Face aux délestages imposés par les autorités, les petites entreprises en Iran enregistrent des pertes croissantes, sur fond de sécheresse, de pénurie de carburant et de pression sur le réseau électrique national.
Un rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique chiffre à 440,9 kg l’uranium iranien enrichi à 60 % avant les frappes israéliennes et américaines, l’accès de l’agence aux sites d’enrichissement demeurant suspendu depuis les opérations.
Les exportateurs saoudien et irakien ont cessé d’approvisionner Nayara Energy, contraignant la raffinerie indienne contrôlée par Rosneft à dépendre exclusivement du brut russe en août.
Le groupe nucléaire russe Rosatom a confirmé des discussions avancées avec l’Inde et la Turquie pour le lancement de nouvelles centrales, incluant des technologies de réacteurs avancés et flottants.
Le gouvernement koweïtien a invité trois consortiums internationaux à soumettre leurs offres pour la première phase du projet Al Khairan, combinant production d’électricité et dessalement.
La Russie et l’Iran cherchent à resserrer leur coopération nucléaire alors que l’E3 active le mécanisme de sanctions contre Téhéran, ravivant les tensions sur le respect de l’accord de Vienne de 2015.
Korea Gas Corporation s’engage sur 3,3 mtpa de LNG américain dès 2028 pour dix ans, complétant ses nouveaux contrats afin de combler les volumes expirés et diversifier ses sources d’approvisionnement et d’indexation.
Les trois puissances européennes déclenchent le mécanisme de sanctions onusiennes contre l’Iran, mettant sous pression les exportations pétrolières du pays au moment où Téhéran maintient une production élevée malgré les mesures occidentales.
Petrobangla prévoit de signer prochainement un protocole d’accord avec Saudi Aramco afin de sécuriser des livraisons de gaz naturel liquéfié dans un cadre contractuel, à la suite d’un accord similaire conclu récemment avec le sultanat d’Oman.
L’Iran autorise de nouveau l’Agence internationale de l’énergie atomique à inspecter ses sites nucléaires, après une suspension provoquée par un différend sur la responsabilité des frappes israéliennes.
Washington intensifie la pression sur le secteur pétrolier iranien en sanctionnant un armateur grec et ses filiales, accusés d’avoir facilité l’exportation de brut vers l’Asie malgré les embargos en vigueur.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Pékin s’oppose à l’éventuel retour des sanctions du trio européen contre l’Iran, alors que l’échéance de l’accord sur le nucléaire approche et que les tensions diplomatiques s’intensifient autour de Téhéran.
Karpowership et Seatrium officialisent un partenariat stratégique pour convertir des unités LNG flottantes, renforçant leur offre conjointe sur les marchés émergents de l’électricité mobile.
Le projet solaire Manah-1 en Oman, d’une capacité de 500 MW, a été livré par Shanghai Electric et enregistre un mois d’exploitation stable, consolidant la coopération industrielle et technique avec Électricité de France.
Le sultanat attribue trois concessions minières à des entreprises locales. Les projets ciblent des gisements stratégiques pour réduire la dépendance aux hydrocarbures.
Le rapport d'août de l'OPEP dévoile une production russe supérieure aux quotas et une domination commerciale en Asie, tandis que le Kazakhstan dépasse massivement ses engagements de réduction.
Environ 80 normes techniques russes pour le pétrole et le gaz ont été validées à l’international, notamment par les Émirats arabes unis, l’Algérie et Oman, selon l’Institut des initiatives technologiques pétrolières.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Le géant logistique émirati affiche une croissance de 40% de ses revenus malgré des taux de fret maritimes déprimés, portée par l'intégration de Navig8 et l'expansion stratégique de sa flotte.
Le fournisseur chinois Arctech équipera un projet d’hydrogène vert à Duqm avec 175 MWp de suiveurs solaires, marquant une étape dans le développement énergétique industriel de la région côtière omanaise.
