Gotion inaugure son Gigafactory en Slovaquie, marquant une avancée majeure dans la production de batteries pour véhicules électriques en Europe. Ce site, prévu pour 2027, renforce la chaîne industrielle verte du continent.
Elogen fournira un électrolyseur PEM de 1 MW pour une centrale de cogénération exploitée par Veolia Energia Slovensko, en partenariat avec RoyalStav, près de Žiar nad Hronom.
Viktor Orban affirme travailler à contourner les récentes sanctions américaines visant Rosneft et Lukoil, soulignant la dépendance persistante de la Hongrie aux hydrocarbures russes.
Le développeur français Newcleo lance avec Nextchem une coentreprise dotée d’un contrat initial de EUR70 mn pour concevoir l’îlot conventionnel de ses futurs réacteurs nucléaires modulaires de 200 MW.
Les États membres de l’Union européenne ont validé le principe d’une interdiction totale des importations de gaz naturel russe, avec une mise en œuvre prévue d’ici fin 2027.
Les ambassadeurs des pays membres de l’Union européenne ont validé l’envoi au Conseil des ministres d’un projet législatif visant à éliminer progressivement les importations d’énergie fossile russe d’ici janvier 2028.
Le groupe pétrolier hongrois MOL et l’opérateur croate JANAF négocient une prolongation de leur accord de transport de brut, alors que la région cherche à réduire sa dépendance au pétrole russe.
Le groupe énergétique suisse MET renforce sa présence en Europe centrale et du Sud-Est avec l'acquisition complète de MET Slovakia et la création d’une nouvelle filiale opérationnelle en Albanie.
Un désaccord technique entre le groupe hongrois MOL et l’opérateur croate Janaf remet en question la fiabilité de l’oléoduc adriatique pour assurer l’approvisionnement en pétrole de la Hongrie et de la Slovaquie.
La Commission européenne envisage d’imposer des droits de douane ciblés sur les importations de pétrole russe encore autorisées en Hongrie et en Slovaquie, pour contourner les exemptions actuelles.
Un projet de fabrication de combustibles nucléaires à Lingen impliquant la société française Framatome et le russe Rosatom suscite l’inquiétude en Allemagne, où les derniers réacteurs ont été arrêtés en 2023.
Le ministre polonais de l’Énergie appelle les États membres de l’Union européenne à s’engager collectivement à stopper les achats de pétrole russe sous deux ans, évoquant des risques géopolitiques croissants.
Un démarrage du ban sur le gaz russe dès 2026 renchérirait les prix repères, avec un écart proche de 1 $/MMBTU en 2026-2027 et des pointes au-delà de 20 $/MMBTU en Autriche, Hongrie et Slovaquie, faute d’offre régionale et de GNL disponible.
Donald Trump menace d’intensifier les sanctions américaines contre la Russie, mais uniquement si les pays de l’Otan interrompent tous leurs achats de pétrole russe, encore actifs via certains oléoducs.
Le président finlandais Alexander Stubb a dénoncé les importations d’énergie fossile russe par la Hongrie et la Slovaquie, en pleine préparation du 19e paquet de sanctions européennes contre Moscou.
La croissance solaire en Europe centrale a doublé celle de l’Union européenne depuis 2019, entraînant une reconfiguration rapide du mix énergétique et une montée en puissance de la production de batteries.
Le président ukrainien a exigé l’arrêt des importations de brut russe par la Slovaquie, en proposant une alternative d’approvisionnement, dans un contexte marqué par la guerre et les tensions diplomatiques croissantes autour de l’oléoduc Droujba.
Une station du pipeline Stalnoy Kon, essentielle au transport de produits pétroliers entre la Biélorussie et la Russie, a été la cible d’une attaque de drones menée par les forces ukrainiennes dans l’oblast de Briansk.
En déplacement à Pékin, Vladimir Poutine a appelé la Slovaquie à suspendre ses livraisons d’énergie à l’Ukraine, en réponse aux frappes ukrainiennes sur les infrastructures énergétiques russes.
Vladimir Poutine et Robert Fico se sont rencontrés en Chine pour aborder la guerre en Ukraine, la sécurité régionale et les relations énergétiques entre la Russie et la Slovaquie.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico a reconnu le 20 mars des difficultés techniques majeures entravant un projet de swap gazier avec l’Azerbaïdjan, tout en réaffirmant l’urgence de rétablir le transit gazier russe via l’Ukraine.
