Publicité

Dernières actualités

McPhy ouvre à Belfort la première usine d’électrolyseurs en France, un pas crucial vers la décarbonation industrielle et des transports.
McPhy ouvre à Belfort la première usine d’électrolyseurs en France, un pas crucial vers la décarbonation industrielle et des transports.
Lors du Forum économique mondial à Ryad, Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies, a critiqué le développement actuel de l'hydrogène vert, le considérant encore à un "stade embryonnaire", et a promu les biocarburants comme solution prioritaire pour réduire les émissions.
Lors du Forum économique mondial à Ryad, Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies, a critiqué le développement actuel de l'hydrogène vert, le considérant encore à un "stade embryonnaire", et a promu les biocarburants comme solution prioritaire pour réduire les émissions.
Orano et XTC s'associent pour produire des batteries pour véhicules électriques en France, avec une forte préoccupation pour le recyclage et la durabilité des ressources. Grâce à cette collaboration, Orano vise à atteindre 30% de matériaux recyclés dans la production des batteries.
Orano et XTC s'associent pour produire des batteries pour véhicules électriques en France, avec une forte préoccupation pour le recyclage et la durabilité des ressources. Grâce à cette collaboration, Orano vise à atteindre 30% de matériaux recyclés dans la production des batteries.
Le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) lance une initiative pour renforcer la "souveraineté énergétique du pays" en créant deux start-up, Hexana et Stellaria, pour développer une nouvelle génération de Small Modular Reactor (SMR) décarbonés et capables de digérer les déchets nucléaires existants.
Le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) lance une initiative pour renforcer la "souveraineté énergétique du pays" en créant deux start-up, Hexana et Stellaria, pour développer une nouvelle génération de Small Modular Reactor (SMR) décarbonés et capables de digérer les déchets nucléaires existants.
La suppression de l'Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (IRSN) annoncée par le gouvernement français inquiète les chercheurs et les salariés de l'organisme. Cécile Cunin et Jean Desquines, deux experts en recherche sur le nucléaire, expliquent pourquoi cet organisme indépendant est essentiel pour garantir la crédibilité des avis scientifiques dans un secteur sensible.
La suppression de l'Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (IRSN) annoncée par le gouvernement français inquiète les chercheurs et les salariés de l'organisme. Cécile Cunin et Jean Desquines, deux experts en recherche sur le nucléaire, expliquent pourquoi cet organisme indépendant est essentiel pour garantir la crédibilité des avis scientifiques dans un secteur sensible.
Le Conseil d’administration de l’IRSN tire la sonnette d'alarme sur les risques liés à la suppression de l'institut dans un projet gouvernemental de réorganisation. Les syndicats craignent pour la sûreté nucléaire en cas de départ du personnel et pour la capacité d'expertise de la France dans le domaine.
Le Conseil d’administration de l’IRSN tire la sonnette d'alarme sur les risques liés à la suppression de l'institut dans un projet gouvernemental de réorganisation. Les syndicats craignent pour la sûreté nucléaire en cas de départ du personnel et pour la capacité d'expertise de la France dans le domaine.
Le gouvernement français prévoit de fusionner l'Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (IRSN) avec d'autres organisations. Cette décision soulève des interrogations quant au sort de l'expertise française en matière de sûreté nucléaire. Les salariés de l'IRSN seront répartis entre l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), chargée de réglementer le secteur, et le Commissariat à l'énergie atomique (CEA). Toutefois, cette décision suscite des inquiétudes et les syndicats du personnel de l'IRSN appellent à la grève le 20 février.
Le gouvernement français prévoit de fusionner l'Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (IRSN) avec d'autres organisations. Cette décision soulève des interrogations quant au sort de l'expertise française en matière de sûreté nucléaire. Les salariés de l'IRSN seront répartis entre l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), chargée de réglementer le secteur, et le Commissariat à l'énergie atomique (CEA). Toutefois, cette décision suscite des inquiétudes et les syndicats du personnel de l'IRSN appellent à la grève le 20 février.

articles populaires