Porté par la demande industrielle et les innovations de production, le marché mondial des produits pétrochimiques devrait croître de 5,5 % par an jusqu’en 2034, atteignant une valorisation de $794 milliards.
CNOOC Limited a annoncé une croissance continue de sa production pétrolière et gazière, atteignant 578,3 millions de barils équivalent pétrole, tout en maîtrisant ses coûts malgré un recul de 14,6% des prix du Brent.
La croissance de la production de sables bitumineux au Canada s’est poursuivie en 2024, mais les émissions absolues de gaz à effet de serre n’ont augmenté que de moins de 1%, selon de nouvelles données industrielles.
L'Argentine tente d'annuler une décision judiciaire américaine lui imposant de verser 16,1 milliards USD à deux actionnaires de YPF après l'expropriation partielle du groupe pétrolier en 2012.
Les États-Unis ont délivré une licence générale permettant des transactions avec deux filiales allemandes de Rosneft, laissant à Berlin jusqu'en avril 2026 pour résoudre la question de leur contrôle.
Un rapport indépendant évalue à 13,03 milliards de barils les ressources pétrolières potentielles du bassin de Jameson Land, positionnant ce site du Groenland parmi les plus grands gisements inexploités au monde.
Affecté par la chute des cours pétroliers et la faiblesse des ventes de carburant, Sinopec affiche un recul marqué de sa rentabilité sur les trois premiers trimestres, avec un recentrage stratégique sur les produits à plus forte marge.
Citizen Energy Ventures entre sur le marché des placements privés en lançant un fonds de $20mn pour exploiter huit puits dans la formation Cherokee du bassin d’Anadarko, une zone pétrolière historique de l’Oklahoma.
Les stocks américains de brut ont reculé de 6,9 millions de barils, contredisant les prévisions, sur fond de chute des importations et de correction statistique hebdomadaire de l’Agence américaine d’information sur l’énergie.
Lukoil a entamé la cession de ses actifs internationaux à la suite de nouvelles sanctions pétrolières imposées par les États-Unis, une décision qui pourrait redéfinir sa présence à l’étranger et peser sur l'approvisionnement de certains marchés européens.
Le Kazakhstan examine les parts détenues par Lukoil dans ses projets pétroliers locaux après l’annonce de la cession d’actifs internationaux du groupe russe, sous la pression de nouvelles sanctions américaines.
La société publique mexicaine a réduit son extraction de brut de 6,7 % tout en augmentant son activité de raffinage de 4,8 %, et a limité ses pertes financières par rapport à l’année précédente.
La nouvelle licence américaine accordée à Chevron modifie profondément les flux financiers entre le Venezuela et les États-Unis, affectant la monnaie locale, les revenus pétroliers et les équilibres économiques du pays.
Three Crown Petroleum enregistre un débit initial stable de 752 barils équivalent pétrole par jour sur son puits Irvine 1NH dans le Powder River Basin, marquant une étape clé de son programme de forage horizontal dans le Niobrara.
Cenovus Energy ajuste son offre d’acquisition de MEG Energy à 30 $ par action et conclut un accord de soutien au vote avec Strathcona Resources, tout en lui vendant des actifs pour un montant pouvant atteindre 150 mn CAD.
L’Irak discute d’un ajustement de sa limite de production au sein de l’OPEP, tout en maintenant ses exportations autour de 3,6 millions de barils par jour malgré une capacité bien plus élevée.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban rencontrera Donald Trump à Washington afin de discuter des répercussions des sanctions américaines sur les géants russes Rosneft et Lukoil, qui mettent sous pression l’approvisionnement énergétique de la Hongrie.
Le magnat nigérian Aliko Dangote prévoit de porter à 1,4 million de barils par jour la capacité de sa raffinerie, redéfinissant les équilibres énergétiques régionaux à partir d’un projet privé sans équivalent en Afrique.
COOEC a signé un contrat EPC de 4 milliards $ avec QatarEnergy pour développer le champ pétrolier offshore de Bul Hanine, marquant la plus importante commande jamais obtenue par une entreprise chinoise dans le Golfe.
Le groupe résilie les engagements des rigs Odin et Hild au Mexique, initialement prévus jusqu’à novembre 2025 et mars 2026, en raison de sanctions touchant une contrepartie impliquée dans la chaîne contractuelle.
