Un nouveau cadre tarifaire s’appliquera dès janvier 2026 en France, remplaçant le dispositif Arenh. L’État affirme que cette réforme n’entraînera pas de hausse des factures pour la majorité des consommateurs.
Le ministère de l’Économie prévoit une stabilité des tarifs réglementés en 2026 et 2027 pour 19,75 millions de foyers, malgré la suppression du dispositif Arenh et l’instauration d’un nouveau mécanisme tarifaire.
La fédération du secteur électrique propose un plan complet pour réduire la dépendance aux énergies fossiles en remplaçant leur usage dans les transports, l’industrie et le logement par de l’électricité produite localement.
Le nouveau ministre tchèque de l’Industrie veut bloquer le futur système européen d’échange de quotas d’émissions, estimant qu’il nuit à la compétitivité et menace l’industrie nationale face aux puissances mondiales.
Plusieurs scénarios sont à l’étude pour reprendre le contrôle de CEZ, acteur clé de l’électricité en Tchéquie, avec une opération estimée à plus de CZK200bn ($9.6bn), selon le ministre de l’Industrie.
Le gouvernement reporte à début 2026 la publication de la nouvelle Programmation pluriannuelle de l'énergie, freinée par des tensions politiques autour du partage entre nucléaire et renouvelables.
L’Indonésie prévoit $31bn d’investissements d’ici 2030 pour décarboner son électricité captive, mais reste entravée par sa dépendance au charbon et des incertitudes sur les financements internationaux.
Une attaque contre la station d’Al-Muqrin a paralysé une partie du réseau électrique soudanais, affectant plusieurs États et tuant deux secouristes lors d’une seconde frappe sur le site en feu.
Le gouvernement bolivien supprime les subventions sur l’essence et le gazole, mettant un terme à un système en vigueur depuis vingt ans dans un contexte de tensions budgétaires et de raréfaction des devises.
Le gendarme financier polonais a lancé une procédure judiciaire sur des transactions douteuses liées à Energa, survenues juste avant l’annonce du projet de rachat total par Orlen.
Le Conseil de Paris confie à Dalkia, filiale d’EDF, un contrat de €15bn sur 25 ans pour opérer le réseau de chaleur de la capitale, retiré à Engie, délégataire historique, dans un contexte politique tendu à l’approche des élections municipales.
Le régulateur norvégien de l’énergie propose une réforme imposant aux opérateurs de réseau électrique une capacité de réparation multi-sites face à des actes de sabotage simultanés, avec un surcoût annuel estimé de 100 à 300 NOK par foyer.
L’État de São Paulo a demandé la déchéance de la concession d’Enel Distribuição São Paulo, relançant les tensions entre pouvoirs locaux et régulateur fédéral sur fond d’enjeux politiques et énergétiques majeurs à trois ans de l’échéance contractuelle.
La Mauritanie obtient un financement saoudien pour construire un tronçon clé de la « ligne de l’Espoir », dans le cadre de son programme d’extension du réseau de transport d’électricité vers l’intérieur du pays.
RESourceEU organise une intervention directe de l’Union européenne sur les matières critiques via stockpiling, achats groupés et restrictions d’export, afin de réduire la dépendance extérieure et de sécuriser les chaînes industrielles stratégiques.
La troisième Stratégie nationale bas-carbone entre en phase finale de consultation avant son adoption en 2026, définissant la trajectoire française de réduction des émissions jusqu’en 2050 avec des objectifs sectoriels et industriels chiffrés.
L’Allemagne autorisera une hausse d’au moins 1,4 % des revenus de ses opérateurs de réseaux à partir de 2029, tout en renforçant les exigences d’efficacité dans un compromis destiné à débloquer les investissements sans alourdir excessivement les tarifs.
Face à un excédent structurel d’électricité, le gouvernement s’engage à publier une nouvelle Programmation pluriannuelle de l’énergie d’ici Noël, alors que l’alignement entre offre, demande et investissements devient un enjeu industriel et budgétaire majeur.