Newcleo a entamé l’acquisition foncière pour son réacteur modulaire LFR-AS-30 dans l’ouest de la France. L’entreprise italienne poursuit ses démarches réglementaires et prévoit une mise en service de son premier réacteur en France d’ici 2031.
Face à l’arrêt des livraisons de gaz transitant par l’Ukraine, la Slovaquie s’appuie désormais sur le gazoduc TurkStream et un passage par la Hongrie pour garantir son approvisionnement. Un choix qui s’inscrit dans une stratégie énergétique indépendante, malgré les tensions géopolitiques en Europe.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban conditionne le maintien des sanctions européennes contre la Russie à une reprise du transit de gaz russe via l’Ukraine, soulignant l'impact des mesures sur l'économie hongroise.
Grâce à l'extension de l'oléoduc TAL, la République tchèque diversifie ses approvisionnements énergétiques, réduisant ainsi sa dépendance au pétrole russe tout en renforçant sa sécurité stratégique.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico et le président ukrainien Volodymyr Zelensky prévoient des discussions sur la reprise partielle du transit de gaz russe, représentant 25 % des volumes nécessaires pour la Slovaquie.
La fin des livraisons de gaz russe via l’Ukraine plonge la Transdniestrie, région séparatiste moldave, dans une grave crise énergétique, entraînant des coupures de courant pour ses habitants et des tensions croissantes avec Chisinau.
La Slovaquie affirme être prête pour l'arrêt du transit de gaz russe via l'Ukraine en 2025, malgré les coûts financiers et l'impact sur les marchés européens. Les réserves et les alternatives assurent une sécurité énergétique nationale.
L’interruption du transit du gaz russe via l’Ukraine affecte 14 milliards de mètres cubes annuels, provoquant des conséquences politiques et économiques majeures pour l’Europe de l’Est.
Katowice inaugure une station hydrogène stratégique, cofinancée par l’Union européenne, renforçant les infrastructures pour les transports publics et privés en Pologne.
Gazprom suspend ses livraisons de gaz à la Moldavie dès le 1er janvier, invoquant une dette contestée de 700 millions de dollars. Cette coupure, sur fond de tensions politiques, met en lumière la dépendance énergétique du pays.
L’arrêt du transit de gaz russe via l’Ukraine menace les approvisionnements énergétiques en Europe de l’Est. En Slovaquie, le coût des alternatives s’élèverait à 150 millions d’euros, alimentant les tensions politiques et économiques.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky accuse le Premier ministre slovaque Robert Fico de refuser des alternatives au gaz russe, compromettant un contrat de transit annuel de 2 milliards d’euros avec l’Union européenne.
La panne sur l'oléoduc Druzhba, reliant la Pologne à l'Allemagne, interrompt 20 % de l'approvisionnement allemand en pétrole kazakh, avec une reprise attendue d'ici la fin de l'année.
Le Bundestag a approuvé la fin de la taxe de neutralité sur les flux gaziers transfrontaliers, un changement attendu qui impactera les échanges énergétiques au sein de l'Europe dès janvier 2025.
EPH, groupe tchèque détenu par Daniel Kretinsky, acquiert une participation majoritaire dans Slovenske Elektrarne pour 150 millions d’euros, consolidant ainsi sa présence sur le marché européen de l’énergie nucléaire.
L’Union européenne renforce ses sanctions contre la Russie en blacklistant des navires supplémentaires et des entités liées à Rosneft pour lutter contre l’évasion des plafonds de prix du G7 sur les exportations de pétrole russe.
Le commissaire européen à l’Énergie, Dan Jorgensen, assure que l’Union européenne dispose des moyens nécessaires pour faire face aux défis énergétiques de l’hiver, malgré la pression sur les réserves de gaz.
L’Union européenne renforce ses sanctions contre la Russie en ciblant de nouveaux pétroliers impliqués dans le transport de pétrole russe et élargit sa liste noire d’entités soutenant l’effort militaire de Moscou.
Malgré un différend entre Gazprom et OMV, les flux de gaz russe transitant par l'Ukraine vers l'Union européenne restent stables à 42,4 millions de mètres cubes par jour, révélant la complexité des enjeux économiques et juridiques du marché énergétique européen.