Le ministère des Travaux publics du Koweït a conclu un accord avec la société turque Kuzu pour construire une station de traitement des eaux usées dans la future ville d’Al Mutlaa, au nord du pays.
La Commission européenne impose de nouvelles règles exigeant des preuves d’origine du brut raffiné et exclut le recours à la méthode du mass-balancing pour contourner l’interdiction sur le pétrole russe.
Le Royaume-Uni cible deux majors russes, des ports asiatiques et plusieurs dizaines de navires dans une nouvelle série de sanctions visant les exportations d’hydrocarbures de Moscou.
Valeura Energy s’allie à Transatlantic Petroleum pour relancer l’exploration gazière dans le bassin de Thrace, avec un programme de tests et forages prévu dès ce trimestre sur les gisements profonds.
ExxonMobil a signé un protocole d'accord avec le gouvernement irakien pour développer le champ pétrolier de Majnoon, marquant son retour dans le pays après deux ans d'absence.
Le nouvel outil GeoMap identifie un vaste potentiel géothermique au Moyen-Orient, notamment pour le refroidissement urbain, le stockage longue durée et la production électrique à grande échelle.
Les exportations maritimes de pétrole brut russe ont bondi en septembre, atteignant leur plus haut niveau depuis avril 2024, malgré les sanctions du G7 et les attaques ciblées sur les infrastructures de raffinage.
ShaMaran et plusieurs compagnies pétrolières internationales ont conclu un accord provisoire avec Bagdad et Erbil pour reprendre les exportations de pétrole brut du Kurdistan par oléoduc, interrompues depuis plusieurs mois.
Bagdad a réactivé les livraisons de brut depuis le Kurdistan via l’oléoduc vers la Turquie, après deux années d’interruption liée à des litiges juridiques et contractuels impliquant les compagnies internationales opérant sur place.
Un accord de principe a été trouvé entre huit compagnies pétrolières et les gouvernements irakien et kurde, ouvrant la voie à la reprise des exportations via l’oléoduc irako-turc suspendu depuis mars 2023.
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement investit $100mn dans une obligation verte de DenizBank pour renforcer l’accès au financement durable et soutenir les marchés de capitaux en Turquie.
Face aux restrictions occidentales, la Russie prévoit d’accroître ses livraisons de charbon vers la Chine, l’Inde et la Turquie, selon une présentation récente sur les perspectives du secteur.
TotalEnergies lance la construction des dernières infrastructures clés du Gas Growth Integrated Project en Irak, portant à exécution l'ensemble de ses volets pétrolier, gazier, solaire et hydraulique.
Une nouvelle analyse estime que les champs pétroliers existants pourraient produire jusqu’à 1 000 milliards de barils supplémentaires sans découverte majeure, grâce à l’application de méthodes éprouvées appuyées par l’intelligence artificielle.
KazMunayGas a repris l’acheminement de pétrole vers la Turquie via l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan, après un arrêt lié à un problème de contamination résolu au terminal d’Aktau.
Athènes et Tripoli s'engagent dans un processus de négociation pour définir leurs zones économiques exclusives en Méditerranée, dans un contexte marqué par des tensions géopolitiques et des enjeux énergétiques sous-marins.
QatarEnergy, TotalEnergies et Basra Oil Company entament la construction des dernières infrastructures du projet gazier intégré irakien, mobilisant plus de $13bn d'investissements pour moderniser l’approvisionnement énergétique du pays.
L’Irak discute avec Oman de la construction d’un oléoduc reliant Bassorah aux côtes omanaises afin de réduire sa dépendance au détroit d’Ormuz et stabiliser ses exportations de brut vers l’Asie.
Amman confirme la disponibilité de son réseau pour alimenter la Syrie pendant ses heures creuses, sous réserve de l’achèvement des infrastructures côté syrien.
L’OPEP+ entame une nouvelle phase de relèvement progressif de sa production, amorçant le dégel de 1,65 million de barils/jour de coupes volontaires, après la fin anticipée d’un cycle de 2,2 millions de barils/jour.
