GE Vernova équipera le parc éolien d’Ialomiţa avec 42 turbines de 6,1 MW, consolidant sa présence dans l’éolien terrestre européen avec un projet de 252 MW en partenariat avec Greenvolt.
CWP Europe a officialisé deux projets d’envergure en Albanie et au Monténégro avec le soutien de la Commission européenne, renforçant l'intégration énergétique des Balkans dans le marché européen.
StarCharge a conclu un accord stratégique avec ENERGY INVESTMENT LLC portant sur 500MWh de stockage d'énergie, consolidant sa présence dans les marchés d’Europe de l’Est en pleine mutation.
Elawan Energy a obtenu deux projets éoliens d’une capacité totale de 92MW en Roumanie dans le cadre d’un contrat public de long terme, renforçant sa présence dans la région et préparant une mise en service pour 2028.
JANAF s’intéresse à une prise de participation de 20 à 25 % dans NIS, alors que la part russe du capital est désormais soumise à des sanctions américaines.
Le groupe norvégien Kyoto a inauguré un système de stockage thermique de 56 MWh chez KALL Ingredients en Hongrie, destiné à remplacer le gaz naturel par une chaleur industrielle issue d’énergies renouvelables.
Les ambassadeurs des pays membres de l’Union européenne ont validé l’envoi au Conseil des ministres d’un projet législatif visant à éliminer progressivement les importations d’énergie fossile russe d’ici janvier 2028.
Le groupe pétrolier hongrois MOL et l’opérateur croate JANAF négocient une prolongation de leur accord de transport de brut, alors que la région cherche à réduire sa dépendance au pétrole russe.
Le suédois Metacon a conclu un contrat de EUR7,1mn ($7,7mn) pour la fourniture d'une installation d’électrolyse de 7,5 MW à Elektra Power SRL, marquant son entrée opérationnelle sur le marché roumain.
La Hongrie a conclu un accord de dix ans avec Engie pour l'importation annuelle de 400 mn de m³ de gaz naturel liquéfié à partir de 2028, renforçant sa stratégie de diversification énergétique malgré sa dépendance persistante au gaz russe.
Le ministère de l’Énergie entamera des échanges avec des développeurs de petits réacteurs nucléaires, après la signature d’un accord de coopération avec les États-Unis pour mener des études préliminaires sur leur déploiement.
Le fournisseur de solutions de stockage HiTHIUM fournira 2GWh de batteries à Solarpro pour plusieurs projets à grande échelle dans les Balkans et l'Europe centrale.
Le producteur roumain Nuclearelectrica a sécurisé un financement de €620mn pour moderniser l’unité 1 de Cernavoda et lancer la prochaine phase du projet d’extension des unités 3 et 4, avec le soutien d’un consortium bancaire mené par JP Morgan.
Un désaccord technique entre le groupe hongrois MOL et l’opérateur croate Janaf remet en question la fiabilité de l’oléoduc adriatique pour assurer l’approvisionnement en pétrole de la Hongrie et de la Slovaquie.
Adnan Ahmadzada, ancien cadre de haut rang chez SOCAR, a été placé en détention provisoire à Bakou pour suspicion de malversations à grande échelle et de menace contre la sécurité économique nationale.
La Commission européenne envisage d’imposer des droits de douane ciblés sur les importations de pétrole russe encore autorisées en Hongrie et en Slovaquie, pour contourner les exemptions actuelles.
KazMunayGas a repris l’acheminement de pétrole vers la Turquie via l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan, après un arrêt lié à un problème de contamination résolu au terminal d’Aktau.
Les États-Unis financent une nouvelle ligne haute tension visant à intégrer durablement la Moldavie au marché électrique européen, après la rupture des livraisons issues de la région séparatiste de Transnistrie.
Le ministre polonais de l’Énergie appelle les États membres de l’Union européenne à s’engager collectivement à stopper les achats de pétrole russe sous deux ans, évoquant des risques géopolitiques croissants.
Un démarrage du ban sur le gaz russe dès 2026 renchérirait les prix repères, avec un écart proche de 1 $/MMBTU en 2026-2027 et des pointes au-delà de 20 $/MMBTU en Autriche, Hongrie et Slovaquie, faute d’offre régionale et de GNL disponible.
La COP29 s'ouvre à Bakou, Azerbaïdjan, en pleine incertitude politique mondiale, avec des appels renouvelés pour des financements massifs en faveur des pays en développement face à la crise climatique.
