Le président brésilien plaide pour une transition énergétique volontaire et sans échéance fixe, tout en évitant d’affronter les intérêts des pays producteurs lors des discussions de la COP30 à Belém.
La région n’a attiré qu’une faible part des capitaux mondiaux dédiés aux énergies renouvelables en 2024, malgré des besoins élevés et des objectifs de développement importants, selon un rapport publié en novembre.
Les États-Unis approuvent le développement par la Corée du Sud de capacités civiles d’enrichissement de l’uranium et soutiennent un projet de sous-marins nucléaires, élargissant un partenariat stratégique déjà lié à un accord commercial majeur.
Les Vingt-Sept s’accordent pour privilégier le mécanisme de prêt basé sur les avoirs russes immobilisés afin de financer l’aide à l’Ukraine, réduisant l’impact budgétaire national tout en garantissant une capacité de financement renforcée.
Le gouvernement canadien engage une nouvelle série de projets évalués à 56 milliards $ pour développer ses corridors énergétiques, accélérer l'exploitation des minéraux critiques et renforcer son infrastructure stratégique.
Berlin renforce sa coopération avec Abuja à travers un financement destiné à soutenir la diversification énergétique du Nigeria et à consolider ses infrastructures dans les énergies renouvelables.
La COP30 débute à Belém dans un climat d’incertitude, les pays n’étant pas parvenus à s’entendre sur les sujets à inscrire à l’ordre du jour, signe de profondes divisions sur le financement climatique et la transition énergétique mondiale.
Les États-Unis sécurisent une coentreprise au Kazakhstan et des protocoles en Ouzbékistan, avec financement envisagé par l’Export-Import Bank of the United States et un acheminement structuré via le corridor transcaspien.
Les États-Unis offrent à la Hongrie une dérogation d’un an sur les sanctions visant le pétrole russe, en échange d’un engagement d’achat de gaz naturel liquéfié américain estimé à 600 M$.
Réunis au Canada, les ministres de l’Énergie du G7 ont dévoilé une série de projets destinés à sécuriser les chaînes d’approvisionnement en minéraux critiques, en réponse aux restrictions imposées par la Chine sur les terres rares.
Donald Trump annonce une baisse immédiate des tarifs douaniers sur les importations chinoises liées au fentanyl, passant de 20% à 10%, avec un impact potentiel sur les flux énergétiques entre Washington et Pékin.
Amman prévoit de lancer des appels d’offres pour 400 mégawatts de projets solaires, éoliens et de stockage, dans le cadre d’un renforcement de la coopération énergétique bilatérale avec l’Allemagne.
Une réunion d'urgence menée par la Commission européenne rassemble les secteurs clés touchés par les restrictions chinoises sur les exportations de terres rares, avant un retour au Parlement européen.
Manille prévoit de renforcer sa production d’énergie à partir du gaz et des renouvelables afin de répondre à une hausse de 6,6 % de la demande d’électricité en deux ans.
Ottawa et Londres ont multiplié les échanges bilatéraux pour structurer une coopération stratégique autour de l’énergie nucléaire et des chaînes d’approvisionnement en minéraux critiques, dans le cadre de la présidence canadienne du G7.
Donald Trump déclare avoir obtenu l'engagement de Narendra Modi pour mettre fin aux importations de pétrole russe, ajoutant une pression politique sur les relations commerciales indo-russes.
Sous pression diplomatique intense de Washington, les pays membres de l’Organisation maritime internationale ont accepté de reporter d’un an l’adoption d’un mécanisme de tarification du carbone pour le transport maritime mondial.
Washington confirme avoir donné mandat à la CIA pour mener des actions secrètes contre le gouvernement de Nicolas Maduro, provoquant des tensions croissantes entre les États-Unis et le Venezuela sur fond d’enjeux géostratégiques et énergétiques.
Deux commissions du Parlement européen proposent d’avancer à 2026 et 2027 l’arrêt complet des importations d’hydrocarbures russes, incluant pétrole, gaz et GNL, renforçant ainsi la position géopolitique de l’Union européenne.
La conférence COP30 organisée en Amazonie par le Brésil fait face à une faible participation des dirigeants mondiaux, sur fond de tensions géopolitiques et de défis logistiques majeurs.
L’Azerbaïdjan, pays hôte de la COP29, est depuis des siècles une terre de ressources pétrolières et gazières. Sa stratégie actuelle mise sur le gaz naturel pour devenir un fournisseur incontournable en Europe.