Sahara Group investit massivement dans le développement de ses capacités de production au Nigeria, avec sept nouvelles plateformes de forage destinées à faire du conglomérat le premier producteur pétrolier privé du pays.
Le Sénégal souhaite doubler sa capacité de raffinage pétrolier avec un projet estimé entre $2 et $5 milliards, alors que la demande intérieure dépasse les capacités actuelles.
Chevron tente de redémarrer plusieurs unités de sa raffinerie californienne d’El Segundo, après un incendie survenu dans une unité de production de kérosène, perturbant temporairement l’approvisionnement régional en carburants.
L’Éthiopie a débuté la construction de sa première raffinerie de brut à Gode, un projet de $2,5bn confié à GCL, destiné à renforcer la sécurité énergétique du pays face à sa dépendance persistante aux importations.
L’Opep+ ajuste légèrement ses quotas pour novembre, poursuivant sa stratégie de reconquête de parts de marché malgré une demande mondiale stagnante et un marché sous pression.
La Chine a mis en place un système clandestin d’échange pétrole-contre-projets pour contourner les sanctions américaines et soutenir l’économie iranienne sous embargo, selon une enquête exclusive du Wall Street Journal.
TotalEnergies EP Norge a conclu deux accords pour céder ses participations non opérées dans trois champs inactifs norvégiens, conditionnés à une décision d’investissement attendue en 2025.
La Cour suprême des États-Unis entendra le recours d’ExxonMobil visant à obtenir une indemnisation de sociétés cubaines pour des actifs pétroliers nationalisés en 1960, relançant l'application de la loi Helms-Burton.
Un important incendie a été éteint dans la principale raffinerie de Chevron sur la côte ouest des États-Unis. L'origine du sinistre reste inconnue, et une enquête a été ouverte pour en déterminer la cause.
Huit pays membres de l’OPEP+ s’apprêtent à relever leur production de pétrole dès novembre, tandis que l’Arabie saoudite et la Russie débattent de l’ampleur de cette augmentation dans un contexte de tensions sur les parts de marché.
L’éventuelle suppression par Moscou des droits sur l’essence chinoise ravive les perspectives d’exportation et pourrait tendre l’approvisionnement régional, alors que Singapour et la Corée du Sud restent à l’écart.
Vladimir Poutine a réagi à l’interception d’un pétrolier suspecté d’appartenir à la flotte fantôme russe, qualifiant l’opération française de “piraterie” et niant toute implication directe de la Russie.
Après son interception par la marine française, le pétrolier Boracay, lié à la flotte fantôme russe, a quitté Saint-Nazaire avec sa cargaison de pétrole, relançant les tensions autour du contournement des sanctions européennes par Moscou.
Les exportations maritimes de pétrole brut russe ont bondi en septembre, atteignant leur plus haut niveau depuis avril 2024, malgré les sanctions du G7 et les attaques ciblées sur les infrastructures de raffinage.
Le ministère de l’Énergie de Russie a déclaré ne pas envisager de bloquer les exportations de diesel des producteurs, malgré les tensions croissantes sur l’approvisionnement intérieur en carburants.
TotalEnergies a conclu un accord de cession de champs pétroliers matures en mer du Nord à Vår Energi, dans le cadre d’un plan visant à lever $3.5bn pour alléger son endettement croissant.
Le gouvernement russe a décidé d'étendre l'interdiction des exportations d'essence et de diesel, y compris les carburants échangés en bourse, afin de préserver la stabilité du marché intérieur jusqu'à la fin de l'année prochaine.
L’OPEP a formellement rejeté les rumeurs relayées par certains médias faisant état d’une augmentation coordonnée de la production pétrolière par huit pays de l’OPEP+ avant leur réunion prévue le 5 octobre.
International Petroleum Corporation a complété son programme annuel de rachat d’actions ordinaires, réduisant son capital de 6,2 % et envisage une reconduction dès décembre, sous réserve de validation réglementaire.
Kansai Electric Power prévoit l’arrêt définitif de deux unités au fioul lourd à la centrale de Gobo, représentant 1,2GW de capacité, dans le cadre de la réorganisation de son portefeuille de production.