La société texane Sunoco a finalisé l’achat de la canadienne Parkland Corporation, ouvrant la voie à une cotation à la Bourse de New York via SunocoCorp à partir du 6 novembre.
Le groupe bp vend à Sixth Street des participations non majoritaires dans ses infrastructures de transport du Permian et d’Eagle Ford pour $1,5 milliard, tout en conservant l’exploitation des installations.
L’Angola engage des discussions exclusives avec Shell pour le développement des blocs offshore 19, 34 et 35, une initiative stratégique destinée à stabiliser sa production pétrolière autour d’un million de barils par jour.
Face à une baisse de production, le Tchad mise sur un plan stratégique ambitieux pour doubler sa production pétrolière d’ici 2030, en s'appuyant sur un renforcement des investissements publics dans les infrastructures et la gouvernance du secteur.
La coentreprise de forage SANAD relance ses activités avec deux foreuses suspendues, prévues pour redémarrer en mars et juin 2026, avec prolongation contractuelle équivalente à la période d’arrêt.
Dragon Oil, filiale de l’Émirats National Oil Company, s’associe à PETRONAS pour renforcer la coopération technique et commerciale dans l’exploration et la production pétrolière.
Canadian Natural Resources a finalisé un échange d’actifs stratégique avec Shell, obtenant 100 % des mines d’Albian et renforçant ses capacités dans les sables bitumineux sans recours à un paiement en espèces.
Le groupe canadien Imperial a dégagé un bénéfice net de 539 mn CAD au troisième trimestre, en baisse sur un an, impacté par des charges exceptionnelles malgré une production record et des flux de trésorerie en hausse.
Le géant pétrolier américain a dépassé les prévisions du marché au troisième trimestre, malgré une contraction de ses résultats et un environnement marqué par la baisse des cours des hydrocarbures.
Le groupe français fournira des pipelines en acier carbone à TechnipFMC pour le projet offshore Orca, renforçant ainsi sa position stratégique sur le marché brésilien.
Le géant pétrolier américain a vu son chiffre d’affaires reculer au troisième trimestre, affecté par la baisse des prix du brut et des marges de raffinage, malgré des volumes records au Guyana et dans le bassin permien.
Le Gabon renforce ses ambitions pétrolières en s’alliant à BP et ExxonMobil pour relancer l’exploration en offshore profond, alors que près de 70 % de son domaine sous-marin reste inexploré.
Sofia limite temporairement les exportations de diesel et de kérosène pour préserver son approvisionnement intérieur, après les sanctions américaines visant Lukoil, principal opérateur pétrolier du pays.
Le négociant suisse Gunvor rachètera les participations africaines de Lukoil, dans un contexte de retrait stratégique lié aux nouvelles sanctions imposées par les États-Unis au secteur pétrolier russe.
Un accord entre Transpetro, Petrobras et le gouvernement de l’Amapá prévoit la construction d’un complexe industriel dédié au pétrole et au gaz, consolidant la position stratégique de l’État sur la marge équatoriale.
La société américaine a enregistré un bénéfice ajusté de $1,02 milliard entre juillet et septembre, soutenue par les segments raffinage et chimie, malgré une baisse du résultat net liée à des charges exceptionnelles.
Le groupe pétrolier espagnol a enregistré un bénéfice net de 1,18 milliard d’euros sur les neuf premiers mois de 2025, pénalisé par des marchés instables, la baisse des cours du pétrole et une fusion ayant alourdi sa dette.
Le bénéfice net du groupe britannique a progressé de 24% au troisième trimestre pour atteindre $5,32bn, soutenant une nouvelle opération de rachat d’actions malgré la pression sur les prix du brut.
Les résultats du troisième trimestre révèlent une forte résilience des majors européennes, soutenues par une amélioration des marges, une hausse de la production et des programmes de rachats d’actions étendus.
Porté par la demande industrielle et les innovations de production, le marché mondial des produits pétrochimiques devrait croître de 5,5 % par an jusqu’en 2034, atteignant une valorisation de $794 milliards.
