L’Américain X-energy a conclu un accord de réservation avec le Sud-Coréen Doosan Enerbility pour garantir l’approvisionnement en composants critiques destinés à ses réacteurs nucléaires modulaires de petite taille.
Le Niger poursuit sa réorientation minière en concluant un partenariat avec Uranium One pour développer de nouveaux sites, tandis que le projet Dasa cherche encore son financement malgré un appui politique affirmé.
Samsung Heavy Industries a reçu une certification de principe pour une centrale nucléaire flottante intégrant deux réacteurs SMART100, marquant une étape dans la commercialisation des petits réacteurs modulaires en mer.
Le gouvernement indien propose un nouveau cadre juridique unifié pour le nucléaire, visant à stimuler les investissements privés et renforcer la capacité installée à 100 GW d’ici 2047.
Samsung C&T renforce sa présence dans le nucléaire modulaire en Europe en signant un accord avec Synthos Green Energy pour développer jusqu’à 24 réacteurs SMR en Pologne et dans plusieurs pays d’Europe centrale.
La société israélienne nT-Tao et l’Université Ben-Gourion ont mis au point un système de contrôle non linéaire qui améliore la stabilité énergétique des plasmas de fusion, renforçant les bases techniques de leurs futurs réacteurs compacts.
Le gouvernement indien a présenté un projet de loi autorisant les entreprises privées à construire et exploiter des centrales nucléaires, mettant fin à un monopole d’État en vigueur depuis plus de cinq décennies.
Natura Resources engage une nouvelle phase réglementaire pour son réacteur à sels fondus MSR-1, en concluant un accord structurant avec le Département de l’Énergie des États-Unis dans le cadre du programme pilote de réacteurs.
L’autorité norvégienne du démantèlement nucléaire sonde 22 localités pour déterminer leur intérêt à accueillir des installations de stockage de déchets radioactifs issus de ses anciens réacteurs de recherche.
Le réacteur Flamanville 3 d’Électricité de France a atteint pour la première fois sa pleine puissance, marquant une étape industrielle clé dans le déploiement des EPR en Europe, malgré des surcoûts atteignant EUR23,7bn ($25,7bn).
Le petit réacteur modulaire BWRX-300 conçu par GE Vernova Hitachi a obtenu une validation réglementaire clé au Royaume-Uni, ouvrant la voie à une éventuelle mise en service commerciale, malgré l'absence actuelle de projet de déploiement.
Le développeur de réacteurs à sels fondus Natura Resources a acquis Shepherd Power et s’est associé à NOV pour industrialiser la fabrication de petits réacteurs modulaires dès la prochaine décennie.
La China National Nuclear Corporation prévoit une entrée en service commerciale en 2026 pour le réacteur modulaire ACP100, après la réussite des tests à froid et l’achèvement des structures critiques en 2025.
La start-up SEATOM a été sélectionnée pour intégrer le programme DIANA de l’OTAN avec son micro-réacteur nucléaire destiné aux environnements extrêmes, renforçant ainsi son positionnement dans la technologie duale pour applications maritimes et militaires.
Le ministère estonien de l’Économie a ouvert un appel d’offres pour choisir un site et réaliser les premières études d’impact pour une centrale nucléaire de 600 MW, marquant une étape décisive pour l’avenir énergétique du pays.
La Commission européenne a approuvé le soutien financier de la Pologne pour la construction de sa première centrale nucléaire, un projet de 42 milliards € qui mobilisera des fonds publics, des garanties d’État et un contrat de type "différentiel".
Six autorités nucléaires européennes ont finalisé la deuxième phase d’examen commun du réacteur modulaire Nuward, une étape clé dans l’harmonisation des cadres réglementaires pour les petits réacteurs nucléaires en Europe.
Porté par la demande industrielle hors réseau et les contraintes de décarbonation, le marché mondial des petits réacteurs modulaires connaîtra une croissance de 24 % par an jusqu’en 2030, avec une capacité installée triplée en cinq ans.
Des dirigeants du secteur américain de la fusion nucléaire ont exhorté le gouvernement fédéral à réallouer des fonds publics en faveur de leurs projets, estimant que des investissements massifs sont nécessaires pour rester compétitifs face à la Chine.
Santee Cooper a validé un protocole d’accord avec Brookfield Asset Management pour étudier la faisabilité d’un projet de reprise de deux réacteurs nucléaires inachevés, avec un paiement potentiel de 2,7 milliards $ et une capacité de 550 MW.
