Quelques jours après avoir publié ses résultats annuels de 2021, SPIE annonce remporter deux parcs éoliens offshore. L’entreprise acquiert par conséquent 135 éoliennes supplémentaires.
SPIE remporte deux appels d’offres
SPIE Oil & Gas Services, filiale de SPIE, a remporté deux parcs éoliens offshore au large de la Normandie. Le premier est le parc éolien en mer de Fécamp et le second au large de Courseulles-sur-Mer-Mer. Cette acquisition s’est réalisée dans le cadre du partenariat avec la division Industrie de SPIE Industrie & Tertiaire.
Les prestations associées à ces parcs éoliens sont nombreuses. SPIE évoque l’étude, l’achat et la livraison du matériel. L’entreprise sera également chargée des travaux sur le site de montage, des raccordements finaux et de l’assistance à la mise en service en mer.
SPIE a acquis ces deux parcs éoliens offshore à la suite de deux appels d’offres de l’Etat français. En effet, la France cherche à augmenter sa part d’énergies renouvelables. Elle se combine bien avec la démarche de SPIE de diversifier ses énergies renouvelables.
135 éoliennes offshore supplémentaires
Ainsi, SPIE augmente ainsi ses capacités en énergies renouvelables. L’entreprise s’est récemment associée à ENGIE pour développer un projet éolien en Belgique. Les deux pars éoliens offshore se composent ensemble de 135 éoliennes.
En effet, le parc éolien en mer de Fécamp en contient 71 pour une puissance totale d’environ 500 MW. Cela correspond aux besoins de 770 000 consommateurs. Le parc éolien du Calvados comporte quant à lui 64 éoliennes en mer, soit la consommation de 630 000 personnes.
De plus, les éoliennes du parc du Calvados sont particulières. Elles possèdent des fondations monopieux. Cela permet aux éoliennes une meilleure résistance aux charges du vent, des marées et des vagues.
Finalement, la mise en service du parc de Fécamp est prévue pour 2023. Celui de Courseulles-sur-Mer devrait arriver au cours de l’année 2024.