RTE consolide son rôle dans l’éolien marin avec un investissement de 4,5 milliards d’euros pour des plateformes de nouvelle génération en collaboration avec Chantiers de l’Atlantique et Hitachi Energy.
A l’horizon 2040, le réseau électrique français entame son développement et sa modernisation avec un plan de 100 milliards d’euros.
La Cour des comptes appelle à augmenter les investissements dans le secteur énergétique français pour faire face au réchauffement climatique, ciblant les centrales nucléaires, les barrages, et le réseau de distribution.
Le nucléaire français connaît un démarrage plus lent que prévu, impactant la production énergétique et les exportations.
Quatre anciens salariés de RTE ont été jugés coupables d’entrave au fonctionnement d’un système de traitement automatisé de données pour des interventions frauduleuses sur le réseau électrique lors d’une grève en 2022.
Des fissures ont été repérées sur des tuyauteries de secours de réacteurs EDF à Penly 1, Penly 2 et Cattenom 3. Bien que cela ne remette pas en cause la production électrique du parc nucléaire français pour l’hiver prochain, cela souligne l’importance d’accélérer la transition vers des sources d’énergie renouvelable.
RTE a lancé la première étape du projet Éoliennes Flottantes du Golfe du Lion au Barcarès dans les Pyrénées-Orientales. Cette installation de parcs éoliens flottants est indispensable pour atteindre les objectifs de neutralité carbone en France et en Europe.
Les autorités de régulation de l’énergie en France et en Espagne ont revu à la hausse le coût d’un projet d’interconnexion électrique entre les deux pays, mais soulignent que ce projet reste crucial pour la sécurité d’approvisionnement et la décarbonation franco-espagnole.
La Première ministre française, Elisabeth Borne, a déclaré devant une commission d’enquête de l’Assemblée que le gouvernement avait décidé d’accélérer la relance du nucléaire pour répondre aux besoins croissants en électricité et pour atteindre ses objectifs ambitieux de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Quatre ex-salariés de RTE, gestionnaire des lignes à haute tension, sont jugés pour entrave au fonctionnement du réseau électrique. Les accusés sont soupçonnés d’avoir provoqué une « perte de la téléconduite » de postes électriques sur le réseau à distance, en plein conflit social sur les salaires et sur fond de crise énergétique. La CGT dénonce une « criminalisation syndicale de faits de grève ».
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