BP engage cinq milliards $ dans Tiber-Guadalupe, avec une plateforme flottante visant 80 000 barils/jour et une mise en production en 2030, afin d’accroître ses volumes offshore dans le golfe du Mexique.
La Russie prévoit une contraction de 12.5 % de ses revenus issus du pétrole et du gaz en 2025, avant une reprise progressive jusqu’en 2028, selon les projections économiques officielles du gouvernement.
Baker Hughes fournira jusqu’à 50 arbres sous-marins et équipements associés à Petrobras pour soutenir la production offshore au Brésil, renforçant sa présence dans l’exploitation des champs pré-salifères.
Porté par la croissance énergétique mondiale et les investissements dans l’exploration, le marché des équipements de services pétroliers devrait enregistrer un taux de croissance annuel de 5,39 % pour atteindre $36,87bn d’ici 2031.
Les sanctions américaines contre la société pétrolière serbe NIS, détenue par Gazprom, ont été reportées de huit jours après des discussions entre Belgrade et Washington, a annoncé le président Aleksandar Vucic.
Le principal syndicat pétrolier nigérian a ordonné la suspension des livraisons de gaz et de brut à la raffinerie Dangote, après le licenciement de centaines de travailleurs locaux, alimentant un conflit social à fort impact industriel.
Vitol renforce sa présence en Afrique de l’Ouest en entrant au capital du champ pétrolier Baleine, cédé à 30 % par Eni, tout en conservant un rôle actif dans le développement offshore du pays.
ShaMaran et plusieurs compagnies pétrolières internationales ont conclu un accord provisoire avec Bagdad et Erbil pour reprendre les exportations de pétrole brut du Kurdistan par oléoduc, interrompues depuis plusieurs mois.
Le nombre d’appareils de forage en activité aux États-Unis progresse pour la quatrième semaine consécutive, soutenu par la hausse des cours du brut et les difficultés d’OPEP+ à atteindre ses objectifs de production.
Bagdad a réactivé les livraisons de brut depuis le Kurdistan via l’oléoduc vers la Turquie, après deux années d’interruption liée à des litiges juridiques et contractuels impliquant les compagnies internationales opérant sur place.
Washington offre à New Delhi une alternative à ses importations russes, tout en maintenant une pression tarifaire qui expose un double jeu dans la politique énergétique américaine.
Le groupe canadien North Atlantic va acquérir la participation d’ExxonMobil dans Esso France, incluant la deuxième plus grande raffinerie française, dont le changement de contrôle est prévu d’ici la fin 2025.
La seule raffinerie du Ghana se prépare à relancer ses opérations après une longue période d’arrêt, marquée par des difficultés techniques et financières, avec un redémarrage prévu pour octobre selon sa direction.
BP révise ses prévisions annuelles et table désormais sur une croissance de la demande mondiale de pétrole jusqu’en 2030, en raison d’un ralentissement des gains d’efficacité énergétique à l’échelle mondiale.
Le gouvernement libérien a attribué quatre blocs pétroliers en mer à la société nigériane Atlas-Oranto pour un montant de 12 millions $, consolidant la présence régionale des juniors africaines dans l’exploration offshore.
Les majors du pétrole anticipent une année 2026 difficile avec des investissements revus à la baisse, misant sur la discipline financière et la redistribution du cash flow au détriment des projets à faibles rendements.
North Atlantic finalise un accord pour l'acquisition des parts d'ExxonMobil dans Esso S.A.F., marquant une étape déterminante dans un transfert stratégique en France. La finalisation dépend encore des autorisations réglementaires attendues ce trimestre.
Un désaccord technique entre le groupe hongrois MOL et l’opérateur croate Janaf remet en question la fiabilité de l’oléoduc adriatique pour assurer l’approvisionnement en pétrole de la Hongrie et de la Slovaquie.
Les réserves commerciales américaines de brut ont reculé contre toute attente, alors que les analystes anticipaient une hausse, sur fond de hausse des importations et baisse des exportations.
Adnan Ahmadzada, ancien cadre de haut rang chez SOCAR, a été placé en détention provisoire à Bakou pour suspicion de malversations à grande échelle et de menace contre la sécurité économique nationale.