Le méthanier Iris, issu du projet Arctic LNG 2, a accosté au terminal chinois de Beihai malgré les sanctions américaines et européennes, marquant une intensification des flux gaziers entre la Russie et la Chine.
Londres a élargi ses sanctions contre la Russie en inscrivant 70 nouveaux pétroliers sur sa liste noire, portant un coup aux exportations énergétiques russes au cœur de ses revenus budgétaires.
L’arrivée accélérée de cargaisons russes en Chine a fait baisser les prix du GNL spot en Asie, mais le trafic va ralentir avec la fermeture saisonnière de la Route maritime du Nord.
Des cargaisons de gaz naturel liquéfié et des hausses de débits par gazoduc renforcent l’optionnalité gazière de la Chine, tout en testant le régime de sanctions et en reconfigurant des arbitrages prix-volume pour la prochaine décennie.
Bruxelles confirme son objectif de cesser toutes les importations d’énergie russe d’ici 2028, malgré les pressions diplomatiques croissantes exercées par Washington dans le contexte du conflit en Ukraine.
Le Kazakhstan a signé un accord avec Nukem Technologies Engineering Services GmbH pour bénéficier d’une expertise allemande dans le démantèlement nucléaire et la gestion des déchets radioactifs.
La Cour de justice de l’Union européenne a annulé la décision de la Commission européenne autorisant l’aide d’État hongroise au projet nucléaire Paks II, remettant en question le respect des règles de passation de marchés publics.
Donald Trump menace d’intensifier les sanctions américaines contre la Russie, mais uniquement si les pays de l’Otan interrompent tous leurs achats de pétrole russe, encore actifs via certains oléoducs.
Une attaque de drone contre une installation pétrolière de Bachneft à Oufa a provoqué un incendie, sans faire de victimes, perturbant temporairement l’activité du complexe classé parmi les plus importants du pays.
La divergence entre les États-Unis et l’Union européenne sur les règles encadrant les exportations de pétrole russe vers l’Inde entraîne une baisse des livraisons prévues, alors que les marges de négociation se resserrent entre acheteurs et vendeurs.
Le président finlandais Alexander Stubb a dénoncé les importations d’énergie fossile russe par la Hongrie et la Slovaquie, en pleine préparation du 19e paquet de sanctions européennes contre Moscou.
Le géant japonais JERA a signé une lettre d’intention pour acheter un million de tonnes par an de GNL depuis l’Alaska, dans le cadre d’un accord énergétique stratégique avec les États-Unis.
Rosatom et China National Nuclear Corporation ont signé un protocole d’accord visant à renforcer la coopération bilatérale dans la formation des talents et le développement des compétences dans le secteur nucléaire.
La Russie prévoit d'expédier 2,1 millions de barils par jour depuis ses ports occidentaux en septembre, révisant à la hausse ses exportations face à la baisse de la demande intérieure provoquée par les attaques de drones contre ses raffineries.
Un consortium dirigé par BlackRock est en négociations pour lever jusqu'à 10,3 milliards $ afin de financer un accord d'infrastructure gazière avec Aramco, incluant une structure de crédit à double échéance et un possible recours aux sukuk.
Plus de 500 projets d’hydrogène sont désormais en phase de construction ou opérationnels dans le monde, avec un total de 110 milliards USD d’investissements engagés, dont une croissance de 35 milliards USD en un an.
L’OPEP+ entame une nouvelle phase de relèvement progressif de sa production, amorçant le dégel de 1,65 million de barils/jour de coupes volontaires, après la fin anticipée d’un cycle de 2,2 millions de barils/jour.
Les navires Voskhod et Zarya, visés par des sanctions occidentales, ont quitté le terminal chinois de Beihai après avoir potentiellement livré du gaz naturel liquéfié provenant du projet Arctic LNG 2.
Huit membres de l’OPEP+ se réunissent pour ajuster leurs quotas, alors que les prévisions annoncent un excédent mondial de 3 millions de barils par jour d’ici la fin de l’année.
Les compagnies maritimes grecques se retirent progressivement du transport de brut russe alors que l’Union européenne resserre les conditions de conformité sur le plafonnement des prix.
Les prix du gaz naturel liquéfié (GNL) en Asie continuent de grimper par rapport aux États-Unis, portés par les tensions géopolitiques et les perturbations de l'offre mondiale, reflétant un marché énergétique sous pression.
L'Ukraine met fin au contrat de transit de gaz russe vers l'Europe à partir de 2025. Cette décision force les pays européens à revoir leurs stratégies d'approvisionnement et à s'adapter aux nouvelles dynamiques du marché énergétique.
L'Ukraine met fin au contrat de transit de gaz russe avec Gazprom à compter du 31 décembre 2024, un changement qui bouleverse les flux énergétiques vers l'Europe et renforce les tensions géopolitiques.
L’European Bank for Reconstruction and Development (EBRD) prévoit de conclure plusieurs accords de prêts en Ukraine pour renforcer le secteur énergétique avant l'hiver, face aux défis posés par les attaques russes.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) surveille la centrale nucléaire de Koursk, alors que l'Ukraine intensifie son offensive dans la région frontalière russe.
Le Japon envisage de relancer la centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa. Ce projet, crucial pour l'approvisionnement énergétique du pays, se heurte à des défis de sécurité et à des considérations politiques complexes.
Le projet Ichthys LNG en Australie prévoit de reprendre sa pleine capacité de production en octobre après une interruption du Train 2, impactant temporairement les exportations de GNL vers l'Asie.
La Norvège, principal fournisseur de gaz en Europe, est en voie de dépasser son record de 2017, avec une hausse des exportations de 10 % au premier semestre 2024.
Les récentes frappes russes ont sévèrement endommagé les infrastructures énergétiques ukrainiennes, entraînant des coupures d'électricité significatives et perturbant les opérations ferroviaires. Les autorités ukrainiennes appellent à une coopération internationale pour renforcer la résilience du réseau.
Un pétrolier géré par une société azerbaïdjanaise emprunte la Route Maritime du Nord vers la Chine, une voie dominée par les navires russes de Sovcomflot, malgré des coûts de navigation élevés.
Les États-Unis imposent des sanctions supplémentaires contre les transporteurs de GNL russes, accentuant les difficultés pour la Russie sur les marchés internationaux.
Le Brésil, à travers l'Indústrias Nucleares do Brasil (INB), réactive l'exploration d'uranium après 40 ans, motivé par les perspectives lucratives du marché mondial du nucléaire.
Les positions longues des hedge funds continuent d'influer fortement sur la volatilité du marché européen du gaz naturel et du GNL, en réponse aux risques géopolitiques et aux variations d'offre globales.
La Chine surpasse la France en matière de coûts de construction nucléaire grâce à une production en série optimisée et un financement étatique robuste, réduisant ainsi les dépenses de manière significative.
Le Brésil, à travers l'Indústrias Nucleares do Brasil (INB), réactive l'exploration d'uranium après 40 ans, motivé par les perspectives lucratives du marché mondial du nucléaire.
TAQA et JERA ont conclu le financement d'une centrale de cogénération à Jubail, destinée à alimenter le complexe pétrochimique SATORP en énergie et vapeur.
TAQA et JERA ont conclu le financement d'une centrale de cogénération à Jubail, destinée à alimenter le complexe pétrochimique SATORP en énergie et vapeur.
Les positions longues des hedge funds sur le marché du gaz en Europe atteignent des niveaux records, exacerbant les incertitudes tarifaires pour l'année 2025.