Face à l’urgence climatique, les gouvernements du G7 ont pris l’engagement audacieux de sextupler les capacités globales de stockage d’énergie d’ici 2030. Ce développement est crucial pour soutenir l’expansion nécessaire des énergies renouvelables.
La consommation de charbon augmente temporairement en Europe en raison de facteurs exogènes, notamment la crise énergétique.
Le Japon veut accélérer la relance du nucléaire dès cet hiver pour réduire son importante dépendance aux hydrocarbures importés.
Le rapport Renewable 2022 prévoit que l’hydroélectricité sera majoritaire dans le bouquet énergétique renouvelable mondial jusqu’en 2027.
L’IEA (Agence internationale de l’énergie) définit les mesures pour combler un éventuel écart entre l’offre et la demande de gaz.
L’efficacité énergétique dans le monde a progressé sous la pression de la flambée des prix de l’énergie souligne l’IEA.
Alors que la voiture à hydrogène pourrait contribuer à décarboniser nos économies , son développement se fait attendre.
Les émissions mondiales de CO2 liées à la combustion des énergies fossiles devraient croître légèrement en 2022, mais moins que prévu grâce à un déploiement record de capacités renouvelables, solaires et éoliennes notamment, selon des estimations publiées mercredi par l’Agence internationale de l’énergie (IEA).
Les cours du pétrole hésitaient mardi, pris dans les incertitudes concernant la demande globale en brut, tandis que le gaz naturel poursuivait son déclin en Europe. Vers 10H30 GMT (12H30 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre cédait 0,20% à 91,44 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain pour livraison en novembre perdait 0,25% à 85,25 dollars.
Déjà sous pression, le marché du GNL devrait être plus tendu au cours de l’année 2023 selon le président de l’IEA.
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