L’Iran a conclu un nouvel accord avec l’Agence internationale de l’énergie atomique pour encadrer la reprise des inspections, après des mois de gel liés aux tensions militaires et aux critiques sur son programme nucléaire.
L’ayatollah Ali Khamenei appelle à moderniser l’industrie pétrolière et à élargir les débouchés commerciaux alors que Téhéran est confronté à la réactivation possible des sanctions de l’accord nucléaire de 2015.
L’Agence internationale de l’énergie atomique alerte sur le peu de temps restant pour conclure un accord avec l’Iran sur la reprise complète des inspections, alors que les sanctions européennes pourraient être réactivées sous 30 jours.
Face aux délestages imposés par les autorités, les petites entreprises en Iran enregistrent des pertes croissantes, sur fond de sécheresse, de pénurie de carburant et de pression sur le réseau électrique national.
Un rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique chiffre à 440,9 kg l’uranium iranien enrichi à 60 % avant les frappes israéliennes et américaines, l’accès de l’agence aux sites d’enrichissement demeurant suspendu depuis les opérations.
La Russie et l’Iran cherchent à resserrer leur coopération nucléaire alors que l’E3 active le mécanisme de sanctions contre Téhéran, ravivant les tensions sur le respect de l’accord de Vienne de 2015.
Les trois puissances européennes déclenchent le mécanisme de sanctions onusiennes contre l’Iran, mettant sous pression les exportations pétrolières du pays au moment où Téhéran maintient une production élevée malgré les mesures occidentales.
L’Iran autorise de nouveau l’Agence internationale de l’énergie atomique à inspecter ses sites nucléaires, après une suspension provoquée par un différend sur la responsabilité des frappes israéliennes.
Washington intensifie la pression sur le secteur pétrolier iranien en sanctionnant un armateur grec et ses filiales, accusés d’avoir facilité l’exportation de brut vers l’Asie malgré les embargos en vigueur.
La suspension des 1 400 MW d’électricité fournis par l’Iran à l’Irak met sous pression le réseau irakien, tandis que Téhéran enregistre une demande record de 77 GW et doit arbitrer entre consommation interne et obligations régionales.
Pékin s’oppose à l’éventuel retour des sanctions du trio européen contre l’Iran, alors que l’échéance de l’accord sur le nucléaire approche et que les tensions diplomatiques s’intensifient autour de Téhéran.
Les États-Unis projettent de collaborer avec le Pakistan dans les minerais critiques et les hydrocarbures, en explorant des coentreprises et projets dans des zones stratégiques comme le Baloutchistan.
Bagdad et Damas intensifient leurs discussions pour réactiver l'oléoduc de 850 km fermé depuis 2003, offrant une alternative méditerranéenne face aux tensions régionales et aux blocages d'exportation.
Le géant logistique émirati affiche une croissance de 40% de ses revenus malgré des taux de fret maritimes déprimés, portée par l'intégration de Navig8 et l'expansion stratégique de sa flotte.
Les deux pays mettent fin à 37 ans de conflit avec un corridor de 43 kilomètres sous contrôle américain pour 99 ans. L'infrastructure acheminera 50 millions de tonnes de marchandises annuellement d'ici 2030.
Un haut responsable de l'agence onusienne entame lundi des discussions techniques avec l'Iran, première rencontre depuis les frappes de juin sur les sites nucléaires iraniens.
Bagdad dément toute implication dans un système de contrebande sophistiqué mêlant pétrole iranien et irakien. Washington sanctionne des réseaux accusés de financer des organisations terroristes désignées.
Pakistan Refinery Limited s'apprête à importer du brut Bonny Light du Nigeria pour la première fois, reflétant l’élargissement des partenariats commerciaux des raffineurs asiatiques face à la hausse des coûts régionaux.
Le géant pétrolier saoudien enregistre des résultats solides malgré la baisse des prix du pétrole. L'entreprise verse 21,3 milliards de dollars de dividendes et avance ses projets stratégiques.
Les discussions entre Téhéran et Bagdad sur les volumes d'exportation et une dette de 11 milliards de dollars révèlent les complexités d'une dépendance énergétique sous sanctions américaines.
