Hunatom annonce une alliance stratégique avec Synthos Green Energy pour l’introduction de la technologie américaine des petits réacteurs modulaires, renforçant les liens énergétiques entre la Hongrie, la Pologne et les États-Unis.
GoldenPeaks Capital met en service deux centrales photovoltaïques d’envergure en Hongrie, renforçant l’intégration de la production solaire indépendante et l’offre d’électricité sur le marché national.
La progression des objectifs nationaux en matière d’énergies renouvelables reste marginale, avec seulement 2% d’augmentation depuis la COP28, menaçant la réalisation du triplement des capacités d’ici 2030 et impactant la sécurité énergétique.
Washington déclenche une structure tarifaire inédite combinant 25% de droits fixes et une sanction additionnelle non spécifiée liée aux achats énergétiques et militaires russes.
Le ministre russe de l’Énergie annonce une coopération renforcée dans l’uranium et le nucléaire civil au Niger, renforçant la présence économique russe dans un secteur clé après le retrait de plusieurs acteurs occidentaux.
Slovenské elektrárne a signé un accord avec Urenco pour l’achat d’uranium enrichi destiné aux centrales nucléaires de Bohunice et Mochovce, renforçant la diversification de ses sources d’approvisionnement jusqu’au milieu des années 2030.
L’Ouganda mise sur une présence diplomatique à Vienne afin de faciliter la coopération technique et commerciale avec l’Agence internationale de l’énergie atomique pour soutenir ses ambitions dans le nucléaire civil.
La Serbie a obtenu un nouveau délai de 30 jours concernant l’application de sanctions américaines contre NIS, l’exploitant de la seule raffinerie du pays, détenu majoritairement par Gazprom.
L'accord UE-États-Unis pourrait créer une concentration énergétique supérieure à celle de la Russie avant 2022, menaçant la stratégie européenne de diversification.
L'engagement européen d'acheter 250 milliards de dollars d'énergie américaine par an soulève des questions sur sa faisabilité technique et économique face aux capacités d'export limitées.
Naftogaz et la Société d’État du pétrole de la République d’Azerbaïdjan (SOCAR) viennent d’officialiser un premier contrat de livraison de gaz naturel via le corridor Transbalkan, ouvrant de nouvelles perspectives logistiques pour l’approvisionnement énergétique ukrainien.
Donald Trump a évoqué des sanctions tarifaires contre les pays achetant du brut russe, mais selon Reuters, leur mise en œuvre reste improbable en raison des risques économiques et des précédents non appliqués.
Le Mozambique souhaite renforcer la présence de sociétés russes dans l’exploration et la production de gaz naturel, alors que le pays ambitionne de diversifier ses partenariats dans le secteur des ressources naturelles.
Le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Peter Szijjarto, déclare que Budapest empêchera toute interdiction européenne sur les importations d’hydrocarbures russes, soulignant l’enjeu du coût énergétique pour les ménages.
La Hongrie réaffirme sa volonté de doubler la capacité de sa centrale nucléaire de Paks, en partenariat avec Rosatom, avec un démarrage des travaux concrets attendu à l’automne.
Le tribunal de La Haye a autorisé la libération des parts de Gazprom dans Wintershall Noordzee, suite à une décision judiciaire survenue après plusieurs mois de contentieux impliquant des sociétés ukrainiennes.
Londres élargit son dispositif de sanctions à 135 navires et deux sociétés associés à la flotte fantôme russe, renforçant la riposte internationale contre les exportations pétrolières de Moscou.
Suite à l'instauration de sanctions par l'Union Européenne, Nayara Energy a ajusté ses conditions de paiement pour un appel d'offres de naphta, exigeant désormais un paiement anticipé ou une lettre de crédit de la part des acheteurs potentiels.
Depuis début avril, l'Europe a importé près de 45 milliards de mètres cubes (bcm) de gaz naturel liquéfié (GNL), avec des perspectives de stockage pour l'hiver qui pèsent sur les prix du gaz.
