Le sultanat attribue trois concessions minières à des entreprises locales. Les projets ciblent des gisements stratégiques pour réduire la dépendance aux hydrocarbures.
Les investisseurs détiennent 28,9 millions d'EUA nets longs au 8 août, niveau record depuis quatre mois. Prix stables autour de 71 euros malgré fondamentaux divergents.
Un rapport Dragos révèle l'ampleur des vulnérabilités cybernétiques des infrastructures énergétiques mondiales. Les pertes potentielles atteignent des sommets historiques.
Le ministère russe de l’Industrie et du Commerce annonce des générateurs éoliens « configuration arctique » pour alimenter des infrastructures de la Route maritime du Nord, sans liste d’entreprises à ce stade, avec un objectif affiché de souveraineté technologique.
Moscou prépare le développement de turbines à gaz dépassant 300 MW, tout en renforçant ses capacités existantes et en se positionnant face aux modèles les plus performants au monde.
Le Département de l’Énergie des États-Unis a sélectionné onze entreprises pour construire des réacteurs nucléaires expérimentaux d’ici juillet 2026, dans un programme visant à répondre à la hausse de la demande électrique.
Le rapport d'août de l'OPEP dévoile une production russe supérieure aux quotas et une domination commerciale en Asie, tandis que le Kazakhstan dépasse massivement ses engagements de réduction.
Environ 80 normes techniques russes pour le pétrole et le gaz ont été validées à l’international, notamment par les Émirats arabes unis, l’Algérie et Oman, selon l’Institut des initiatives technologiques pétrolières.
Des centaines de tankers vieillissants transportent du pétrole russe vers l'Asie, contournant les sanctions occidentales tout en créant des risques environnementaux majeurs et transformant les flux commerciaux mondiaux.
Le géant logistique émirati affiche une croissance de 40% de ses revenus malgré des taux de fret maritimes déprimés, portée par l'intégration de Navig8 et l'expansion stratégique de sa flotte.
La production pétrolière de l'OPEP+ a chuté à 41,65 millions de barils par jour en juillet 2025, révèle l'enquête Platts de S&P Global, alors que l'Arabie Saoudite normalise sa production après les tensions Iran-Israël de juin.
Les retraits de BP et Fortescue révèlent l'écart entre promesses et réalité économique du secteur, malgré 22,7 milliards de dollars australiens d'incitations gouvernementales.
Le gouvernement canadien adopte un nouveau plafond dynamique à 47,60 $ le baril pour le pétrole russe, alignant sa position sur celle de l’Union européenne et du Royaume-Uni.
Les huit membres OPEC+ concernés mettront fin le mois prochain aux coupes instaurées en novembre 2023, tout en conservant la possibilité de réajuster leur production selon l’évolution des fondamentaux et du respect des quotas.
Les études de terrain pour déterminer l’implantation de la première centrale nucléaire au Kazakhstan ont débuté près du village d’Ulken, marquant une étape clé d’un projet mené par Rosatom.
Les découvertes géantes transforment la mer Noire en alternative au gaz russe, malgré des défis techniques colossaux liés à l'hydrogène sulfuré et aux tensions géopolitiques ukrainiennes.
Pakistan Refinery Limited s'apprête à importer du brut Bonny Light du Nigeria pour la première fois, reflétant l’élargissement des partenariats commerciaux des raffineurs asiatiques face à la hausse des coûts régionaux.
Les revenus générés par le pétrole et le gaz en Russie ont enregistré une baisse marquée en juillet, exerçant une pression directe sur l'équilibre budgétaire du pays selon les chiffres officiels.
Belarus propose son expertise pour accompagner la construction de la première centrale nucléaire ouzbèke, alors que Tashkent accélère ses projets énergétiques civils avec de nouveaux partenariats internationaux.
La croissance des e-carburants s’accélère avec un marché attendu à $66,25bn d’ici 2030, portée par l’essor industriel de l’Asie-Pacifique, le développement technologique et les investissements dans l’infrastructure hydrogène et ammoniaque.
