocturne sur le réseau électrique de Belgorod a coupé l’alimentation pour des milliers d’habitants, selon les autorités locales russes, malgré une reprise partielle des services dès le lendemain matin.
L’Académie des sciences appelle à un accord international pour interdire la modification du rayonnement solaire, évoquant des risques majeurs pour la stabilité climatique et les économies mondiales.
L’arrêt des services fédéraux américains perturbe l’ensemble de la chaîne décisionnelle pour les projets énergétiques et miniers, avec des risques accrus de retards administratifs et d’absence de données critiques.
Face à l’éventualité d’une fermeture du gouvernement fédéral, plusieurs agences américaines de l’énergie organisent la suspension de leurs services et la mise au chômage technique de milliers d’employés.
Un rapport révèle l’impact économique des pertes d’énergies renouvelables au Chili, indiquant qu’une baisse de 1% des curtailments générerait $15mn d’économies annuelles.
Face à une menace croissante sur ses infrastructures, le Danemark élève son niveau d'alerte énergétique, en réponse à une série de survols de drones non identifiés et au contexte géopolitique tendu.
Le Premier ministre a rejeté les rumeurs évoquant un moratoire sur les renouvelables, alors que la publication de la prochaine feuille de route énergétique suscite des tensions dans le secteur.
Le Guyana, qui dispose de réserves de pétrole estimées à 10 milliards de barils dont il a commencé l'exploitation, veut construite une raffinerie modulaire pouvant traiter plusieurs dizaines de barils par jour.
La décision mercredi de l'Opep+ de réduire sa production pour soutenir les prix du pétrole, au grand dam de Washington, marque une nouvelle étape dans le rapprochement de l'Arabie saoudite, leader de facto du cartel, et de la Russie.
Le gouvernement norvégien s'attend à un ralentissement de sa croissance l’an prochain mais propose néanmoins de réduire ses ponctions dans la manne pétrolière afin de contenir l’inflation.
Les réserves françaises de gaz sont pleines en prévision de l’hiver, a annoncé mercredi la Commission de régulation de l’énergie (CRE), appelant tout de même à un “effort collectif massif visant à réduire nos consommations d’énergie”.