Ormat Technologies a enregistré une hausse de son chiffre d'affaires au troisième trimestre, soutenue par des performances solides dans ses segments Produits et Stockage, et a revu à la hausse ses prévisions pour l’année 2025.
Les sanctions imposées par les États-Unis et le Royaume-Uni paralysent les opérations de Lukoil en Irak, en Finlande et en Suisse, mettant en péril ses activités étrangères et ses partenaires locaux.
Les trajectoires actuelles d’émissions placent la planète sur une courbe de réchauffement de 2,3°C à 2,5°C, selon les derniers calculs des Nations unies, à quelques jours de l’ouverture de la COP30 à Belem.
Aramco a enregistré une baisse de 2,3 % de son bénéfice net au troisième trimestre, sur fond de surabondance de l’offre mondiale et d’incertitudes économiques, malgré une légère hausse de son résultat ajusté.
La coentreprise regroupe 19 actifs (14 Indonésie, 5 Malaisie), vise 300 kboe/j au départ et >500 kboe/j, et oriente ses capex vers le gaz pour alimenter Bontang et le complexe Malaysia LNG à Bintulu.
GCL Energy Technology renforce sa présence en Asie du Sud-Est en s’associant à PLN Indonesia Power pour développer deux centrales solaires de 100 MW, terrestres et flottantes, dans le cadre du programme gouvernemental Hijaunesia.
Le mécanisme de crédit de l’Accord de Paris formalise une méthodologie pour le méthane de décharge, impose un test d’additionalité fondé sur l’investissement et encadre la délivrance d’unités traçables via un registre central, avec autorisations et ajustements correspondants exigés.
Le gouvernement algérien prévoit une mise à niveau complète du dispositif SCADA, géré par Sonelgaz, afin d’améliorer la maîtrise et la supervision du réseau électrique national à partir de 2026.
Excelerate Energy a signé un accord définitif avec le ministère irakien de l’Électricité pour développer un terminal flottant d’importation de gaz naturel liquéfié à Khor Al Zubair, avec un investissement estimé à 450 millions $.
Botaş aligne une série de contrats de gaz naturel liquéfié (LNG, gaz naturel liquéfié) qui réduisent l’espace pour les flux russes et iraniens, alors que la production domestique et la capacité d’importation renforcent sa position de négociation.
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Lukoil a entamé la cession de ses actifs internationaux à la suite de nouvelles sanctions pétrolières imposées par les États-Unis, une décision qui pourrait redéfinir sa présence à l’étranger et peser sur l'approvisionnement de certains marchés européens.
Singapour renforce sa stratégie énergétique à travers des investissements publics dans le nucléaire, les interconnexions électriques régionales et les infrastructures gazières pour sécuriser son approvisionnement à long terme.
L’Irak discute d’un ajustement de sa limite de production au sein de l’OPEP, tout en maintenant ses exportations autour de 3,6 millions de barils par jour malgré une capacité bien plus élevée.
L’Algérie a écarté Rachid Hachichi de la direction de Sonatrach, deux ans après sa nomination, pour le remplacer par Noureddine Daoudi, ancien responsable de l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures.
Baker Hughes a enregistré une hausse de 23% de ses commandes au troisième trimestre 2025, tirée par le segment gaz, tandis que son bénéfice net recule de 20% sur un an, à $609mn.
La société algérienne Sonatrach a repris ses opérations d’exploration dans le bassin libyen de Ghadamès, interrompues depuis 2014, dans un contexte de relance stratégique du secteur pétrolier libyen.
Indonesia Energy Corporation s’associe à Aquila Energia pour développer deux projets pilotes combinant solaire et gaz naturel afin d’alimenter des centres de données au Brésil, dans un cadre non contraignant appuyé par les autorités des deux pays.
Eni a vu son bénéfice net grimper à 803 millions d’euros au troisième trimestre, porté par une hausse de 6% de sa production et malgré le recul des prix du brut.
Tripoli ambitionne de retrouver ses niveaux de production d’avant-crise en accélérant les investissements et les partenariats avec les majors du secteur, malgré un contexte politique fragmenté.
La compagnie nationale algérienne a remis en service une installation clé de liquéfaction à Skikda, renforçant sa capacité d’exportation dans un contexte d’investissement massif dans le secteur gazier.
Privé des importations énergétiques iraniennes par Washington, l’Irak accélère ses efforts commerciaux en Afrique, tout en relançant les exportations pétrolières via la Turquie, afin de sécuriser rapidement de nouveaux débouchés économiques et énergétiques.