Le vice-Premier ministre Alexandre Novak affirme que la production pétrolière russe pourrait retrouver un niveau durable de 10,8 millions de barils par jour, grâce à la demande mondiale croissante et à des ajustements fiscaux internes.
Les cours du pétrole ont progressé après la décision conjointe de Washington et Pékin de suspendre temporairement leurs surtaxes, allégeant les tensions sur la demande mondiale.
Le président américain entame une visite d’État en Arabie saoudite axée sur un partenariat économique ambitieux, reléguant la normalisation israélo-saoudienne au second plan en raison de la guerre à Gaza.
La baisse des revenus tirés des ventes et la hausse des coûts d’exploitation ont affecté les résultats d’Aramco, qui reste central dans la stratégie économique de l’Arabie saoudite.
Les cours du pétrole ont grimpé vendredi, portés par la signature d’un accord commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ravivant les anticipations d’un apaisement dans les tensions mondiales.
En visite en France, le ministre saoudien de l’Industrie a présenté le titane et l’aluminium du royaume comme leviers pour conclure des accords avec les industriels français et soutenir la diversification industrielle du pays.
La hausse des tarifs douaniers entre les États-Unis et la Chine reconfigure radicalement les flux d'approvisionnement pétrochimiques chinois, menaçant d'augmenter les coûts et d'accentuer les difficultés d'approvisionnement dans un secteur stratégique déjà sous pression.
Les prix du Brent et du WTI ont fortement progressé après l’annonce d’un compromis commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni, ravivant les anticipations d’une reprise de la demande mondiale de brut.
Les cours du pétrole sont orientés à la baisse, sous la pression combinée d’une production accrue des membres de l’Opep+ et de la perspective d’un accord nucléaire entre l’Iran et les États-Unis.
Le méthane rejeté par les secteurs pétrolier, gazier et charbonnier est resté à un niveau quasi record selon l’Agence internationale de l’énergie, qui alerte sur l’ampleur des fuites massives observées.
La Russie se positionne en soutien actif des négociations nucléaires entre l’Iran et les États-Unis, plaidant pour un cadre juridique équilibré et conforme au droit international.
Bruxelles annonce une sortie totale du gaz russe d’ici fin 2027, malgré une dépendance résiduelle de 9% et un marché mondial du gaz naturel liquéfié sous pression.
Les prix du brut ont repris de la vigueur après une chute alimentée par l’Opep+, avec un soutien marqué de la demande d’essence aux États-Unis à l’approche de la saison estivale.
Le président français reçoit à Paris le dirigeant turkmène Gourbangouly Berdymoukhamedov pour officialiser des accords économiques, sur fond de rivalités géopolitiques autour des ressources gazières d’Asie centrale.
Huit membres de l’Opep+ porteront leur production à 411 000 barils par jour en juin, intensifiant l’offre mondiale malgré une baisse marquée des prix et des tensions commerciales persistantes.
Les attaques russes contre les infrastructures gazières ukrainiennes ont réduit la production nationale de moitié, poussant Kiev à chercher des sources d'importation alternatives pour sécuriser l'approvisionnement hivernal.
Malgré des turbines 30 à 40% moins chères, les fabricants chinois peinent à surmonter les défis de crédibilité qui freinent leur percée dans l’éolien européen.
Les États-Unis prolongent jusqu'au 27 juin la suspension des sanctions visant NIS, énergéticien serbe contrôlé par Gazprom, offrant un répit stratégique à la Serbie dépendante de son approvisionnement gazier.
La Russie et l’Iran prévoient une forte accélération de leurs échanges commerciaux dès l'entrée en vigueur de leur accord de libre-échange en mai, couvrant notamment le pétrole, le gaz et le nucléaire civil.
L'industrie pétrolière mondiale anticipe une baisse significative des investissements en exploration-production dès 2025, sur fond d'offre excédentaire persistante, aggravée par les hausses tarifaires américaines et les récentes décisions de l'OPEP+.