Le sénateur américain Lindsey Graham a annoncé que le président Donald Trump envisage d'imposer des tarifs de 100 % sur les pays achetant du pétrole russe, dont la Chine, l'Inde et le Brésil.
L’Union européenne a validé un nouveau train de sanctions visant 345 navires soupçonnés d’aider la Russie à contourner les restrictions sur ses exportations de pétrole brut et produits raffinés.
Dan Jørgensen, commissaire européen à l'Énergie, confirme que l'UE poursuivra l'interdiction des importations de gaz russe, indépendamment de l'issue des négociations de paix en Ukraine, avec des propositions législatives prévues pour juin.
La Russie et le Vietnam ont signé une feuille de route nucléaire visant à renforcer leur coopération technologique, incluant un projet de centrale nucléaire commerciale et un centre scientifique d'ici 2030.
Belgrade souhaite préserver des conditions tarifaires favorables pour ses importations de gaz russe, alors que le contrat actuel arrive à échéance le 31 mai.
Le vice-Premier ministre Alexandre Novak affirme que la production pétrolière russe pourrait retrouver un niveau durable de 10,8 millions de barils par jour, grâce à la demande mondiale croissante et à des ajustements fiscaux internes.
Les cours du pétrole ont grimpé vendredi, portés par la signature d’un accord commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ravivant les anticipations d’un apaisement dans les tensions mondiales.
Un accord sur l’exploitation de 57 types de ressources naturelles doit être ratifié par le Parlement ukrainien, prévoyant un fonds bilatéral avec Washington sans contrepartie militaire explicite.
En visite en France, le ministre saoudien de l’Industrie a présenté le titane et l’aluminium du royaume comme leviers pour conclure des accords avec les industriels français et soutenir la diversification industrielle du pays.
La hausse des tarifs douaniers entre les États-Unis et la Chine reconfigure radicalement les flux d'approvisionnement pétrochimiques chinois, menaçant d'augmenter les coûts et d'accentuer les difficultés d'approvisionnement dans un secteur stratégique déjà sous pression.
Les prix du Brent et du WTI ont fortement progressé après l’annonce d’un compromis commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ravivant les anticipations d’une reprise de la demande mondiale de brut.
Les cours du pétrole sont orientés à la baisse, sous la pression combinée d’une production accrue des membres de l’Opep+ et de la perspective d’un accord nucléaire entre l’Iran et les États-Unis.
Le méthane rejeté par les secteurs pétrolier, gazier et charbonnier est resté à un niveau quasi record selon l’Agence internationale de l’énergie, qui alerte sur l’ampleur des fuites massives observées.
La Russie se positionne en soutien actif des négociations nucléaires entre l’Iran et les États-Unis, plaidant pour un cadre juridique équilibré et conforme au droit international.
Bruxelles annonce une sortie totale du gaz russe d’ici fin 2027, malgré une dépendance résiduelle de 9% et un marché mondial du gaz naturel liquéfié sous pression.
Les prix du brut ont repris de la vigueur après une chute alimentée par l’Opep+, avec un soutien marqué de la demande d’essence aux États-Unis à l’approche de la saison estivale.
Le président français reçoit à Paris le dirigeant turkmène Gourbangouly Berdymoukhamedov pour officialiser des accords économiques, sur fond de rivalités géopolitiques autour des ressources gazières d’Asie centrale.
Les États-Unis et l’Ukraine ont établi un fonds commun pour exploiter les ressources naturelles ukrainiennes, dans le cadre d’un accord bilatéral sans engagements militaires explicites.
Huit membres de l’Opep+ porteront leur production à 411 000 barils par jour en juin, intensifiant l’offre mondiale malgré une baisse marquée des prix et des tensions commerciales persistantes.
L’Ukraine bénéficiera d’un prêt de €270 millions de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, soutenu par une subvention norvégienne, afin de sécuriser ses importations de gaz sur deux hivers.
Les États-Unis et l’Ukraine ont signé un accord bilatéral établissant un fonds d’investissement destiné à financer la reconstruction et des projets d’extraction de ressources naturelles sur le territoire ukrainien.