Un rapport scientifique majeur du Programme des Nations unies pour l’environnement n’a pas été validé par les États membres, en raison de désaccords profonds sur les énergies fossiles et d’autres sujets sensibles.
RTE alerte sur le retard de la France dans l’électrification des usages, pourtant essentielle pour limiter les importations d’hydrocarbures et soutenir sa stratégie de réindustrialisation.
YPFB, la société énergétique d'État bolivienne, cherche des investissements et l'aide de la Russie pour pallier la baisse de production de pétrole et de gaz, tout en tentant d'améliorer les conditions d'investissement.
L'Inde demande aux compagnies électriques d'investir 33 milliards de dollars en équipements cette année pour augmenter la capacité de production de centrales à charbon face à la demande croissante d'électricité.
Les élections britanniques pourraient transformer le marché carbone. Un gouvernement travailliste pourrait aligner le UK ETS sur le système européen, influençant les prix et les stratégies de décarbonation.
L'Union Européenne et l'Italie augmentent leurs objectifs de capacité en énergies renouvelables, créant de nouvelles opportunités d'investissement dans le secteur.
La Banque mondiale approuve un financement de 1,5 milliard USD pour soutenir l'Inde dans le développement de l'hydrogène vert et des énergies renouvelables.
La Bolivie fait face à une crise sévère avec une pénurie de carburant et de devises étrangères, plongeant le pays dans une incertitude économique et politique profonde.
Depuis 2020, la capacité de production d'énergie renouvelable en République Dominicaine a doublé, atteignant 1,126.25 MW fin 2023, grâce à des investissements et réformes audacieuses.
Seuls quatre des vingt-sept États membres de l'UE ont soumis leurs feuilles de route actualisées pour atteindre les objectifs climatiques de 2030. La France figure parmi les retardataires.
La Chine a cessé de publier des données détaillées sur les taux d'utilisation des centrales renouvelables, signalant un ajustement stratégique potentiellement significatif pour le secteur énergétique.
L'Allemagne enregistre une part de 58% d'électricité provenant des énergies renouvelables au premier semestre 2024, marquant une augmentation significative par rapport à l'année précédente.
L'élection présidentielle iranienne oppose Pezeshkian, favorable à l'ouverture économique, à Jalili, partisan de l'autosuffisance. Une décision cruciale pour l'avenir énergétique du pays.
Le Japon revoit sa politique énergétique pour atteindre une réduction de 60% des émissions de gaz à effet de serre (GES) d'ici 2035, alignée sur les objectifs de la COP28.
Dès le 1er juillet, le prix du gaz en France augmente de 11,7%, entraînant une hausse moyenne de 124 euros par an sur les factures des ménages, en pleine période de campagne législative.
L'Argentine approuve des réformes incitatives pour attirer des investissements massifs dans les infrastructures pétrolières et gazières, incluant la privatisation d'Enarsa et la construction d'un terminal de GNL.
Le programme énergétique du Nouveau Front Populaire pour les législatives françaises de 2024 divise sur la question nucléaire tout en rassemblant autour de la transition vers les énergies renouvelables et la lutte contre le financement des énergies fossiles, malgré des critiques sur sa viabilité économique et ses impacts potentiels.
À l’heure d'un tournant historique pour la France, le parti présidentiel Renaissance maintient la ligne de conduite fixée par la politique énergétique d’Emmanuel Macron, misant sur la question du nucléaire français et de la fin des énergies fossiles au profit des énergies renouvelables.
Le Rassemblement National dévoile une stratégie énergétique axée sur l'expansion du nucléaire et une opposition aux énergies renouvelables, suscitant débats et controverses.
L'abondance d'hydroélectricité et de charbon, combinée à des prix élevés du GNL en Asie, freine la demande estivale de gaz naturel en Chine, selon les experts du marché.
Le Labour promet de transformer le Royaume-Uni en leader des énergies renouvelables, tout en faisant face à des critiques sur les impacts économiques et sociaux de cette transition.
Le ministère de l'Énergie saoudien a lancé un projet innovant de cartographie couvrant 850,000 km² pour identifier les meilleurs sites pour l'énergie solaire et éolienne.