Le Kazakhstan a annoncé la décontamination de plus de 360.000 m³ de déchets pétroliers hérités de l'époque soviétique, un effort majeur visant à réduire la pollution sur le littoral de la mer Caspienne, affectée par des décennies de dégradation environnementale.
L’effondrement du régime de Bachar al-Assad provoque des réactions sur les marchés pétroliers, avec une hausse modérée des cours. Les implications géopolitiques pour la région et leurs effets sur l’approvisionnement énergétique restent incertains.
L'administration américaine exhorte des partenaires internationaux à s'unir contre les Houthis soutenus par l'Iran, responsables d'attaques massives sur les navires dans la région stratégique de la Mer Rouge. Les enjeux militaires, économiques et diplomatiques s'intensifient.
La chute du régime syrien de Bachar al-Assad marque un tournant politique régional, mais son impact sur le marché pétrolier reste faible, en raison de la baisse drastique de la production et des exportations du pays depuis 2011.
Sous le poids des sanctions occidentales, l’Iran fait face à une grave crise énergétique. La production pétrolière continue de chuter, mettant en péril les exportations et accentuant les tensions sur les ressources énergétiques domestiques.
Les États-Unis imposent de nouvelles sanctions visant 35 navires iraniens accusés d’exporter clandestinement du pétrole, afin de limiter les revenus financant le programme nucléaire et les activités régionales de Téhéran.
L’Iran a mis en service des milliers de centrifugeuses de nouvelle génération, augmentant l’enrichissement d’uranium jusqu’à 60 %, défiant une résolution récente de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
La croissance inattendue des exportations de pétrole iranien, combinée à une demande chinoise en ralentissement, perturbe le marché mondial des pétroliers, alors que les flottes sanctionnées capturent une part croissante du commerce maritime.
L'administration Trump envisage des sanctions contre l'Irak pour limiter l'influence iranienne. Ces mesures pourraient redéfinir les équilibres géopolitiques et économiques du marché énergétique mondial.
La banque américaine anticipe une baisse des cours moyens du Brent en 2025, avec un prix estimé à 76 $ le baril, en raison d'un excédent de l’offre pétrolière mondiale, malgré les tensions géopolitiques persistantes.
Les membres de l'OPEC+ se réunissent dans un contexte de tensions liées aux objectifs de production, avec des incertitudes économiques globales et une demande en berne, particulièrement en Chine.
L'Iran a activé des milliers de centrifugeuses avancées pour enrichir l'uranium jusqu'à 60 %, défiant une résolution récente de l'Agence Internationale de l'Énergie Atomique (AIEA) critiquant son manque de coopération.
En réponse aux critiques de l'AIEA, l'Iran a activé de nouvelles centrifugeuses avancées, marquant une escalade dans son programme nucléaire et un bras de fer avec les puissances occidentales.
Téhéran avertit que la résolution des pays européens visant à condamner son programme nucléaire à l’AIEA risque de perturber gravement les relations avec l’agence onusienne, alors qu’un vote crucial est prévu.
Les États-Unis et les Européens ont présenté une résolution à l’AIEA pour condamner l’Iran, accusé de ne pas coopérer pleinement sur son programme nucléaire. Téhéran met en garde contre les répercussions de cette décision.
Le groupe français Orano a annoncé la suspension provisoire des dépenses liées aux activités d’extraction au Niger, afin de préserver le paiement des salaires. Une décision prise dans un contexte tendu avec la junte au pouvoir.
Rafael Grossi, chef de l’AIEA, se rend en Iran pour inspecter les sites de Fordo et Natanz. Cette visite survient alors que Téhéran cherche à dissiper les doutes sur ses ambitions nucléaires.
Le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, se rend en Iran pour relancer les inspections et favoriser une issue diplomatique sur le nucléaire iranien, dans un contexte de tensions internationales croissantes.
Le Niger ouvre ses portes aux sociétés russes pour l'exploration de ses richesses naturelles, marquant un tournant stratégique alors que les tensions persistent avec les entreprises françaises, notamment autour de l'uranium.
L'Arabie Saoudite, principal exportateur mondial de pétrole, a inauguré sa première plateforme d'échange de crédits carbone lors de la COP29 à Baku, visant à renforcer les efforts de décarbonation et à diversifier son économie.