L'Irak, dont l'économie repose largement sur le pétrole, anticipe des difficultés budgétaires en 2025 en raison de la chute des prix du brut, d'après un conseiller économique du Premier ministre.
L'OPEC révise à la baisse ses prévisions de demande de pétrole pour 2024 et 2025, en raison d'une faible croissance économique et de l'augmentation de l'offre de ses concurrents.
Les États-Unis intensifient leur pression sur le projet Arctic LNG 2 de la Russie en imposant de nouvelles sanctions contre des sociétés et navires impliqués, compliquant davantage les capacités exportatrices de gaz liquéfié de Moscou.
L'annonce de l'arrêt du transit de gaz russe via l'Ukraine dans quelques mois; modifie la dynamique énergétique en Europe et redéfinit les stratégies d'approvisionnement et de diversification. Cet article analyse les conséquences économiques, géopolitiques et logistiques pour les différents acteurs.
Sous pression face à la baisse des prix, l'OPEC+ décide de prolonger la réduction de production de 2,2 millions de barils par jour jusqu'en décembre 2024 pour maintenir l'équilibre du marché.
Les prix du Brent baissent fortement en raison des anticipations d'une reprise rapide des exportations libyennes et des ajustements possibles des réductions de production de l'OPEC+.
L'Arabie saoudite ajuste ses prix de vente officiels de brut pour l'Asie en octobre, en raison de la baisse du benchmark de Dubaï et de marges de raffinage réduites en Chine.
Botas et Shell signent un contrat de 10 ans pour la fourniture de 4 milliards de mètres cubes (Gm3) de gaz naturel liquéfié (GNL) par an à partir de 2027, renforçant la sécurité énergétique de la Turquie et ses options d'approvisionnement.
La Russie prolonge l'exonération des droits d'exportation pour le charbon thermique jusqu'en décembre. Malgré cette mesure, les restrictions logistiques et les sanctions continuent de freiner la demande mondiale.
Le Kurdistan irakien continue d’augmenter sa production pétrolière malgré les restrictions de Bagdad, qui tente de se conformer aux quotas de l’OPEP+ et d'attirer des investissements gaziers des États-Unis pour diversifier ses sources d'énergie.
L'Azerbaïdjan, riche en pétrole et gaz, ajuste sa politique énergétique pour maintenir sa position sur les marchés internationaux tout en répondant aux défis d'une économie trop concentrée sur les hydrocarbures.
L'Ukraine met fin au contrat de transit de gaz russe vers l'Europe à partir de 2025. Cette décision force les pays européens à revoir leurs stratégies d'approvisionnement et à s'adapter aux nouvelles dynamiques du marché énergétique.
Le constructeur chinois BYD annonce une progression de 24,4 % de son bénéfice net semestriel, portée par une demande intérieure soutenue et une stratégie d'expansion internationale.
L'Ukraine met fin au contrat de transit de gaz russe avec Gazprom à compter du 31 décembre 2024, un changement qui bouleverse les flux énergétiques vers l'Europe et renforce les tensions géopolitiques.
La Grèce intensifie ses achats de GNL en réponse à une production d'énergies renouvelables insuffisante, impactant directement les prix du gaz sur le marché spot.
Un tanker grec transportant du brut irakien a été sévèrement touché par des missiles tirés par les Houthis, soutenus par l'Iran, mettant en lumière l'escalade des actions terroristes en mer Rouge.
En juillet, l'Inde est devenue le principal acheteur de pétrole russe, surpassant la Chine, dans un contexte de sanctions occidentales contre Moscou et de changements dans les flux commerciaux mondiaux.
Le Kazakhstan, premier producteur mondial d'uranium, accélère sa transition vers l'énergie nucléaire. Des consultations publiques ont eu lieu avant le référendum qui déterminera l’avenir de la première centrale nucléaire du pays.
Le Liban obtient un soutien crucial de l'Irak avec une augmentation des livraisons de fuel lourd à 125 000 tonnes en août, visant à maintenir ses centrales électriques opérationnelles en pleine crise.
BP revient en Irak après cinq ans, signant un accord préliminaire avec le gouvernement pour relancer la production des champs de Kirkouk via un modèle de partage des profits.