Elimini et HOFOR s’allient pour transformer l’unité AMV4 d’Amagerværket avec un projet BECCS, visant la capture massive de CO₂ et la création de crédits carbone certifiés. —
Carbonova obtient $3,20mn du programme Advanced Materials Challenge pour lancer la première unité de démonstration commerciale de nanofibres de carbone à Calgary, accélérant le développement industriel dans les matériaux avancés.
Chestnut Carbon a sécurisé un crédit non-recourse de $210mn mené par J.P. Morgan, marquant une avancée pour le financement de projets d’afforestation et l’essor du marché volontaire américain du carbone.
TotalEnergies scelle un partenariat avec NativState pour développer treize projets de gestion forestière sur 100 000 hectares, offrant une alternative économique à la coupe intensive de bois pour des centaines de propriétaires privés.
Gevo commercialise pour la première fois des certificats de retrait de CO2 certifiés Puro.earth, issus de son site du Dakota du Nord, en réponse à la demande croissante pour des crédits carbone à haute intégrité.
Le site de production de Drax enregistre une hausse de 16% de ses émissions, consolidant sa position de principal émetteur britannique, selon une analyse publiée par le groupe de réflexion Ember.
Graphano Energy annonce une première estimation de ressources minérales pour ses propriétés de graphite de Lac Saguay, au Québec, avec un potentiel de développement immédiat près de voies de transport majeures, appuyé par des analyses indépendantes.
La société Carbon2Nature, filiale d’Iberdrola, s’allie au cabinet Uría Menéndez pour un projet de reboisement sur 90 hectares en Sierra de Francia, visant la compensation de l’empreinte carbone du secteur juridique.
North Sea Farmers a mené la toute première récolte d’algues à échelle commerciale dans un parc d’éoliennes offshore, grâce à un financement du fonds climatique d’Amazon Right Now.
Le National Wealth Fund britannique participe à un tour de table de 59,6 millions GBP destiné à financer un pipeline de captage de CO₂ pour l’industrie du ciment et de la chaux, visant une décision finale d'investissement en 2028.
Le projet Bayou Bend, porté par Chevron, Equinor et TotalEnergies, vise à devenir un pôle majeur de stockage de dioxyde de carbone industriel sur la côte américaine du Golfe, avec les premières étapes déjà achevées.
La société américaine Chloris Geospatial a levé 8,5M$ auprès d’investisseurs internationaux pour étendre ses capacités de suivi des forêts par satellite et renforcer son positionnement commercial en Europe, répondant ainsi à une demande croissante du marché carbone.
Le gouvernement fédéral finance trois initiatives de captage, utilisation et stockage du carbone en Alberta, renforçant la compétitivité énergétique nationale et préparant des infrastructures compatibles avec des objectifs de réduction d'émissions à long terme.
Donald Trump approuve une hausse importante des crédits fiscaux américains favorisant la capture et l’utilisation du carbone dans les projets pétroliers, modifiant sensiblement les perspectives économiques du secteur énergétique et attirant l'attention des investisseurs spécialisés.
L'Union Européenne dévoile un plan visant à protéger ses industries exportatrices du coût croissant de sa politique carbone, grâce aux revenus de son mécanisme d'ajustement aux frontières.
La Colombie connaît une chute significative des prix des crédits carbone volontaires, résultat d'un excédent majeur, fragilisant ainsi l'équilibre financier des communautés et projets associés.
La France et la Norvège signent un accord facilitant le transport international de CO₂ vers des installations de stockage géologique offshore, notamment via le projet Northern Lights et l'infrastructure CO₂ Highway Europe.
Frontier Infrastructure Holdings a signé un accord d’enlèvement avec le gestionnaire Wild Assets pour jusqu’à 120 000 tonnes de crédits BECCS, illustrant l’appétit croissant du marché volontaire pour des retraits de carbone traçables et à haute permanence.
Les marchés mondiaux du captage de carbone et des crédits compensatoires pourraient dépasser 1 350 milliards $ d'ici 2050, portés par les investissements privés, les évolutions technologiques et réglementaires, selon une analyse publiée par le cabinet Wood Mackenzie.
Le marché australien des crédits carbone connaît une stabilisation temporaire des prix, tandis que l’émergence de nouveaux instruments financiers alternatifs attire progressivement l’attention des entreprises, modifiant subtilement les dynamiques commerciales et financières du secteur.