L’Algérie annonce un objectif ambitieux d'accroître sa production annuelle de gaz naturel à 200 milliards de mètres cubes sous cinq ans, soutenue par d'importants investissements et des projets d'infrastructures stratégiques destinés au marché international.
Naturgy obtient l’approbation de ses actionnaires pour racheter 10 % de ses actions dans le but d’augmenter son capital flottant et améliorer sa visibilité boursière.
Une étude de Wood Mackenzie conclut que le gaz naturel liquéfié exporté des États-Unis vers l’Europe génère en moyenne deux fois moins d’émissions que le charbon importé, en tenant compte de l’ensemble du cycle de vie.
L’Irak a lancé son premier projet de valorisation énergétique des déchets à Bagdad, un chantier estimé à 500 mn $, soutenu par la société chinoise SUS ENVIRONMENT et piloté par les autorités irakiennes.
Le Conseil des ministres irakien a validé un contrat avec BP pour le développement des champs pétrolifères de Kirkouk et l'expansion du terminal offshore de Faw, selon une déclaration du bureau du Premier ministre.
L'Irak et les Émirats arabes unis ont soumis des plans à l’OPEP+ pour compenser leur excédent de production en février, dans un contexte de baisse des prix du brut et de réduction progressive des coupes prévues pour avril.
Après dix ans d'interruption en raison de conflits internes, la Libye a redémarré la production sur le champ Mabruk. Cette reprise vise à soutenir l'économie nationale en augmentant les capacités de production pétrolière du pays.
Sous la pression des sanctions américaines, l'Irak explore des alternatives au gaz iranien pour assurer son approvisionnement en électricité, notamment en se tournant vers le Qatar et Oman, et en envisageant l'installation de terminaux méthaniers flottants.
L'Iran investit 17 milliards de dollars pour contrer la baisse naturelle de pression dans le champ gazier South Pars, partagé avec le Qatar, en sécurisant ses réserves estimées à 363 milliards de barils équivalent pétrole.
L’OPEP+ autorise une hausse graduelle du quota pétrolier irakien à compter d’avril 2025, permettant à l’Irak d’atteindre 4,11 millions de barils par jour en janvier 2026, dans un contexte stratégique marqué par la réouverture imminente du pipeline Irak-Turquie.
Les États-Unis ont décidé de ne pas renouveler l'exemption accordée à l'Irak depuis 2018, permettant à Bagdad d'importer de l'électricité d'Iran malgré les sanctions américaines. Cette mesure accentue la pression sur l’Irak, dont l’approvisionnement énergétique dépend largement de son voisin.
En 2024, la France a maintenu sa position de principal importateur de gaz naturel liquéfié (GNL) russe en Europe, malgré une baisse générale de sa consommation de gaz.
L'Opep+ a réaffirmé son plan de hausse progressive de la production de pétrole à partir d'avril 2025, une décision qui a provoqué une chute des prix du baril, notamment du Brent. Cette stratégie marque un changement dans l'approche du cartel.
L'Indonésie annonce un investissement de 40 milliards USD dans 21 projets énergétiques en 2025, visant à accroître sa capacité de raffinage et à remplacer les importations de gaz de pétrole liquéfié.
L'Indonésie met en place un prix plancher pour le charbon, visant à renforcer son contrôle sur les prix nationaux et à influencer les marchés internationaux. Cette nouvelle stratégie entrera en vigueur le 1er mars 2025.
Sonelgaz, société publique algérienne, construira une centrale électrique de 40 MW au Niger, dans le cadre d'un projet visant à renforcer la coopération énergétique entre les deux pays, suite à un mémorandum d'entente signé fin février.
Le groupe énergétique italien Eni a enregistré une baisse de 45 % de son bénéfice net en 2024, à 2,46 milliards d’euros, impacté par la diminution des prix du gaz et du pétrole. Le titre reculait en Bourse après l’annonce des résultats inférieurs aux attentes.
Le géant pétrolier BP présente mercredi une révision de sa stratégie, marquée par un recentrage sur les énergies fossiles et une réduction des investissements dans les énergies renouvelables, après un bénéfice net en chute libre l'an dernier.
Merdeka Battery Materials a sécurisé un financement de 1,4 milliard de dollars pour la construction d'une usine de nickel en Indonésie. Ce projet, soutenu par un consortium bancaire, vise à répondre à la demande croissante de matériaux pour batteries lithium-ion utilisées dans les véhicules électriques.