Face aux tensions géopolitiques et à une dépendance énergétique critique, l'Ukraine explore un partenariat avec le Qatar pour diversifier ses sources d'énergie et attirer des investissements dans ses infrastructures énergétiques.
En pleine crise énergétique, le Mexique envoie du pétrole à Cuba pour alléger les pénuries d’électricité et s’opposer au blocus américain, un geste humanitaire malgré les critiques.
La Turquie et le Sénégal ont conclu un accord de coopération en hydrocarbures, incluant l'exploration, la production et le commerce du pétrole et du gaz, renforçant les relations d'Ankara avec les économies africaines émergentes.
La société gazière slovaque SPP réfute les informations sur un accord imminent avec l’Azerbaïdjan pour assurer un approvisionnement de gaz via l'Ukraine, malgré les discussions en cours pour maintenir la continuité des flux énergétiques.
Les dirigeants mondiaux se réuniront à Bakou pour la COP29, un sommet sur le climat qui pourrait être bouleversé par le résultat des élections américaines, avec des enjeux cruciaux autour du financement de la lutte contre le réchauffement climatique.
Les Émirats arabes unis, l'Azerbaïdjan et le Brésil, pays hôtes des prochaines COP, projettent une hausse de 32 % de leur production fossile d'ici 2035, malgré leur engagement envers la limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré.
En diversifiant ses débouchés énergétiques, le Nigéria lance un partenariat avec la Grenade pour développer ses ressources d’hydrocarbures, avec un investissement pouvant atteindre plusieurs milliards de dollars.
Le marché nordique adopte un modèle d’optimisation des flux énergétiques, intégrant les énergies renouvelables et renforçant la coopération régionale. Ce modèle favorise une gestion efficace et durable de l’électricité pour la région.
L’adoption du modèle basé sur les flux transforme le marché énergétique nordique, favorisant une convergence des prix et de nouvelles opportunités pour les acteurs régionaux.
Les pays nordiques adoptent un modèle de couplage de marché basé sur les flux, renforçant leur collaboration énergétique avec l’Union européenne, et affirmant leur rôle dans la sécurité énergétique et la transition verte en Europe.
Le Mécanisme d'Ajustement Carbone aux Frontières de l'UE (CBAM) pourrait peu affecter le marché des crédits carbone volontaires en Asie et avoir un impact modeste sur les prix des produits finis, selon les experts de l’Asia Climate Summit.
Le ministère public vénézuélien lance une vaste enquête pour corruption ciblant 351 opposants et plusieurs partis d'opposition dans l'affaire Citgo, la filiale américaine de la compagnie pétrolière PDVSA, marquant une nouvelle escalade dans la crise politique.
L'Indonésie a de nouveau éloigné un navire des garde-côtes chinois de ses eaux territoriales dans la mer de Chine méridionale, marquant une intensification des tensions autour des revendications de souveraineté sur cette zone stratégique.
Le tribunal de Düsseldorf a rejeté la plainte de Rosneft contre la vente de la participation de Shell dans la raffinerie de Schwedt, marquant une étape clé dans la restructuration des actifs énergétiques allemands.
Les discussions entre Singapour et la Thaïlande sur la seconde phase du projet LTMS peinent à avancer, compromettant l'interconnexion régionale en Asie du Sud-Est. Un désaccord persiste quant à la quantité d'électricité à garantir pour compenser les coûts de transmission.
Le Royaume-Uni a inscrit 22 pétroliers et navires de GNL sur sa liste de sanctions, visant à affaiblir les ressources financières russes et à réduire les risques de pollution maritime.
L'exploration de Petronas dans la zone économique exclusive de la Malaisie en mer de Chine méridionale soulève des enjeux géopolitiques et économiques majeurs, influençant les relations bilatérales et le marché énergétique régional.
Les dirigeants de l'Union européenne et des pays du Golfe se réunissent à Bruxelles pour prévenir une escalade au Moyen-Orient, en abordant commerce, énergie et stabilité régionale.
Les États-Unis intensifient les sanctions contre l'Iran, ciblant son secteur pétrolier et ses partenaires internationaux, en réponse au soutien iranien à des organisations terroristes telles que le Hezbollah, les Houthis et le Hamas, ainsi qu'aux violations des droits fondamentaux commises par le régime iranien.