Toshiba fait face à des prévisions peu encourageantes pour l’exercice 2023/24, marqué par une baisse significative de ses bénéfices. Malgré un chiffre d’affaires presque stable, l’entreprise voit son bénéfice net et son bénéfice opérationnel chuter en raison de facteurs exceptionnels et des performances négatives de sa filiale Kioxia.
Toshiba tourne la page des huit années de turbulences qu’a connues l’entreprise. Après le scandale des comptes truqués en 2015, la vente de sa filiale de puces-mémoires et de nombreux autres problèmes, le géant japonais de l’électronique a accepté une offre de rachat de 14 milliards d’euros.
Le conglomérat japonais Toshiba est en faveur de l’offre publique d’achat (OPA) de près de 14 milliards d’euros proposée par un consortium japonais mené par Japan Industrial Partners (JIP).
Le groupe Toshiba, qui a subi une perte de valeur ces dernières années, a annoncé en avril dernier qu’il était en train d’envisager sérieusement la possibilité d’être racheté. C’est le consortium japonais dirigé par JIP qui aurait gagné le statut de « candidat préférentiel ».
Le producteur d’uranium Cameco, la société d’investissement Brookfield Renewable Partners et d’autres acteurs vont racheter Westinghouse.
Deux deux cadres de fonds activistes américains intègrent le conseil d'administration de Toshiba.
Toshiba annonce rejoindre le groupement d'entreprises Westinghouse Electric Company, dont Bechtel dirige une équipe. L'objectif est de créer la première centrale nucléaire de Pologne.
Toshiba annonce être en contact préliminaire avec 10 repreneurs potentiels, les noms des partenaires n'ont pas été divulgués. Le conglomérat étudie sérieusement ces dossiers
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