La livraison de combustible par la filiale russe TVEL au réacteur de recherche de Da Lat marque une étape majeure dans le renforcement du partenariat commercial nucléaire entre Moscou et Hanoï.
Le fournisseur américain X-energy a officialisé un contrat de graphite avec le japonais Toyo Tanso pour la construction de ses quatre premiers petits réacteurs modulaires, en partenariat avec Dow et soutenu par le Département américain de l’énergie.
L’américain Enveniam a conclu un accord avec LIS Technologies Inc. pour piloter la conception et la construction d’une nouvelle installation d’enrichissement d’uranium par laser sur le sol américain.
Face à des délais d’autorisation plus courts, plusieurs entreprises européennes du nucléaire, dont Newcleo, Orano et Urenco, envisagent de relocaliser leurs investissements industriels stratégiques vers les États-Unis.
Un consortium mené par des géants suédois comme ABB, SSAB et Volvo va investir 400 millions de couronnes pour soutenir le développement de petits réacteurs modulaires nucléaires dans le cadre d’un partenariat stratégique avec Vattenfall.
La Russie et l’Inde préparent un accord élargi pour la construction de réacteurs VVER-1200 et de centrales nucléaires modulaires, tout en accélérant les travaux sur le site stratégique de Kudankulam.
Fusion Fuel Cycles a entamé les travaux de son installation UNITY-2, un banc d’essai unique destiné à valider le cycle complet du combustible tritium en conditions de fusion, marquant une étape clé pour l’énergie de fusion.
Framatome va produire du combustible TRISO à Romans-sur-Isère dans le cadre d’un projet pilote destiné aux réacteurs nucléaires avancés, en partenariat avec des acteurs comme Blue Capsule Technology.
Le parlement suédois a approuvé une réforme majeure autorisant l’extraction d’uranium sur son territoire, ouvrant la voie à une réévaluation économique des projets miniers contenant ce minerai stratégique.
Le régulateur sud-africain a autorisé l’unité 2 de la centrale de Koeberg à fonctionner jusqu’en 2045, après des travaux de maintenance et une évaluation de sûreté de long terme.
Le groupe nucléaire Orano a confirmé la libération de son représentant au Niger, détenu depuis mai, alors que les tensions entre la junte nigérienne et l’entreprise française restent vives autour du contrôle des gisements d’uranium.
EDF lance une plateforme numérique souveraine pour sécuriser les échanges de données entre les acteurs du nucléaire, dans le but d’accélérer la construction des futurs réacteurs EPR2.
ONE Nuclear Energy publie une présentation virtuelle à destination des investisseurs détaillant sa vision industrielle, en amont de sa fusion avec Hennessy Capital Investment Corp. VII attendue au premier semestre 2026.
Une majorité d’Américains soutient désormais l’énergie nucléaire, avec une adhésion marquée à la reconversion des centrales à charbon en sites nucléaires et un appui croissant à la recherche publique sur les technologies du secteur.
Alfa Laval étend sa coopération avec EDF afin de fournir des échangeurs thermiques aux projets EPR2 sur trois sites nucléaires, consolidant ainsi sa position dans la filière nucléaire française.
Hadron Energy formalise son plan réglementaire avec les autorités américaines du nucléaire civil avant sa fusion à $1.2bn avec GigCapital7, misant sur une stratégie de conformité anticipée pour accélérer la mise sur le marché de son micro-réacteur.
L’Agence internationale de l’énergie atomique déplore le blocage persistant des inspections sur plusieurs installations nucléaires iraniennes endommagées, où se trouvent encore des stocks d’uranium enrichi à des niveaux élevés.
Orano teste durant quatre mois un robot doté d’intelligence artificielle sur son site de Melox afin d’évaluer ses capacités d’assistance dans des opérations industrielles sensibles et répétitives.
Le projet britannique Sizewell C franchit une étape clé avec un financement consolidé par EDF incluant un prêt garanti par Bpifrance et un soutien du National Wealth Fund, pour un coût total estimé à GBP38bn ($48.19bn).
NGE, via sa filiale Sade, a décroché un contrat pour la réalisation des réseaux de Système d'Eau de Circulation (SEC) de six réacteurs EPR2 en France, un projet stratégique pour la sûreté nucléaire et l'innovation industrielle.