Hanwha Power Systems et TC Energy collaborent pour commercialiser une technologie de récupération de chaleur basée sur le CO₂ supercritique, destinée à produire une énergie zéro carbone dans les infrastructures de pipelines.
L’Inde se prépare à lancer un ambitieux système de commerce des crédits carbone (CCTS), axé sur la réduction de l’intensité des émissions industrielles. Ce dispositif, prévu pour 2026-27, pourrait transformer la gestion des émissions à l’échelle nationale.
Le Conseil européen a approuvé un cadre réglementaire pour certifier les activités de capture et de stockage de carbone, un jalon essentiel vers l’objectif de neutralité carbone de l’UE d’ici 2050.
L’Indonésie et le Japon établissent une collaboration historique pour le commerce de crédits carbone sous l’Accord de Paris, renforçant la transparence et les normes environnementales internationales.
L'Arabie Saoudite, principal exportateur mondial de pétrole, a inauguré sa première plateforme d'échange de crédits carbone lors de la COP29 à Baku, visant à renforcer les efforts de décarbonation et à diversifier son économie.
Occidental Petroleum, en partenariat avec Enterprise Products Partners, met en place un réseau de pipelines de CO₂ dans le sud-est du Texas pour transporter les émissions capturées, soutenant ainsi les projets de capture et de séquestration de carbone dans la région de Houston.
Avec des émissions croissantes dans les secteurs pétrolier et gazier, l'Asie-Pacifique explore des solutions de captage et stockage du carbone (CCS) pour atteindre ses objectifs climatiques, mais l'absence de cadre stratégique unifié freine les progrès.
Le projet Pycasso, visant à enfouir du CO2 pour décarboner l’industrie dans le bassin de Lacq, a été abandonné. L'absence de dialogue et les risques pour les industries existantes ont été déterminants dans cette décision controversée.
Le Japon devrait devenir le principal centre de commerce pour le dioxyde de carbone capturé dans la région Asie-Pacifique d'ici 2050, selon Wood Mackenzie, avec des investissements gouvernementaux et un soutien politique crucial pour y parvenir.
Singapour intensifie ses efforts pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050 en cofinançant des études de faisabilité sur le captage et stockage du carbone (CSC) dans ses centrales électriques. Ce projet vise à réduire les émissions tout en garantissant la sécurité énergétique du pays.
La Malaisie introduira une taxe carbone en 2026 ciblant les industries de l’acier, du fer et de l’énergie, conformément à ses ambitions de réduction des émissions. Cette mesure s’aligne avec le mécanisme d’ajustement carbone à la frontière de l’UE.
NextGen CDR signe un accord avec Alt Carbon pour l'achat de crédits de séquestration carbone en Inde, marquant sa première opération en dehors de l'Europe et des États-Unis.
Les initiatives de captage et stockage de CO₂ (CSC) ont enregistré une hausse significative en 2024, atteignant 628 projets mondiaux. Cette expansion est soutenue par des politiques publiques et une collaboration internationale renforcée.
Le corps supervisant l'Article 6.4 de l'Accord de Paris a adopté des normes inédites pour les méthodologies de projets et les éliminations de carbone, facilitant ainsi l'opérationnalisation des marchés mondiaux du carbone volontaire.
Une initiative dirigée par la Fondation Rockefeller vise à fermer prématurément des centrales au charbon dans les pays en développement en utilisant des crédits carbone pour réduire les émissions de CO₂.
Les projets de captage et stockage de carbone (CCUS) se développent en Asie-Pacifique. Plusieurs pays intensifient leurs efforts pour créer des hubs régionaux malgré des réglementations complexes et des défis financiers.
Les grandes entreprises internationales intensifient leurs investissements dans les crédits carbone en Chine, attirées par l’extension du système national et le potentiel de croissance des nouveaux projets.
Le président de la COP28, Sultan Al Jaber, appelle les gouvernements à soumettre des NDC ambitieuses pour accélérer la décarbonation mondiale, en s'appuyant sur l'investissement technologique et l'innovation pour atteindre l'objectif climatique de 1,5°C.
La Norvège a lancé le premier service commercial mondial de transport et stockage de CO2, marquant une étape clé dans la gestion des émissions industrielles en Europe grâce au projet Northern Lights.
Colombie, Kenya, Cambodge, Mexique et Pérou sont les leaders du marché des crédits carbone volontaires, grâce à des avancées réglementaires et une politique favorable aux investisseurs.