Alors que les raffineries russes et kazakhes reprennent leurs activités après des périodes de maintenance, le marché énergétique anticipe des effets potentiels sur l'approvisionnement en carburants. Les incertitudes autour de l’exportation de l’essence en Russie persistent.
Le transit de gaz russe à travers l'Ukraine pourrait s'interrompre fin 2024, faute d'accord entre les acheteurs européens et Kiev. Cette décision pourrait intensifier la pression sur le marché énergétique européen.
Le géant énergétique italien Enel annonce une hausse de 38 % de son bénéfice net sur neuf mois, atteignant 5,9 milliards d’euros, malgré un contexte de baisse des prix de l’électricité.
À quelques jours de la COP29, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) tire la sonnette d’alarme : les avancées en efficacité énergétique sont bien en-deçà des objectifs fixés en 2023, mettant en péril la réduction des énergies fossiles.
L’Azerbaïdjan, pays hôte de la COP29, est depuis des siècles une terre de ressources pétrolières et gazières. Sa stratégie actuelle mise sur le gaz naturel pour devenir un fournisseur incontournable en Europe.
À l'approche de la COP29 en Azerbaïdjan, les divergences autour de l'abandon des énergies fossiles révèlent des tensions entre ambitions climatiques et réalités économiques, tandis que des nations vulnérables expriment leur impatience.
La société gazière slovaque SPP réfute les informations sur un accord imminent avec l’Azerbaïdjan pour assurer un approvisionnement de gaz via l'Ukraine, malgré les discussions en cours pour maintenir la continuité des flux énergétiques.
Les dirigeants mondiaux se réuniront à Bakou pour la COP29, un sommet sur le climat qui pourrait être bouleversé par le résultat des élections américaines, avec des enjeux cruciaux autour du financement de la lutte contre le réchauffement climatique.
Les Émirats arabes unis, l'Azerbaïdjan et le Brésil, pays hôtes des prochaines COP, projettent une hausse de 32 % de leur production fossile d'ici 2035, malgré leur engagement envers la limitation du réchauffement climatique à 1,5 degré.
À l’approche de la COP29, un rapport de l’ONU souligne que les engagements climatiques actuels ne suffiront pas à limiter le réchauffement mondial à 1,5°C, mettant en péril des économies et des vies humaines.
Un nouveau rapport de l’ONU souligne l’urgence d’accélérer les réductions d’émissions mondiales, avec des objectifs renforcés attendus d’ici février 2025 pour éviter une hausse catastrophique des températures de 3°C.
À l’approche de la COP29, la Commission sur le changement climatique recommande au Royaume-Uni de s'engager pour une réduction ambitieuse de ses émissions de gaz à effet de serre de 81 % d'ici 2035, renforçant son rôle dans la lutte mondiale contre le changement climatique.
Les membres de l'Alliance Européenne de l'Énergie Nucléaire ont sollicité la prochaine Commission Européenne pour reconnaître le rôle du nucléaire et des renouvelables dans la décarbonisation de l'Europe entre 2024 et 2029.
GenZero avertit que l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5°C devient difficile à atteindre sans investissements massifs dans les technologies de transition énergétique en Asie-Pacifique.
Les discussions à la COP29 de Bakou avancent sur l'objectif de finance climatique, avec trois options en lice pour déterminer les contributions des pays riches envers les nations en développement.
Alors que plusieurs contrats d'importation de gaz arrivent à expiration en 2025-2026, la Turquie se prépare à une phase critique et mise sur la diversification de ses approvisionnements pour assurer sa sécurité énergétique.
Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a déclaré que le gazoduc TurkStream pourrait être crucial pour l'Europe en cas de fin du transit de gaz via l'Ukraine. La dépendance énergétique de la Hongrie face à la Russie soulève des questions géopolitiques.
Le corps supervisant l'Article 6.4 de l'Accord de Paris a adopté des normes inédites pour les méthodologies de projets et les éliminations de carbone, facilitant ainsi l'opérationnalisation des marchés mondiaux du carbone volontaire.
OMV Petrom renforce sa présence dans le secteur des énergies renouvelables avec l'acquisition de 50% des actions d'Electrocentrale Borzești et des actifs de production de Renovatio Group, totalisant une capacité installée de 1 018 MW.