Le gouvernement fédéral irakien engage une procédure judiciaire contre la région autonome du Kurdistan à propos de contrats gaziers signés avec des sociétés américaines, tandis que Washington réaffirme son soutien à ces accords énergétiques stratégiques.
L’Irak a signé un accord avec le chinois Geo-Jade et l’entreprise Hilal al-Basra pour développer un projet intégré combinant pétrole, raffinage et électricité dans le sud du pays.
Face à la domination russe dans le projet nucléaire d’Akkuyu, la Turquie accélère ses négociations internationales, cherchant à limiter les risques liés à sa dépendance énergétique et aux possibles conflits d’intérêt stratégiques.
QatarEnergy prévoit de démarrer la production de gaz naturel liquéfié aux États-Unis d'ici la fin 2025 et d'étendre son projet North Field East au Qatar à partir de mi-2026.
Le Kurdistan signe avec HKN Energy et Western Zagros deux accords d’exploitation de gaz et pétrole estimés à 110 milliards $ sur la durée de vie des projets.
Mazoon Mining, filiale de Minerals Development Oman (MDO), a sécurisé un financement de 270 millions USD et signé des contrats clés pour le plus grand projet de concentré de cuivre d’Oman. L’initiative vise à soutenir le secteur minier national.
Le marché physique et dérivé du gaz naturel liquéfié en Asie a connu une activité sans précédent pour la période de juin, avec une hausse significative des offres et transactions dans un contexte de saison creuse.
Ankara annonce la découverte d’une nouvelle réserve de gaz en mer Noire, estimée à 30 milliards $, dans le cadre de sa stratégie visant à renforcer les investissements publics dans l’énergie.
Des responsables iraniens ont rencontré à Istanbul les membres du trio européen pour discuter du programme nucléaire, alors que Washington menace de nouvelles sanctions en cas de blocage.
Shell a versé $28,1bn aux gouvernements en 2024 dans le cadre de ses activités extractives, avec des flux majeurs enregistrés au Nigeria, en Malaisie et en Oman, selon son rapport réglementaire publié au Royaume-Uni.
L’Union européenne a validé un nouveau train de sanctions visant 345 navires soupçonnés d’aider la Russie à contourner les restrictions sur ses exportations de pétrole brut et produits raffinés.
L'administration Trump a annoncé de nouvelles sanctions visant le réseau iranien d'exportation de pétrole vers la Chine, dans un contexte de pourparlers sur le dossier nucléaire entre Washington et Téhéran.
La hausse des tarifs douaniers entre les États-Unis et la Chine reconfigure radicalement les flux d'approvisionnement pétrochimiques chinois, menaçant d'augmenter les coûts et d'accentuer les difficultés d'approvisionnement dans un secteur stratégique déjà sous pression.
Les États-Unis imposent des sanctions à plusieurs entités chinoises impliquées dans l’achat et le transport de pétrole iranien, perturbant une filière pétrolière représentant plusieurs centaines de millions de dollars.
L’Iran prévoit de limiter les coupures de courant à deux heures par jour pour les ménages à partir du 10 mai, afin d’atténuer les tensions sur le réseau électrique national provoquées par la hausse des températures.
Les cours du pétrole sont orientés à la baisse, sous la pression combinée d’une production accrue des membres de l’Opep+ et de la perspective d’un accord nucléaire entre l’Iran et les États-Unis.
L’interconnexion sous-marine Gregy-Elica vise à acheminer de l’électricité verte d’Égypte vers la Grèce, avec l’appui affirmé de l’Union européenne et des engagements bilatéraux renforcés.
La Russie se positionne en soutien actif des négociations nucléaires entre l’Iran et les États-Unis, plaidant pour un cadre juridique équilibré et conforme au droit international.
Bruxelles annonce une sortie totale du gaz russe d’ici fin 2027, malgré une dépendance résiduelle de 9% et un marché mondial du gaz naturel liquéfié sous pression.